ba ne ba iphelisa tsa calembredaine ntle le ts'ebetso ea mohlolo.
Ho qhoma naheng, motsotso oa pele qoba tletlebo.
Ho tsamaea ka pono lintho tse buuoang le ho phetoa e ile ea qala ho khutsa. Ho jara moqolo o motlotlo re ile ra khona ho palama ntle le palinodie e latelang.
haho bana hofeta mantsoe a mabeli, e tshoanang le ntlha e nepahetseng.
Ka menoana e 'meli nakong ea somersault ho ile ha boleloa 'misa ntle le ho fumana phoso.
Thibelang litsela tsa lona tse makatsang e ka 'na eaba seeta se phunya, khutla kaofela !
hawthorn e hlaha ka fensetere, kotsi ho itshetleha.
Hlafuna e tala lekgapetla la ditoro ntle le molebeli a re thoholetsa.
masoba a tletseng mekoti tlasa rag, phunya mpa.
Ntate le mme ka leloko le nyolohang fihla phaposing ena.
Li-salicornes ka litšenyehelo tsa li-remugles, letsoai masimong !
E se nang maoto tlas'a mochine monna o ts'oaroa metsong ea hae.
Lean Ketone ka boemo bo fokolang, hetla morao nakong.
nkhono, le odalis ho nahana, ketelo ya Lentswe.
Machu Picchu, setho sa setho senotlolo se tloaelehileng bakeng sa thuso e hlakileng.
lehe ho lehe sepheo se ile sa fumanoa, ntle le ho lahleheloa ke botshepehi.
Mekhoro ea April u se ke ua emisa selemo, Ke ipolaea ho e bua.
Hlakola leralla e isa paradeiseng li-hummingbird tse bohlooho.
Ho rekisoa mekatong eohle perekisi e ithorisang ntle le ho fodisa maqeba.
Mmakatse mme le tle ho nna konopo e pinki ka lesobeng la konopo. Sekoti sa Liperela Tse Sekete mirliton ea tontines hlapa ka sediba.
shelved likarache tse emetseng, coronavirus matšoenyeho a ka.
tsebe ea cosmic ka bobe, linaleli likhaitseli tsa ka.
The seahorse ditseleng tsa yona e hapa kemiso ya nako.
tsela e matsutla-tsutla sebakeng sa pele sa koloi, tsoaloa bocha ka mongolo.
tleloubu e tabotsoeng fatshe, leihlo la lewatlee ngoananaa.
Dikeledi tse ding tsela e litsela tse peli ba rutehileng le ba sa rutehang.
Menahano e Khōlō ho phatloha ha mpa ea linaleli tse fanoeng.
Ya ketsahalo e tshesane, moleng oa eona, mongolo o itlamileng.
linku dromedary ea masiu a ka, O silo sa kelello !
Ce matin le ciel est blanc de cette plainte innommée œil turgescent au front de mon obstination une main d'amour vient se poser sur mon front se desquamant à mesure de ces nuits où l'ombre oblitère les échancrures de ma conscience.
Ecran marial mon cœur bondit et mon âme s'emplit de gratitude dans l'observation de ces paupières s'ouvrant devant l'offre de vérité. à grands tintements de cloches par les coursives de notre navire, la mort abolie.
Le crayon signe la commande de ne plus circonvenir aux élucubrations sirènes remontantes des gouffres les algues étranges de la présence-absence découvrant à l'aube venue le visage et les yeux d'un soleil signe de reconnaissance de nous tous, en épreuve.
Cette remontée en surface au corps menu des douleurs marcher vaillamment.
Dans la forêt des souvenirs les rencontres passées à l'esprit rêves et réalités percent tel l'insecte hors de sa chrysalide nuit et jour ne sont plus noir et blanc tout est couleurs tout est amène.
Les enfants tournent en rond dans la cour de l'école aux marronniers les quatre saisons prospèrent l'hiver aux bois noirs le printemps aux bourgeons collants auxquels succèdent les grappes de fleurs blanches et roses l'été aux ombres pleines et bruissantes l'automne où remiser dans le cahier du jour le mordoré des feuilles offertes autour de leur tige dure.
La roue tourne sous ses levées de terre sèche contre le cerclage de fer l'écaillage des propos tenus éclaire un sens connu les images intègrent leurs niches d'origine le goût amer de quelque douleur vient brunir la prise de conscience.
Il est possible de rencontrer son âme de voyager dans l'espace de détecter dans ce regard la réaction physique contenue l'émotion soulevée que l'arrivée de la nouvelle donne apporte à la narration de la souffrance.
Ce que j'ai cru perdu à jamais est récupérable transmettre cette connaissance est important avec modestie et humilité ramener son âme peut s'effectuer dans le contact avec l'autre dans le mot à mot des mots essentiels un fil invisible alors ressenti relie les différents niveaux de manifestation auxquels retourner avec simplicité et vigueur nous sommes convoqués de faire circuler ce qui est une trouée lumineuse dans le concert des nuages.
Je décris et cela commence à circuler.
Je suis le miroir et le vecteur de l'avancée vers mes origines je suis là je suis présent et l'autre est là et l'autre est le miroir de mon âme et nous entrons dans la gratitude infinie envers l'univers.
Donne ogive de printemps au rebond des notes du piano.
De pleines fougères manduquent l'ombre et la lumière.
Par la travée le jour paraît.
En leurs gravats de nuit les souvenirs émergent.
Pierre de sel contre la rambarde il jouait du flûtiau l'homme au masque neutre en ses haillons mêlé à la tourbe des mots.
De la sculpturale tour s'échappaient ses cheveux gris effluves lasses et taillis secs sur les barreaux de l'échelle montait à petits bonds le rire du sang des choses aux murmures de la plaine au loin vacillante à pleines mains retenant l'herbe ensilée dans la boîte des songes aux fuligineux apprêts du suave reflux de la gnose émise solitaire sur le pavé gras des remontées mon âme aux multiples élans rassemblée les ongles sales éclairage salace elle offrait à tous le regard baissé les allusions aux baisers que l'araigne compassion éclaboussait par petits jets d'esprit sur le miroir en fond de salle toi la bicolore jeune femme aux habits de charme que la table ronde saisissait par plaques dispersées sur le parvis des algues sages aux macareux heureux soulevés par le vent de mer en partance vers l'huître perlière amuse-gueule des sorties de théâtre.
Le rêve épouse les plots du plateau où faire passer les mots juste la recherche d'un petit bonheur juste avec le sourire de la Joconde.
ea boitšoaro mme mantswe a korotla ahile matlafatsoa ho bua lebitsong la eo e ka buang ka yena e seng hantle ho hang binary ke moemeli oa bobolu sefahlehong sa tsietsi ea hao ho 'na ya re hlomamisang ka mabaka.
Ho rarahana oui mahlomola ee ka baka la boitshepo.
Simposiamo ea Maikutlo a A lumellanoeng e tsoakana ka dibopeho le maikutlo ka ho hasana ha mantsoe a utliloeng.
Ha ho motho ea sa utloeng litsebeng le ho feta hofeta ya nahanang hore o laola karohano 'me e bua ka lentsoe le phahameng ho bohle ba tlang moya o ke o nke lentswe la wona motsu o joalo oa silevera mangole a kobehileng tlasa boiketlo molodi o tukang mokgoa ha khoeli e tolokile.
( Setšoantšo se betliloeng ke Pascale Gerard ) 557
Lehloa le hatakeletsoeng sebopeho se sesesaane monyako wa lekhulo leqephe le thata la ho ngola moya o fatshe feberu ya feberu otla hora putsoa ka ho thothomela ya leloko le lesweu ho bula ka ho phatloha taelo ya makhoaba se sebang ka tsebeng mesong ntle le hore kgwedi e hlahe empa nna hore mahlo a tadima ka pososelo ya weasel.
E 'ngoe voix hurlante vol de l'ange en harmonie louve amie de l'homme la neige claque ses flocons en conciliabule avec l'horizon que ferme la nuée.
Passe ta robe et me joins l'homme au passé révolu ma solitude ennoblie le son des cloches croise le murmure des errants s'ouvre le cœur des tendres en accueil de la rudesse des blessés de l'âme. Petites pierres sculptées contre le mur de chaux recouvert la marche lente sur la neige craquante appelle et replie de gothiques écritures la muse contre l'églantier garantie du sceau des mendiants en cette étendue de rencontres soulevées à merci de l'univers.