højt ur stigende saft, på pladerne gåturen bryde udyrets ånde. Brødrene samles under deres hjemmespundne hætter nær dåbskapellet, krismens tilflugtssted. Forsynende, sjæle flagrer mellem skibets søjler summende bier i tusmørket stilhedens nat snart byder på. Forfædre vil blive hædret brudt brød på forsoningspladerne sukkende verdener. På gulvet levende lys givet til andres hun bliver der, når der ikke er noget tilbage. 413
Tæt på skyggen af de første ting se efter jakken, der vil beskytte os mod kornet, fortsætte den uhindrede vej arbejdernes flettede kurv.
Træerne mine brødre, at være vinden af et hemmeligt formål i chokkets ubevægelighed, være den åbne.
Giv ikke op, et skridt til side, og det ville være enden.
Ærligt sprog og stilhed, løfte vore hjerter til mødernes alter, modtagelse af vores værker, aftale med verdens sjæl.
Gnid hans sten mod den andens sten uden at sorg holder os væk, vi, ikke knyttet til komfort, vi, i rummet, glimt, siv svaje, gennem vores kærligheds periskop.
Dette spyttet at ryste pelargonien kan bringe den anden til forsømmelse. passere bjergene spænder over dalene forbrændingsmotorens spinden blæser sin næse og dør. Ved at støtte havets sjæl forud for handlingen Systematisk tænkning falder glemsel og dens fejl. gennem meditation ved at overhale åbne deres læber svinger mellem mystik og nærvær.
Kommer den valgte vej solen i acme denne dybe aftale med verden vores umindelige franchise.
etisk fremskaffet, frøet med guld, alfabetets bogstav ved montering danne deres ord og sætninger. Åndens pixel, hjernens mysterium, visionen går i opfyldelse fleur, stjerne, papillon, uden at billedet vises på skærmen.
Au creux de l'âme dans l'ombre du vertige se glisse le paradoxe, oiseau cambré devant l'appel. Franchir nos limites, rassembler les bleds, graines en instance d'émergence, offrandes d'Apollon. D'un côté l'autre de l'espace les étoiles se rassemblent et s'opposent si vivement que les pensées prolongent nos rêves. De gré à gré au firmament passent les nuages, alternance syncopée en fond d'univers, effraction dans la teneur du chant. Sur l'acrotère du temple les anges acrobates orientent leur miroir vers la Source originelle. Ensemble, geignent les monstres de nos entrailles écornant les ficelles sociétales de l'entendement. Marche lente, au fronton de nos approches demeure la mandorle invariante éloignant l'air vicié des attachements. Se lovent au sérail de notre imaginaire les ordres de la commanderie, effort consenti à défaire les liens de la discorde. Lumière infrangible de février, la besace pleine de renoncules déverse ses mémoires d'au-delà sans explication ressentie.
Un œil derrière l'arbre à crocs et museau frémissants, le loup s'épanouit en rase campagne. Évaluant l'espace il fend la prairie vers le replat d'avant talus, le pourvoyeur des songes. A mi-carême repu il dort, fricassée de poissons en mémoire des jours passés. Bas sur l'horizon åbne vinduer le soleil flamboie, traces des gens de bien. La ruine attenante en son écrin de framboisiers tresse l'aventure adresse des petites mains volantes. Filage du temps en remontant le cercle des saisons les pleurs se font rares quand vient l'absence. Tout lui ressemble dans cette grande chambre qu'honore l'armoire grinçante aux vieilles fripes odorantes. Passe et nous reviens au village des sabots ferrés place de l'église la tourte de pain brûlante. Voyageur en chemin été venu croque les baies arbustives en souvenir de cette vie.
De utallige mider spredte sig blomsterne slipper den sidste dug alt er stille. Om morgenen filter drømme tanker flager deres friske totter. Hemmeligt og vedholdende de skød og arbejder nattens lækkerier. Udformet i tradition de vælter skamløst ud korn og avner. Forhandle vi tager en juice ved skiven toast. snurrer hurtigt mest fornuftsdygtige vil være væk fra dækning. Små stænk af akvarel vil få stor opmærksomhed ved solopgangen. Alle kommer bryde ordentlighedens is tillade ufravigelig information. Besat af mysterier evig sneskred de bliver lagt på hylden. Pelletées à la porte de la gargotela risée de la fouleles refoulera en cuisine. Monteront alors à fleur de selles rondes de l'enfancele sourire de l'innocence. 407
Fille de l'esprit par dessus les églantiers la vallée s'éveille du monastère s'élève la grâce. Passant par là j'ai franchi le pont de planches aux touffes de cresson entretenues les âmes murmurent. A quelques coudées du lieu sous le peuplier frissonnant le babil des oiseaux remontait le temps. Les feuilles agitées au soleil fricassant s'élevait de gente manière au cristal de l'aube. Bruissant d'abeilles le talus de derrière la maison faisait rempart sans que le soir ne tombe. Finement ciselé dans l'ombre d'un fourré posé sur la mousse l'offre d'or et de pierreries parée. De ses yeux baissés vers le silence du vrai la douce vierge aux fines mains tenait salon des jours heureux. Nez droit bouche fine en son foulard de lin blanc elle était de toute éternité. Ombre ondoyante des grands arbres le long du ruisseau douces herbes se penchèrent sous le chant d'Icelle.
Sur le balatum à la jointure arrachée, bouche aux lèvres exsangues, le poste à galène érafle quelques chuintements. La jungle pisse dans l'aube grise, la piste aux ornières de Savannakhet à Saïgon dispersant le convoi tel hoquets de dentelle. Se reflètent les lourdes pensées faisant scintiller les revenants en galoches ferrées assemblés devant le temple aux tigres éructants. Les barques plates dans les fumerolles du fleuve forment sfumato derrière les lanternes oscillant mollement sous l'enrobé zizillant des moustiques. D'un cri à demi chu l'éveil est instantané sous la frondaison soudainement vivante quand la flèche vibrante frappe le bouton d'or.
Le choc est rude le feu envoyant par le fond les colifichets et douceurs accumulés le temps d'une vie sur le devant des errances. Puissions-nous exposés aux épreuves nommer le pont des souvenances arche glorieuse joignant ce qui fût au plus intime de notre être.
On allait en Auvergnecueillir les bleuets. On allait en Auvergneaider les grands parents à la ferme.
On allait en Auvergne
retrouver les cousins. On allait en Auvergne
faire du vélo.Notre victoirele train passé Neussarguesarrivait en planèzeau vent d'ouest exposé. Nous dansionsau sortir des nuits bruissantes de bouleauxà la table frissonnionsde fraîcheur les yeux mi-clos. Passe la voix venteuse du grenierpar le fenestron de grossière toile colmatéfranchir les ansdans les yeux de Riquette. De mauvais coupsnous furent portésorganistes de l'ombremaugréant de tant de pluie contre la vitre. D'or en épisde coquelicots en margueritescourse entre les présvers la grand'route de La Roussière. Se relever de la chuteun sourire sur les lèvresfrappe frappeà la porte au barou. Lourdes larmesles poules caquettentdevant le siège de pierrela clide est bien fermée. Rangeons les cartons de Cocosoyons droit au bord du rêvenous du frêne et du tilleul frèresles amants de l'oubli. 404