J'ai tondu l'herbe aux pâquerettes invasives en évitant les campanules près de l'amandier puis il y eût le merisier les pommiers les lilas et la glycine, à éviter. éclosion printanière du principe d'amour fulgurant en son apparition cachottier en ses dispositions avec la pousse des feuilles parure encorbellant les mois à venir. J'ai marché dans l'herbe couverte de rosée esquissé quelques mouvements de qi qong inspecté les pots, vasques et bacs des fleurs et arbustes nos respirs. მერე, assis sur la chaise de bois j'ai plongé en errance dans l'immobilité vivante les mains applaudissant les souvenirs surgis de nos jardins croisés en cette vie mienne დაფიქრება le drapé des jours venants, décoction du cosmos, notre père.
Nul n'est hostile quand monte le cri de la nuit mouvance ajustée au crêpe des fascinations. Se parent de mille feux le cœur des Anges et son échanson, l'Inaugural au temps de la moisson. Épuisés et vindicatifs le Sacré par la cheminée le Secret par la parole humaine Tous montèrent dire adieu à notre mère. S'épuisèrent devant pillage à ravaler en commissions occultes les ambiguïtés du massacre des animaux en leurs entrailles. Serions-nous de trop devant l'éclaircie de l'Être à céder notre place à la clarté de l’éther ?
S'échappa par delà la collinedivine et médisante Mélusinecette rencontre nuptiale évoquéepar un matin de méditante pensée. S'attardant au déploiement des originesau sens du sens que le berger paginele bouc du Parnasse à demi-nuafficha l'éternel oubli de l'être. Silencieuse flamme en bord de l'Analogueéphémère parolepromesse fidèle à son appelde l'intérieur le chemin fût gravi. En l'azur du destinpar la clarté naissantel'âme en pèlerinagebattait la campagne. Patrie des ondées murmuranteshavre de nos cœurs vagabondsles sépias de l'enfancedéposèrent la trouvaille. Grenaille disposée en éventailvous fûtes si nombreux à demander le corpsque s'enfla la rumeurd'une reconstruction prétendue humble. 418
Des mots de cliques et de claques signent le ciel d'ordures clinquantes. Les errances sont légitimées par les propagandes baveuses. Les attaques aériennes abreuvent la nuit du sifflement des bombes. Des tombes retournées fleurissent les fêlures de l'esprit. Il n'y a d'espoir que la petite main poétique clouée sur la porte des granges. Les insectes même se suicident sur les plages abandonnées. Დილით le sol sera recouvert de fiel. Gesticulations entretenues d'êtres dénués d'amour. La mort est là, tenancière cuivrée des cymbales apocalyptiques. L'arbre dresse son squelette sur les plaines suffoquées.
მანონი ახალგაზრდა მთვარის ქალია ვისი სული მიდის სინათლის სისწრაფით ის საბედნიეროდ შეუზღუდავია გონებრივი გარეშე განსჯის გარეშე სამყაროსთან მისი ურთიერთობა ბუნების ფაქტია Sa maturité artistique relève de la pure nécessitéროგორ გრძნობს ის რასაც ცხოვრობს მომენტში მისი ღირებულებები უცხოა იმისთვის, რაც კეთდება მისი სიმართლე არის ის მომენტი მგრძნობელობა ჟესტთან უშუალო კონტაქტში ის ირაციონალურია უწყვეტ ნაკადში ის არის ფუნდამენტურად სამართლიანი პრინციპი ადამიანისა, რომელიც უნდა გამოიტანოს ცხოველისგან ეს არ არის მანონი, ვინც ხელმძღვანელობს ნახატს სწორედ მისი მეშვეობით კეთდება მხატვრობა.
( მანონ ვიჩის ნამუშევარი )
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