
寺院の溝の下
y'a romance
時の流れの物語
木製の足の裏の行列
葦のスリル
ドアの蝶番
私たちが開くこと
ときしみ
明日または明後
何もありません
腕がぶら下がっている
目を上げる
水平方向
雲の花綱
空を越えて
軽度の失神
粘土舗装に
欠けた爪で引っ掻く
アリの通過
川で
ツリーレスに向かって
しわのある砂.
336
寺院の溝の下
y'a romance
時の流れの物語
木製の足の裏の行列
葦のスリル
ドアの蝶番
私たちが開くこと
ときしみ
明日または明後
何もありません
腕がぶら下がっている
目を上げる
水平方向
雲の花綱
空を越えて
軽度の失神
粘土舗装に
欠けた爪で引っ掻く
アリの通過
川で
ツリーレスに向かって
しわのある砂.
336
私の年齢
木に向かって座って
見た
消滅した獣脂球
日暮れに
砕氷船の湿布
ミッションから戻る
父と母の子孫
知るリスクがある
終末炎
私の年表が散らばっている
風の強い夜
オープンキャリア
et
最後の荷車
cahootsで
終末論的な推論者と
私たちのビルダー
私たちの墓掘り
私たちの発明者.
337
割引潮
引き潮
カウントダウン潮
堆積した潮
回復潮
最後のしゃっくりが表示されますか
下にスライド
ハリエニシダの斜面
待機する
池のミズゴケ
私の通信
良い乗組員で
一緒にスピード違反
私が死ぬのを待たずに
泣きながら
商店の天蓋の下
家族のリンク.
338
ブラックオブブラック
地下のライティングデスクで
カローラからカローラへ
ロープを締めます
犬とオオカミの間.
韻律をキャプチャする
ハゲタカの鳴き声の
目がくらむようなヨット
遺骨のごみ収集員
疑いもなく
偽造なし
悲しみに圧倒される.
伸ばした手の上昇
湧き出る
白い
無煙炭の壁の
月の反射で
街の明かりから離れて
ツブの音に
革のマントで覆われた歩哨
牛飼いは何を着ていますか
むち上げ,
祭壇の前のviaticum
公言された欠陥を驚かせる場所.
グランドベデスタンド
ねじ込みピエロ帽子
彼の額にフランケンシュタイン,
糸巻き棒ゴリラ
粘土板のタグ付け
彼の考えの傷,
楔形文字の痕跡
玄関先に刻印
一滴ずつ
自分が愛していることを知りたがっている空の.
335
緑の太陽の下で
私たちの子供の頃の.
流れる水
井戸から池まで.
2匹のイモリ
男性1人女性1人.
甘い香り
春の香り.
上から下まで
彫像が表示されます.
エンドクラップ
屈辱を受けます.
バリアに取り付けられています
レインボーエピローグ.
喉の獣脂
ロープのスライド.
欲望の端
手持ちの着陸網.
何でもあり
すべてが存在を反映しています.
鏡の前
陽気な顔.
難しいことから先に進む
入札するものに.
惚れます
自分で.
理論なし
内からの強さ.
グレース
私たちはそれを受け取ります.
ママン
言わないで.
トランスミッション
リレーレース.
すべての魂は豊かです
他人への注意.
蝶だらけ
これらの無重力のメッセンジャー.
ほうきとハリエニシダの間
壁が開く.
風を回す
行き止まりを回避する.
真の沈黙の前に
スウィートロンプ.
聞く
呼吸する空気.
334
Si belle à l'ombre
et cousue d'esprit
elle se pavanait
chapeau de paille
au gré des œillades matricielles.
Surgirent
l'entre-chats l'entre-chiens
des surprises brèves
sans sourciller sans barguigner
la cigarette en apostrophe.
Maugréant ci-devant
au parvis de l'outrage
les fresques rupestres
de ses vêtements d'emprunt
se prirent dans les rayons
d'une bicyclette
sans béquille
avec sonnette tintinnabulante
et garde-boues de bois
pour se tenir bien droite.
Elle zigzaguait
de platane en platane
le fossé aux grenouilles
crevant ses bulles amères
à mesure de l'errance.
Sans cérémonial
dentelles au vent
elle déchira la brume matutinale
mains sur la guidoline
un soupçon de mimosa sur le nez.
Si belle à l'ombre
et cousue d'esprit
elle se pavanait
chapeau de paille
au gré des œillades matricielles.
333
Pas à pas, de voyage en voyage, au cercle d'un cirque que le sable isole la rumeur soulève les rideaux du spectacle. Entrée colorée, barnum bruyant, poussière soulevée du cortège animal, des passions de l'âme élevées aux pinacles des temples à démanteler, à mettre à la raison et métamorphoser. De sang et de couleurs, les cris furieux des Érinyes ont détruit les paysages de l'enfance, les lèvres d'argile des sources ont fait place aux buses de ciment, la pierre des protections a été arrachée, les haies ont été abattues, les fossés comblés, le renard argenté ne retrouvera plus le centre, un vent mauvais rabat les grumeaux de terre vers les terrasses de pierres sèches, un vieux frêne murmure ses dernières dispositions. La nuit roucoule, pigeons de l'âme en surplomb des manquements à l'humaine condition, les mensonges populistes remplacent le chant des poètes, les chenilles des engins de guerre suivent les souliers ferrés des poilus, le ciel s'assombrit, même les arbres sculptés par le vent d'ouest se sont couchés sous la tempête. L'air est fétide, sur le mur des lamentations les papiers de l'en-vie froissés et forcés aux jointures des pierres couvertes de lichens deviennent chairs pantelantes d'un tsimtsoum aléatoire. Les mains décharnées, hors des poches à l'avenant écorchent l'oubli, les yeux révulsés clipsent les valeurs de l'esprit, une crème sulfureuse maquille d'un sourire de clown nos errances dernières. La fureur fait place à la nuit, au silence, enlaidie par les passes d'armes des combats et des haines, pommelée par la levée des moissons nouvelles, devenues complice consentante d'une renaissance de pacotille. Il n'est d'herbes officinales que celles du printemps, herbes collégiales du baiser des amants dispersés en quête du grand chambardement, un quignon de pain en fond de sac, l'eau dans le ciboire des altérités. Nous lèverons le Son des ricochets, cailloux jetés sur la rivière, à portée des demandeurs d'asile, en sortie de notre exil. 332
La mémoire en apnée
quatre fleurs en rebord de fenêtre
petite fille à quatre pattes
à flot
d'un soleil émargé
par mon frère, mon ami, mon fils, mon camarade
associés
à l'aube d'un amandier fleuri
lorsque l'ongle
raye d'un trait aigu
le passage de l'été
éveil des miradors
sur la plaine disposés
sage frontispice
par dessus la forêt
œil préposé
sans qu'alunissent
考え
monte en retour
cette flèche cathédrale
crevant le panier d'osier du patrimoine
étendue
sur le drap des origines
en balbutiement d'être
les galoches pendantes
au bout des jambes maigres
à mesure
poussières d'or
des mains effaçant
le sceptre des exigences
paroles échappées
d'une outre crevée
soupçon des remembrances
sans que famine vienne
en cette obscure contrée
où femmes, hommes et enfants après la mitraille
encensent de leur clarté
la brassée de fleurs fanées
les cheveux défaits
au sarcasme des casques à pointe
brisant les tibias des corps blanchis
au cirque d'une évacuation de circonstance
charrettes et baluchons à l'avenant
ma petite fille
je vais faire du feu
もう一度
te conter une histoire pour t'endormir
feuille d'argent
disposée en rebord de fenêtre
à flotter
sur la mer des souvenirs
parade nuptiale
ouverture blanche
des portes d'amour
à pousser d'un geste tendre
loin très loin des berges
l'ombre de l'orme colossal.
331
飛んだ
たばこを持った若者
この階段の混乱の中で
ステップが現れずに
小さな椅子と引き換えに
座って、人々は何と言いますか
彼の長い指で
嘲笑を投げる
控えめに
トロイの木馬
壊して入る
ヴィンセントの部屋
期待の殿堂
猫がテーブルに飛び乗る
子供の首を抱きしめる
終末の一瞥で切断する
千と一の誘惑のゲーム
ブレイキングナイトオーブン
隆起した震え
リニューアルの外輪
涼しい朝に
それでも焼灼
これらの考えのキンポウゲ
荒い息で
権利放棄
ドックで
電車が空気を裂くことなく
その無脊椎動物の鳴き声の
燃焼廃棄物の蓄積
部分的に
牧神の熱烈な屈曲を新たにする
唱える乙女の前で.
窓の後ろ
冬の木
その場で決めるのを避けた
過ぎ去った過去の愛の言葉.
330
A l'orée du songe
le père
tend la main
la mère
mains dans le dos
le chien
clôt la trace
l'enfant
se cache.
Au loin un moulin hollandais
au premier étage
les appartements sont ouverts
les colonnes soutiennent les arches
un blanc laiteux couvre les murs
le cheval est prêt.
1 !
monte
efface les gourmandises
d'un geste
ne retiens pas la mort
sois le vent dans la fraîcheur du matin clair
sois l'ardoyant de ton espace
hoquette la vie
au vermillon d'un spasme
sois le ciel en gloire
mon enfant
mon diamant de l'instant
à la commissure des lèvres
point de sourire
juste l'occasion d'une cavalcade
juste la friction avec l'éternel.
Éclair foudroyant
tu connais le chemin
en douceur
hors l'inter-dits
des velléités de l'ombre.
Sois
figé au calvaire des épousés
la cible des vérités
cette pièce de velours
où poser sa tête
yeux dans les yeux
avant la déchirure.
317