Et c'est bien ainsi ,car cela n'a pas été faciled'oublier les guenillesde l'enfant construit dans l'obéissanceet de l'adulte formatésommé de fléchir le coldevant le joug des savoir-faires sociaux .Tu as vécutu as parcouru le mondetu as éprouvé la souffranceet mutésans toujours naître à toi-même .Le mimétisme qui t'a fait survivren'est qu'un cache-misèredevant l'épreuve ultime ,n'est qu'un cache-sexedevant la pulsion à perpétuer l'espèce ,n'est qu'un cache-cœurpar le forçage des sentiments à évacuer le malheur ,n'est qu'un cache-nezpour n'avoir pu respirer les effluves d'un nouvel-âgen'est qu'un rince-doigtspour n'avoir pu manipuler la connaissance ,n'est qu'un croche-piedpour tes envies d'espaces inassouvies ,n'est qu'un cloche-piedpour avoir fait des choixsans soutenir plus avant le paradoxe créatifmarche imposéeaurore vers la transdisciplinarité.
Tu es figétu es fossiliséet le vent du désertau crible de ses particulesfait disparaître les protections charnellessquelette vibrantlivrer au grand videle chant premier des origines .Il est des cadavres desséchésaux graphismes mystérieuxque l'aventurier rencontreet croque sur le carnet de voyage ,menues tâches d'encrestraits aigus et blanchisd'entre les tracesd'un temps ailleursd'une conscience autre .Il est des parenthèsesde mise en scènede rodomontadesde mise sous tutelleoù ne plus s'appartenirobjet de convenancesalors qu'il y a tant à fairemy les sujets du royaumeen conquête de notre humanité .Juste un gestejuste une chanson pour embrasser l'universpour signes de Vieunir l'eau et le feusous l'arche des solitudes .Être en étincelle d'êtrele frisson des morsuressans que l'esprit ne se relâche ,býthors du chaosl'émerveillementnous les rousses fourmis livréesau précipité de nos occupations quotidiennes ,être impérativement responsable .Puis avant que le sabotne lève la poussière d'une sente blanchesavoir couper court aux illusions ,être enjouédes souvenances passagèresjuste ce qu'il faut ,être en haleineà perdre le souffleet que vienneen notre attentela lumière du fond des âgesau précipité des chose suessans abrisle regard levéla verticalité assuméle sourire aux lèvresgratifiant d'une entière acceptiontyto věcices éclatsces brumesque nul enchanteur de pacotille ne peut déceler .Reste à la mer de caresser la grèvesous un ciel de traîne ,à contempler une fois encorenotre chance d'être du mystèrepour que cela soit ,de fairede défaireau fil à fil du chemin vertla bobine de bois ,denteléeélastique torsadémorceau de savon secallumette désouffrée ,avancer sur le parquet disjointaux épingles couturières abandonnéesà la commissure d'un sourire igné .Ce qui est là ,cet inattendu ,d'une façon très intense ,c'est la vie avant la mort ,la nôtrecelle qui me porte ,m'imprègne et m'anime .Cette vie là ,l'éternité .211
V horní části stěnyHorká břidlice kolejnice na židleZáře obličeje s měkkýma očimas bílým plnovousemže hlas vibruje .Měřítko životaspadl z prvního plazaže vítr odfoukne z cestyna hackerské chyby .mlhovkaběhem dechu šelmyjít nahoru údolím .Vyražené odsazeníAvogadrova číslajehož otevřené sako odhalujesrdce obklopené myrhou .Hladký letandělé nahořekaštan a dub cesmínovýsloupy mého domu .Vertikální myšlenímimo náhlou vlnudrsné vůněvyměněných otisků prstů .Jen sebev kom ten druhýnáhradní tradice .Prozíravosts rizikem bytíprávě tento obratna úsvitu začátku dne .210
Všechny ty kteří přicházejí dopředu vycházející z lesa na okraji řečeného . À celles et ceux trápí nesourodé myšlenky fragmenty minulosti že nemůžeme zapomenout . Těm které rukávovým efektem ukázat se u oken hájící dav bezejmenných . Stalo se mi to sbírám moje zavazadla těsně před odjezdem k znehybnění času . Stalo se mi to ve stínu stromu vržena měsícem bát se chladu novinek . Mohl jsem fouknout do lastury a už nebudu zdržovat mé touhy spojit s patou nálada rozkvetlých luk . Pak se vraťte k těm obvyklá dobrodružství přidat se k davu top srdce myšlenky čárového kódu každodenní cesty .
Amour tajný unie se souvenir cœur blessé rires croissant de lune soleil et lune partir en aventure brûlure la séparation mûrit l'âme voyage mon cœur est fou de toi au miroir de ta main rose épine ronces ne dis rien je te cherche d'espace en espace.