Lub caij

Lub caij
À toutes les saisons
Je t’aime Reine
Dans cet envol vers la lumière.

Reste à courber le chef
Pour soulever la pierre qui m’enserre
Moi l’emmuré vivant
Immobilisé et englouti.

Ô force ténébreuse
Caniche d’opérette à tête de canard
Pattes d’oiseau, arrière-train de chien et queue burlesque
Je t’abjure de m’extraire du marécage.

Tout semble perdu
Pour l’homme dans sa chute
Ligoté et paralysé telle la proie dans la toile
Hormis les forces défaillantes.

Du fin fond de l’ombre
Les énergies reptiliennes
M’engagent au dernier moment
À suivre le noble cerf de la guérison.

La marche vers l’infini commence
L’exploration de soi est le cheminement
La chute initie à la remontée
La capacité de se transformer.


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