Tsuas yog nyob ntawd, hauv nws lub cev, zoo zoo. Ua pa tam sim no.
Thiab saib. Xav tias koj tag nrho yog yaj nyob rau hauv lub ntsej muag ntawm no
uas yog nyob rau hauv pem hauv ntej ntawm koj.
Thiab nws tseem ceeb npaum li cas yog qhov kev txwv ntawm kuv thiab qhov kuv qhia kuv tus kheej tau tshwm sim?, tsiv, qhov muag plooj thiab tom qab ntawd zoo li ua kom muaj zog los ntawm lub zog tsis muaj qhov chaw lossis qhov chaw.
Ntev feeb, tos los tsis tos,
nws tseem ceeb npaum li cas txij li thaum kuv muaj ntau yam keeb kwm raws li qhov kawg ntawm lub ntiaj teb no, thiab tias cov
lub sij hawm pulses sab nraum lub sij hawm dhau mus ntawm suab paj nruag thiaj hais tias kuv luam kuv
xav thiab kuv cov lus ntawm qhov tsis paub tam sim no.
Thov kom tus lark coj kuv tawm ntawm no reverie qhia kuv tias lig dhau lawm kuv yuav tau mus tsev.
Yuav tsum tau muab tshem tawm yog tag nrho
tus kheej, liab qab kiag li, kom cia txoj kev xyiv fab no tawm mus uas twb muaj lawm
Peb, qhov kev xyiv fab no ua ntej peb.
Tsis tas yuav mus nrhiav nws los.
Nws twb nyob ntawm no lawm.
Une des voies de la liberté intérieure n’est pas à trouver dans l’affirmation de soi comme on l’entend trop souvent, mais juste dans le fait d’être là. Juste là.
Juste être soi, ni plus ni moins, et être ouvert à l’autre.
La fureur de l’acte créateur dans toute sa nudité existentielle
semble surgir de la matière psychique du tiers inclus par la mise en évidence
de l’affectivité du tiers caché.
Chaque visage est un texte à déchiffrer . Si j'observe le visage de l'autre sans le réduire à ce que je crois en connaître, alors une ouverture peut se produire dans ma conscience et c'est ainsi que Dieu me vient à l'idée .
Le visage de l'autre reconnu dans son altérité est de l'ordre de l'insaisissable et de l'infini .
Le visage est un continent qu'on a jamais fini d'explorer, une terre sans limite, un océan sans fond.
Ses traits, son relief comme celui de l'écorce terrestre, gardent l'empreinte de toutes les grandes et petites secousses qui l'ont marqué .
Lire entre les lignes du visage suppose une " claire voyance " qui vient du cœur, va droit au cœur etqui s'appelle l'Amour. Le visage, cette icône de l'invisible, est bien plus fine, plus précieuse et plus belle encore, quand l'être qui l'a peinte par son vécu, est passé par l'épreuve.
La relation avec le visage se produit comme bonté .
Regarder le visage d'une personne, c'est mettre son ego de côté, c'est tenter de s'oublier, soi ; c'est se laisser contempler par le visage de l'autre, de ce prochain qui est là, en face de soi et nous oblige, nécessairement et tendrement, à faire de l'étranger son frère le plus proche.
" En te regardant ton bon sourire m'envahit ... Suis-je encore de ce monde ? " " Merci marraine . Merci ma bonne fée . "
Et bien qu’ayant trop cédé pour moins que rien à l’événement extérieur, celui-ci m’a néanmoins permis la lecture de mes démons intérieurs et une petite avancée vers la lumière.
Et ce n’est pas si mal surtout si, le vent brassant les éoliennes, énumère les possibilités d’émerveillement du monde.
” C’est en forgeant qu’on devient forgeron, c’est
en lisant qu’on devient liseron. “
Et en photographiant qu’on devient photographon –
C’est la faute au graphe et au fond et si cela se conjoint ça devient ”
faut grapher le fond ” –
Il s’agit ici d’une écriture proche de la Vision. Si bien qu’en
développant le processus intégrateur de la chaîne faite de mots et de sons de
ce qui se montre, l’on passe le mur du symbolisme. Il y a alors accès au
parl’être, faille par laquelle s’engouffrent les paradoxes, le non sens, une bouffée
de nouveauté, et le vol aléatoire d’un grand oiseau ivre de liberté : le
fol-en-l’être qui renverse les perspectives de tout projet humaniste.