Pierres dernières ,papillons de l'enfance ,les branches effeuillées du frênene lèveront plus la poussière du chemin .La coccinelle sera libérée de la boîte aux ampoulespour au pointu de l'herbeprendre son envol ,ses ailes noires sous la chitine rouge à points noirsbruissant contre ma joue .Au bout du bâton ,lever la bouse sècheet découvrir vers et insectesdans leur travail de décompositionavec pour roi ,le coléoptère noir .Retourner la pierre ,c'est voir le sombre enclosde la pression de l'en-dedans ,c'est se rencontrer en solitudeavec l’œil du cœur .Il est des pierres ,sur la pâture ,posées au gré du temps .Il est de ma libertéde les placer où bon me semble ,maisjuste sur le passage des cavaliers. 203
A la retombée d'un songe sans que la cloche sonne je m'éveille et rejoins l'homme d'albâtre à la longue langue ailée isolant l'un de l'autre le vieillard de la connaissance du vieillard de la sagesse .
Des miradors , les cristaux de glace figent la nuit des égarés pour , formes révélées organiser la danse des ombres le long des lisières de l'oubli .
Puis vint le sifflement appuyé d'un météorite se consumant en sa chutelente pourpermettre au clapet de la nuit des solitudes de libérer le jour d'être soi.
Xafra, une fois nommée, une
fois reconnue, n’existe pas hors de ce que son observateur en fait .
Il n’y a pas d’âme
en soi , mais à un certain niveau de conscience nous pouvons en saisir des
effets par notre intention de l’appréhender, par notre vigilance à porter notre
regard au-delà du visible et par notre intuition qu’il y a encore bien des
choses à découvrir dans notre monde et que l’insistance de notre intelligence à
vouloir rendre clair l’inconnu si proche et pourtant si difficilement
exprimable n’est qu’un palier sur notre chemin de quête de l’absolu .
L’âme n’est pas
une croyance ni ne saurait se réduire à une inférence ; c’est une pratique qui
nous convoque à être de ce monde, dans ce monde, par l’ouverture et
l’acceptation à ce qui est .
L’âme est
mouvement, elle possède une capacité de mobilité qui évolue dans le temps
avec l’histoire, le nombre et l’intensité des métamorphoses, des épreuves
réussies et des obstacles franchis .
Notre
chemin de vie, cet éveil à la conscience, ce grandir de l’Etre qui nous anime
; je propose de le scinder en trois étapes, chacune ayant son nombre de
degrés de liberté, de dimensions de l’espace parcouru propre à chacun de nous,
selon un mode adapté au travail qui nous semble exigé par une instance
extérieure et suprême que nous pouvons appeler l’océan primordial, Dieu, l’être
suprême, le vide créateur, le grand Mystère ou autre .
La première
étape est celle de la réalisation concrète et extérieure de l’êtreavec la mise en place des
bases à partir desquelles le reste de la construction pourra s’élever . Cette
période nécessairement d’expérimentation ne peut se mettre en oeuvre que sur le
mode intellectuel linéaire de la dualité . Le mouvement consiste en une
succession de rapprochements et d’éloignements des deux termes de cette dualité
. Les éléments perçus, ressentis et analysés deviennent des arguments qui se précipitent
l’un vers l’autre jusqu’au moment ou leur degré d’agressivité, de connaissance
et d’estime réciproque est suffisant pour substituer à la rencontre éprouvante
un contact de fusion d’où va émaner un troisième terme : l’esprit . Cette étape n’évoluera
pas lorsque les deux termes en conflit, perdant leur spécificité par le
méli-mélo de leur altercation, altèreront leurs forces jusqu’à un arrêt
signifiant la perte d’une perspective de sens, la mort en quelque sorte . La
joute se pratique jusqu’à ce que chaque combattant connaisse toutes les
finesses de cet art et toutes les subtilités de l’adversaire . L’exploration de
l’espace est linéaire ; xafra, à ce stade ne connaît rien de ce qui existe de
part et d’autre de l’unique voie sur laquelle le véhicule qui la transporte est
contraint de circuler .
La deuxième
étape est celle de l’être dont la structure passe de deux à trois composantes . Le plan d’investigation
de la connaissance va alors être parcouru selon un mouvement circulaire . A
partir d’une zone centrale, au coeur de laquelle se trouve le point
d’immobilité qui contemple. L’âme décrit un cercle à une vitesse convenue .
Imbagħad, lorsque ce cercle voisin de la zone centrale a été reconnu en détail, la
découverte s’étend de proche en proche à des circonférences de plus en plus
éloignées du centre . A ce stade, c’est une connaissance intérieure qui est
acquise, celle d’être le chercheur découvreur des lois qui gèrent l’infiniment
petit et l’infiniment grand . De circonférences en circonférences de plus en plus
éloignées du centre l’être est désireux de conclure . Le but semble si proche .
Et c’est là qu’un retournement peut s’effectuer . L’être dans sa tri-unité
expérimentée et confondue va pouvoir alors pouvoir tirer un grand trait sur
tout cet acquit qui n’est que construction occasionnelle . Il va pouvoir mourir
à son oeuvre pour revivre tel le phoenix sur des niveaux propices à sa destinée
.
Dans le
troisième stade le mouvement linéaire s’ajoutant au parcours circulaire, la
spirale de la réalisation se met en place, vis sans fin d’une ascension
, tentative pour réduire la distance avec l’absolu, marche vers un devenir
jamais achevé dont la promesse est fruit, épanouissement suprême, perfection,
retour aux origines, retour à soi . Plan par plan, niveau après niveau , l’âme
va tenter de se situer sur cette troisième dimension jusqu’à consommation des
cycles, jusqu’à notre dernier souffle . Quant à ce qui est au bout du chemin
nul ne le sait et le saura ; et c’est bien ainsi . Il pourrait s’agir d’un
stade où les âmes auraient nécessairement purifié une grande part de la matière
pour que l’accès à l’axe du retour les hausse au-dessus du plan terrestre .
Kultant, au creux
de nos profondes nuits, un orbe numineux apparaît ; signe que certaines âmes
devenues visibles à l’ensemble de l’humanité soient les repères et phares
permettant de dissiper les doutes et de stimuler notre effort à être
. Quel que soit soit le point atteint dans l’un des trois stades, la chute
est possible tant l’équilibre réalisé est fragile . Un rien le menace . Il est
d’autant plus vulnérable qu’il se croit assuré . Capable de résister aux plus
effroyables tempêtes il peut aussi être renversé par la moindre brise .Rejoindre “sa”
destinée, rejoindre “la” destinée ; serait-ce la
direction montrée par la dynamique de l’âme ?
L-irġiel huma magħmula minn sustanza inkredibbli . kemm laħam,
moħħ u spirtu, huma kollha l-istess u għalhekk kollha għandhom l-istess
setgħat u possibbiltajiet essenzjali . Il-kobor tagħhom jidher minn kulħadd .
Kulħadd jista’ jsir kbir . Kull kostitwent tal-Misteru, Li minnhom
ma nistgħux nifhmu bħalissa, ta’ dak li hu lil hinn minna, huwa a
kostitwent tal-bniedem .
Xafra, cette capacité que nous avons d’agir et de gouverner corps et esprit, doit pallier aux limites et erreurs de l’homme en quête de la Connaissance . super kompitu, parce que relevant du grandir de l’être, iżda madankollu kompitu li l-istadji tiegħu, bi tpattija, peuvent secréter l’euphorie, intemperanza, kburija, għama, ix-xewqa għall-poter, le pouvoir, toutes réactions émotionnelles et égocentriques recouvrant du voile trouble de l’ignorance la moindre avancée de la science lorsque celle-ci n’est pas associée à une réflexion ontologique sur le devenir de la nature humaine . Biex tevita dan il-ħaxix ħażin hemm soluzzjoni : que l’âme soit connectée à l’Esprit Universel .
L-Ispirtu Universali ma jistax ikun a
entità mill-qiegħ tal-univers jew kunċett metafiżiku minn a
teorija reliġjuża ; huwa l-post oriġinarju u immaġinarju t-tnejn
sorsi li minnhom joħorġu s-sejbiet tagħna . L-Ispirtu Universali huwa vibranti
sustanzi intelliġenti li minnhom ġejjin l-affarijiet . Huwa hemm,
fi u permezz ta’ kollox, u l-bniedem irid jiġi f’kuntatt miegħu
u anke biex tingħaqad miegħu biexl-għarfien jiġri . U għalhekk,
biex jimxu t-triq għall-Għarfien, hemm ir-ruħ .
Xafra mhix organu imma
janima u jeżerċita l-organi kollha . Ir-ruħ mhix funzjoni bħal
l-intellett li jimmemorizza, ikkalkula u qabbel . Ir-ruħ mhix fakultà imma
dawl li għandna aċċess għalih . Hi mhix ir-rieda jew
intenzjoni imma pjuttost din ir-rieda tkun rieda u intenzjoni . Hija
immensità bla pussess li ma jistax jiġi pussess . Hi tiegħi u
mhux tiegħi fl-istess ħin . Jien u nibqa' fiċ-ċentru tagħha filwaqt li
jesperimentaha . Hija l-ingwanta u l-ingwanta mdawra 'l fuq tal-qabda ta'
id-destin tagħna .
Ir-ruħ hija din l-aspirazzjoni li tipprovdi lilu nnifsu biha
fehim hekk kif “mistoqsija” tqum, il-kwistjoni ta 'tagħna
twelid fuq l-art, ta’ dak li rridu nagħmlu hemmhekk u tal-finitudità tagħna .
Ir-ruħ hija dik il-leħen żgħira fil-qiegħ
sider tagħna, dan il-vuċi mill-qalb, din l-intuwizzjoni, dan l-appoġġ, din is-saħħa
li jmexxina u jġegħelna nixtiequ ngħixu aħjar minn fejn qegħdin .
Xafra, biex jinkiseb funzjonament sħiħ,
trid tnaddaf dak li tikkondizzjonaha għall-istinti u d-drawwiet tagħna u
drawwiet tan-natura ta’ l-art tagħna . Ir-raġel għandu jkun lest għal xogħol ta
meditazzjoni u riflessjoni fuq dak li jifridna minn dak aħjar għal liema
naspiraw . Il-bniedem irid jitla’ għal livelli oħra ta’ kuxjenza u
jabbandunaw ċerti azzjonijiet li għadhom għaddejjin li mhumiex konformi ma tagħha
l-ogħla proġetti .
Dan id-dawl ta’ ġewwa jrid jidher, vue,
jismu, protetti, u kummissjonar għal, parti mir-ruħ tagħna,
li nkunu l-enerġija tad-destin tagħna bħala bniedem fit-triq .
Huwa allura li xogħol ta 'ġbir, de réappropriation de ces composants – korp, misteru, ruħ, esprit, għarfien, dawl, enerġija -, nous engage à nous situer à un autre stade de compréhension, għal livell ieħor ta’ realtà . Il s’agit de rassembler ces éléments en un renversement de perspective où la chaîne dialectique qui lie les composantes les unes aux autres passerait la main, biex tikkunsidra a ” forma ” integratur, spazju olistiku li jgħaqqad, une sorte de viatique actif, sejħa għall-ordni, qui ne représenterait pas le souvenir d’une personne remarquable ayant vécue sagement, mais l’invitation à être grand, għalih innifsu, għall-forma li aħna nkunu l-kustodju .
Din il-forma, ejja nsejħulha ” forma tal-ħajja “, nous accompagnera en permanence, fuq il-vista . Cette forme-vie c’est nous et bien plus que nous parce qu’englobante de ce qui nous entoure . Hija se tkun il-garanti, hemm marru, en nos propres perceptions, feltru, intuizzjonijiet, liftijiet tal-memorja, analiżi, azzjonijiet .
Il n’est alors plus temps de se porter vers l’arrière, biex taħseb, imma li jkun eminentement sinċier fil-ħsieb tiegħu, de se reconnaître comme une personnalité puissante qui reçoit des connaissances par l’aspiration de ce qui est là à portée d’âme, et sait tout ce qu’elle a besoin de savoir . Il-bniedem animat minn ruħu jsir ” ruħ suprema ” va vers son intégration, lill-unità tiegħu .
In-nixxiegħa ta’ ħajtu li għaliha jissottometti t-taħrika
ir-raġel b'viġilanza involuta .
Aċċess għal tiegħu ” ruħ suprema ” , et, s’il en était ainsi la chute serait terrible, car dans l’ordre de la connaissance sensible la montée suivie d’une épreuve provoque un passage par les bas-fonds . Et il n’y aura pas de passe-droit . Għandna fina żewġ awtoritajiet interni li jiġbdulna, one up, għad-dawl, u wieħed isfel u dlam .
Les progrès de l’âme ne se font pas par gradation mais par une ascension de l’ordre de la métamorphose – minn bajda sa dudu, du ver au papillon . Le prinċipju ta’ diskontinwità turi l-fertilità tagħha hawn . Ma’ kull qabża ta’ tkabbir il-bniedem jiżviluppa fejn hu, là où il passe et œuvre . Ir-ragel, moħħu, l-abbiltajiet tiegħu, l-għarfien tiegħu – dont nous rappelons la forme unitaire, tiċrit il-qoxra tal-viżibbli u l-lest, pour, sortant dans l’éternité inspirer et expirer son air, l’air primordial . Il abandonne sa tunique de peau aux portes de l’universalité .
L’âme propose la simple élévation de l’être comme légèreté spécifique, non dans une vertu particulière mais pour toutes les vertus . Huwa lil hinn mid-dettalji li l-intelliġenza tagħna jikkonċepixxi . Hija tipproduċi, lil hinn mill-procrastination li tiffriżah – dawn dead-to-self – , libertà, une attitude d’action et de détermination dans la poursuite de nos buts, ainsi que de la gratitude pour les épreuves surmontées .
Merħba fir-ruħ ta’ kull mument, bidu
u fl-aħħar tal-ġurnata, fil-bidu u fl-aħħar tal-ħajja, fl-iżvolġiment tal-
jiltaqa’ mal-ambjent kemm jekk hux persuna, sitwazzjoni,
perċezzjoni sensorja, sinjal maġġuri ostentati ta’ din il-forma-ħajja li
ir-ruh suprema tistieden ghall-festa ta
Ħajja .
” Xafra … Jien nofs triq
ta’ l-anġlu li hu jien jien u tal-forma trippla tiegħi . Magħqudin b’dan id-dawl ċar,
dan id-dawl huwa dak kollu li nipperċepixxi . Jalla l-enerġija ta 'awto divina
ispirani u d-dawl tar-ruħ jidderieġini . Jalla nkun immexxi minn dan
enerġija spiritwali li hija jiena mill-irreal għal dak reali, tad-dlam
għad-dawl, mill-mortalità għall-immortalità . Hekk ikun u
jalla niġu megħjunin nagħmlu l-inkarigu tagħna . “
Dawk kollha li jersqu ’l quddiem ħiereġ mill-foresta fuq tarf l-affarijiet qal . Lil dawk itturmentat minn ħsibijiet magħquda il-frammenti ta’ passat li ma nistgħux ninsew . Lil dawk li mill-effett tal-kmiem juru lilhom infushom fit-twieqi haranguing-folla ta bla isem . Ġara lili niġbor il-bagalji tiegħi eżatt qabel titlaq biex timmobilizza l-ħin . Ġara lili taħt id-dell ta’ siġra mitfugħa mill-qamar li tibża’ mill-bard tan-novitajiet . Nista 'nfoħ fil-conch u ma jibqax iżomm lura x-xewqat tiegħi tingħaqad b'għarqub il-burdata tal-mergħat tal-fjuri . Imbagħad lura lejn dawk avventuri tas-soltu ingħaqad mal-folla qlub ta’ fuq ħsibijiet tal-bar code tal-vjaġġ ta’ kuljum .
Għaliex
huma tant nisa u rġiel skjavi ta’ sitwazzjoni, ta’ qawwa, minn
oħrajn, b’ħarsa jew waħedhom ?
Għaliex
jgħixu ssiġillati fil-mergħa kwadra taċ-ċertezzi tagħhom, ġol
“huwa bħal dan, huwa hekk, m'hemm xejn x'tagħmel !”, mingħajr ma tara
id-dell li jillimita l-libertajiet tagħhom, dan l-għeluq sneaky, dan l-aċċess għal aktar
milli huma stess li jagħmluhom jieħdu ftit arja friska billi jmorru x’imkien ieħor ?
Sempliċement
għax jibżgħu . Bħallikieku l-ktajjen li jorbtuhom u jikkundannawhom
għas-sitwazzjonijiet skjavi tagħhom, kienu protezzjoni kontra l-biża . Bħal
kieku dawn il-ktajjen ta’ bla viżjoni jżommuhom milli jbatu u jmutu .
Għal biża’ ta’ dak li ma jdumx . Quddiem dak li jista’ jġorrhom u
jitbiegħdu mill-ewwel kumdità tagħhom jippreferu jibqgħu mwaħħlin .
Clinging tagħhom
drawwiet, l-illużjonijiet tagħhom, l-ideali tagħhom, gideb tagħhom u t-twemmin tagħhom,
huma għalhekk jittamaw li jwaqqfu l-prospett ta 'ħajja li inexorably
twassal għat-tmiem ta’ kollox . Bħallikieku kien hemm xi ħaġa oħra
il-ħajja reali, din il-ħajja li tagħha l-mewt hija parti integrali .
Iżda dawn tqal
ktajjen jagħmluhom jegħrqu u jegħrqu. Iridu jmutu qabel ma jkollhom
għexu .
Huma jgħaddu
tal-preżent, marbutin kif inhuma ma’ memorji tal-imgħoddi u mal-utopja ta’
għada . Jidhru u joħolmu mingħajr ma jaraw ix-xafra tal-ħaxix li tikber taħt
sieqhom . ils jipprofetizzaw incognito, l-għonq miġbud lejn il-pillory mill-inqas
qal, fit-tfittxija ta oblivion li jippermettilhom jaħarbu l-rabja ta
koinċidenza , direzzjoni dritta għal dak li jidher li huma kuntentizza .
Huma mhumiex
jippreżentaw lilhom infushom . Jibżgħu minn dak li hemm, hawn u issa . il
ir-realtà u l-impermanenza ta’ kollox iġibuhom ġenn u jaljenawhom
żmien iżda għadu mhux sal-punt li peeking madwar l-
xatt ta’ ħajjithom .
Il-fluss ta 'a
preżent perpetwu jagħmilhom inkwetati . Jixtiequ tant li jieħdu d-drogi mal-
lures finta ta 'ċertezza, inti virtwali, clichés li jagħmluhom
qisu oħrajn, dawk l-oħrajn li madankollu jiċħdu d-dritt għalihom
nifs daqshom . Biex titħallat mal-folla filwaqt li umiljjaha .
Għaliex jħassru
l-eżistenza tiegħu biex tiġi mgħaqqda kontra l-vagaries tal-ħajja, tibni
fortizzi strambi kontra ż-żmien li jgħaddi ?
Irġiel
jilbsu lilhom infushom jirreżistu għada inkwetanti wisq, iżżejjed, mingħajr
jirrealizzaw li jibqgħu mwaħħla fl-istess post – statwi strambi ta
melħ, wieqfa quddiem in-nixxiegħa tal-ħajja li tistenniehom.
Għaliex
bilwieqfa waqt li madwarek kollox huwa aġitazzjoni, turbolenza, trasformazzjoni
?
Għaliex din il-ħtieġa
ta' immobilità, jipproteġi lilu nnifsu b’deni mill-bidla ?
Għax il-bniedem
huwa annimal ta’ rutina, min jibża’ min mhux magħruf, stramba, stramb ; u
li jfittex b’kull mezz il-veritajiet, valuri, liġijiet, minn
assigurazzjoni, garanziji . U għalhekk huwa lest li jbigħ ir-ruħ tiegħu
kontra kull niskata trab pixie li jġiegħlu jiddewweb
fil-ħolm tiegħu, fil-kastelli tiegħu fi Spanja .
Ir-raġel għandu wkoll
biża mid-dell tiegħu, ta’ din il-parti inumana tal-bniedem li bil-mixi tieg[u
jinjora, fehim ħażin, abbuż, spolie, jisfrutta, tirannizza u jrażżan lill-proxxmu .
Għall-biża 'ta'
il-bniedem tal-mewt ifittex li jgħix għal dejjem f’aspirazzjoni kbira għaliha
rutina bla waqfien, imġieba mmarkata bis-siġill tas-sostenibbiltà, ta
dwejjaq u rqad “kalm” . Filwaqt li s-soċjetà tagħna
industrija hija bbażata fuq il-produzzjoni ta 'oġġetti li qatt ma huma
sostenibbli sabiex nipproduċu dejjem aktar f’dinja ttamata fl-eternità
tkabbir !
U l-bniedem
ivvintaw idoli, allat, sabiex immortalize u tevita kollox
raġunament ibbażat fuq iċ-ċertezza li se jgħix għal ċertu żmien biss, a
maż-żmien .
Allura l-bniedem
jirreaġixxi kontra dan id-destin implakabbli . Huwa kemm iħobb kif ukoll jobgħod xiex
jaqbeż u ma jistax jikkontrolla . Ma jammettix li hu mmexxi minn xi ħadd iktar b’saħħtu minnu
. Huwa jittratta ħażin tiegħu, tisraq lil Omm l-Art u tirrelega lil Alla-Missier għal dinja
inaċċessibbli .
L-allat
omnipotenti jirriżulta li ma jkunx effettiv, il-fidi pueril tal-bnedmin tagħmilhom
ritorn għar-raġuni empirika tal-allat soċjali ttimbrati bi
rispettabbiltà minn dak li se jingħad mill-midja . Huwa jdub fil-quddiesa, mur
fil-grawnd, fil-banjijiet termali, fic-cirku u titkellem bla tarf fuq l-agora ta
virtwalitajiet, għajn waħda fuq l-iskrin żgħir, riflessjoni tal-big screen tar-realtajiet
li ma jistax jiffaċċja r-rilevanza kbira wisq tiegħu .
Barded ma
iċ-ċertezzi xjentifiċi, ir-raġel jimxi bl-addoċċ … sakemm ħabat ġo
il-kumpless infinitament u l-konvinzjoni li r-reali ma jistax jiġi subjugat, lanqas minn
it-teknika, lanqas mill-allat .
Jekk ma jagħmilx suwiċidju
le, huwa lest li jiċċirkoskrivi, bl-intelliġenza u r-raġunament, il
kbir kollox ghal, jibla’ r-rieda tiegħu għall-poter u l-kburija tiegħu, indirizz lil
xtut taumiltà, bħala l-aħħar ċans qabel id-diżingaġġ suprem, qabel
ġenn .
Bl-umiltà,
kura aħħarija għall-paranojja, il-bniedem irid jgħix f’armonija
man-natura sabiex jassumi l-kumplessità tar-realtà billi jiġru l-
riduzzjoniżmi, jirrinunzjaw biex jiddominaw, jieħdu u skjavi xejn .
Il-bniedem għandu jkun fil-vertikalita tiegħu .
Huwa għandu mbagħad
ikkultiva l-ġentilezza, billi tiddenunzja l-qtil u l-vjolenza kollha, fi
jeqirdu idolatriji, sabiex jipprovdi lilu nnifsu bil-ħajja .
Kien jitħalla
biex ngħid hekk “oui” , fil-libertà u l-istagħġib, għal dak li hu, għal
li l-perikli ta 'illużjoni fading, ħalli t-tenerezza tal-
relazzjoni bbażata fuq frugalità f’komunjoni man-Natura .
La synchronicité est le phénomène par lequel deux événements se trouvent liéssimultanément par le sens et non par la cause .
Autrement dit, la synchronicité se manifeste lorsqu’il y a une coïncidence significative entre un événement extérieur objectif et un phénomène ou un état psychique particulier sans qu’on puisse imaginer un mécanisme de causalité entre eux .
Le phénomène de synchronicité représente donc une rencontre aléatoire et simultanée de deux ou plusieurs chaînes d’événements indépendants mais ayant une forte signification pour le sujet alors sensible à la mise en résonance des deux phénomènes . C’est alors que tout prend sens .
Le sujet qui vit une synchronicité est témoin d’une irruption de sens qui apparaît comme une évidence entre des événements sans qu’il ait besoin de chercher quoi que ce soit .
Ces phénomènes ne sont pas l’aboutissement d’une réflexion intellectuelle mais d’une expérience qui provoque un grand trouble chez celui qui le vit car elle perturbe la représentation logique et rationnelle de la réalité du moment .
Carl Gustav Jung considère que notre attitude mentale d’Occidental rationaliste n’est pas la seule attitude possible qui permet de saisir une quelconque totalité ; et qu’au contraire elle est un parti pris partiel et limité qu’il conviendrait de corriger si nous voulons avancer dans notre connaissance personnelle et la connaissance du monde .
Le lien qui relie deux événements qui à priori n’avaient que peu de chances de se rencontrer nous montre, par la mise en résonance de phénomènes concomitants, que la réalité n’est pas uniquement constituée de manifestations séparées les unes des autres .
Ce lien qui n’est pas explicable par le principe de causalité suggère l’unicité des deux éléments en présence : l’élément physique et l’élément psychique . Comme s’ils étaient “intriqués”, corrélés et manifestant un ordre global .
Un vaste réseau relierait-il, non pas de façon linéaire mais sous la forme d’un tissage invisible ces différents éléments à une totalité sous-jacente au monde phénoménal ?
Le physicien David Bohm présuppose l’existence d’un “océan d’énergie” à l’arrière-plan de l’univers, un arrière-plan ni matériel, ni psychique mais qui serait transcendant . Il existerait un fond qui se trouverait bien en amont de la matière d’une part tout autant que des profondeurs de la conscience d’autre part ; et que cet arrière-plan serait d’une dimension infinie car ne pouvant être embrassé ni par l’une ni par l’autre . D’où cette impression que peuvent avoir les personnes qui vivent ces phénomènes “d’unicité de l’être” ou “d’être en sympathie” avec l’univers, thoss “l’unité avec le monde”, non pas avec le monde à la réalité multiple dans lequel nous nous mouvons consciemment mais avec un monde potentiel qui correspondrait au fondement éternel de notre existence .
Dans ce phénomène de synchronicité il n’y a pas d’avant ou d’après puisqu’il n’y a pas de relation causale entre les événements. Aussi cette relation a-causale ne peut que déstabiliser l’approche linéaire du temps qui structure notre vision du monde .
Pour bien comprendre ces phénomènes, il est intéressant de s’ouvrir à d’autres façons de penser, d’être au monde dans ce qui se déploie hors toute attitude préconçue , hors de nos atermoiements et de nos peurs .
La corrélation à distance entre l’état psychique d’une personne et un événement extérieur est un phénomène global qui nous ramène à l’intrication quantique .
Jung et Pauli convinrent que la relation causale était insuffisante pour appréhender toute la réalité vécue . Ils en vinrent à considérer qu’existait un lien, une correspondance, entre la psyché et la matière, et ceci à travers “un sens préexistant”, qui dans notre espace-temps à relation a-causale permettrait de considérer la psyché et la matière comme deux facettes complémentaires . Nous entrerions alors dans des paysages à la fois intérieurs et extérieurs où, au travers des échos lancés par la danse intemporelle de l’univers, atteindre un monde unitaire que Jung appelle “l’Unus Mundi”, une mystérieuse et vaste matrice d’informations où tout est en potentiel .
Mais comment favoriser ces moments de synchronicité ?
Nous pouvons seulement y être un peu plus attentif en étant les artisans, les chercheurs, d’un autre regard sur le monde où tout semble relié, nous les “expérienceurs” d’uneoccasion d’ouverture au principe d’unité non-matérielle qui sous-tend notre monde phénoménologique .
Pour David Bohm, il existe deux ordres du monde :
l’ordre explicite et l’ordre implicite .
L’ordre explicite est à portée de tout un chacun
par des objets, des particules et des événements qui se situent dans notre
espace-temps . Il caractérise des réalisations temporaires dans lesquelles les
choses sont dépliées, dans le sens que chaque chose s’étend seulement dans sa
propre région particulière d’espace et de temps, en dehors de zones appartenant
aux autres choses . Mais ces éléments ne sont que des réalisations temporaires
qui surviennent depuis un arrière-plan qui est d’ordre implicite .
L’ordre implicite, pour David Bohm, est un
agencement où les formes-événements sont repliées en une plénitude totale dans
une région à la fois vaste et unitaire qui sous-tend le monde explicite . Cet
ordre n’est pas accessible à notre entendement commun, à nos organes
sensoriels, tout en étant intuitionnellement proche de nous et surtout d’une
profondeur infinie . Cet ordre implicite n’intéresse pas la plupart des
scientifiques qui ne jurent que par le côté explicite de la réalité . Aussi
l’ordre implicite plane-t-il comme une virtualité plausible qu’on ne saurait
dévoiler qu’en présence de plus grand que soi, qu’en reconnaissance d’un monde
subtil que nous avons la nécessité de chercher à investir .
Selon David Bohm, cet état d’ordre implicite
existe dans tout l’univers . Quand un événement se produit et fait émerger une
forme visible, cette forme ne fait que promouvoir, ne fait qu’expliciter, sous
un aspect particulier et temporaire ce qu’il y a d’implicite à la source .
La nature de l’univers pourrait être alors un flux
d’ondes porteuses d’informations qui se manifesteraient à certains moments,
selon des conditions permettant un ajustement dans le monde explicite, et que
nous considérerions comme étant la réalité . Nous retrouvons là, les mêmes
caractéristiques du champ quantique, véritable matrice invisible de notre
réalité qui échappe à nos notions ordinaires d’espace-temps.
Connaître, c’est
affirmer une traduction des réalités du monde extérieur. C’est co-produire un
objet. C’est le tissage de sens effectué entre un élément du monde extérieur et
nos facultés à assujettir cet “élément hors-nous” à notre être, sujet
pensant, producteur de sens.
Nous sommes des
passeurs d’objectivité en perpétuelle défragmentation de notre être à
conquérir.
L’objectivité est
un produit qui s’ajoute à la donnée qui ressort, elle, de l’objectivité
scientifique. On peut aussi à partir de l’objet circonvenir le sujet qui de
participant et agissant de la création de l’objet devient, corrélativement,
devant l’émergence de l’objet, sujet conscient.
Un dialogue
s’établit entre le sujet et l’objet. Une logique récursive est là à l’oeuvre ;
nous produisons de la connaissance et les objets que nous avons produits
participent de notre production individuelle tout autant que les individus
produisent la société qui produit les individus.
Ainsi, connaître,
c’est rencontrer l’autre, c’est apparaître à l’autre et par l’autre en naissant
avec lui, c’est ouvrir la porte vers l’extérieur, c’est s’exprimer.
Connaître c’est donner une forme au paradoxe d’énonciation de la théorie
objective qui se conjugue avec le caractère subjectif du sujet.
Le paradigme .
Le paradigme est
une manière de lier des notions ou catégories fondamentales par inclusion,
disjonction, conjonction, exclusion, pour aboutir à un type de relation
logique. Le paradigme discerne certaines relations logiques plutôt que d’autres
en toute subjectivité. En ce sens il ne peut relever de l’objectivité par le
contrôle qu’il opère sur la parole mais crée néanmoins les conditions de la
péroraison , ce singulier couplage du syllogisme et de la résonance aboutissant
à une réalité de passage.
Le paradigme par
ses contours péremptoires alimente la polémique dont il structure les enjeux et
organise les modalités de confrontation. Par son entièreté exposée, il
rassemble les avis et convoque leurs auteurs à la raison tout autant qu’à la résonance
dans un double mouvement de joie conservatrice et de prise de risque dans
l’invocation de l’imaginaire.
Le paradigme
contrôle la logique du discours. Il est une opportunité de contrôler à la fois
ce qu’il y a de logique et de sémantique dans un discours. Il permet, dans des
conditions de liberté et de responsabilité assujettissant l’homme à son
environnement, et par son écartèlement propitiatoire entre ce qui est et ce qui
n’est pas, entre l’accompli et le non accompli, entre le fermé et l’ouvert,
l’accès à un autre niveau de réalité.
Le paradigme
couvre une large palette de la connaissance, de son aspect le plus simple à
celui de la plus grande complexité. Le paradigme de la complexité a besoin du
paradigme de la simplicité pour pouvoir asseoir son développement. Le paradigme
de la simplicité est un paradigme qui met de l’odre dans l’univers en tentant
de chasser la trop grande complication. La simplicité voit un élément et pas
l’autre élément. Le principe de simplicité soit sépare ce qui est lié
(disjonction), soit unifie ce qui est épars (réduction). Le paradigme de la
complexité part, lui, en vrille sèche devant la sidération causée par
l’inconnu, l’inconcevable ou le tout autre ; il engendre la complétude espérée
sur le mode de l’incomplétude concédée.
L’idéologie .
L’idéologie est
une notion neutre ; c’est un système d’idées qui peut prendre l’aspect d’une
doctrine, d’une philosophie, d’une théorie. Il existe une multitude
d’idéologies qui appartiennent à des groupes humains, à des cultures, à des
associations qui dureront un certain temps. L’idéologie structure, rassemble,
cadre et limite le groupe dans sa double acceptation sécuritaire et
liberticide. Ces idées sont ce qu’elles sont ; elles obligent le
“chercheur de sens” à l’acceptation de ce qui est, à la perspicacité,
à l’humilité, à une visée transdisciplinaire faite d’incomplétude, de non
séparabilité des éléments entre eux et d’ouverture à ce qui advient, à ce qui
est et sera..
L’idéologie n’a
que faire de la morale au sens universel du terme ; elle est transmorale et
engage l’être-conscient que nous tentons d’être à une disposition
comportementale faite de fluidité d’esprit, de coeur et d’acceptation de toute
forme de la vie dans ce qu’elle a de surprenant, de rationnel, d’irrationnel,
de bouleversant, de tonitruant et de merveilleux sur notre terre.
Ces systèmes codés
que sont les idéologies sont au dessus des lois. Elles nous engagent à être de
ce monde tout en laissant une ouverture à l’hors-monde, à tout ce qui ne relève
pas encore des domaines de la connaissance … mais dans les limites de
l’idéologie du moment.
L’idéologie ; le
chemin de l’affirmation de soi, le chemin de la soumission à plus fort que soi,
le chemin des noirceurs consenties par notre peur de réellement penser, le
chemin des formules sèches apposées au frontons des temples, le chemin de la
survie pour qui ne sait vivre.
L’idéologie,
nécessairement sujette à caution dès qu’on la saisit sous l’aspect de ses
multiples avatars – doctrines, religions, habitudes, coutumes -, et
qu’une analyse complexe de sa mise en place et de son évolution la confronte à
ses sources, se trouve être l’arène où s’affrontent le sujet et l’objet, entre
l’homme et son ombre, entre le bien et le mal, entre le tout et les parties,
rencontre bouleversante à court terme et créatrice de lendemains qui chantent
ou déchantent, rencontre à plus long terme, spontanée, pleine d’énergie et de
nouveauté, de rebondissements, de beauté, de coeur, d’innocence et de
dépassement de soi sur son chemin.
Je ne sais rien , et pourtant .Serait-ce ?Un camp de nomades campant entre mes yeux ?Un panneau indicateur du sens à donner à la vie?La piste noire des atterrissages pour un dauphin céleste ?Le grand fleuve de l'air ?Le crâne des chants de l'essentiel ?Un rideau rouge qui s'ouvrirait dans le mauvais sens ?La levée d'une fleur au désert ?Le mirage doux amer d'un soir de solitude ?La charité engendrant le parfum métallique d'une rose des sables ?Un amour en infinie conversation ?Le cri suraiguë d'une larme de cristal ?Une anecdote colportée entre ciel et terre ?Une joie éternelle sans que l'architecte intervienne ?Un épervier à son zénith se mirant dans une naine blanche ?Un ange né dans la paume de la main ?Une très humble et douce pensée d'amour ?Les pétales de la dernière étoile ?Un caillou et puis son double en saccades réfléchi ?Le jet de tous nos soucis ?L'entre parenthèses du visage des nuées ?La trace des oiseaux de passage en route vers la pensée ?L'émerveillement ceint de deux festivités ?Un "6 mars 2014" de garde ce jour ci ?Un caillou en son centre dissout par une comète ?Le ventre décharné de la patience à bout de souffle ?Le bruit d'un papier que l'on froisse ?L'anémone pulsatile d'un frais printemps ?Une chambre d'or en ses rideaux de tulle ?Une petite fille qui mange du chocolat ?Le maquillage enlevé au soir du grand savoir ?Le creuset où rejoindre sa famille d'origine ?Un pied dans l'au-delà et l'autre en terre ?Une goutte de présence entre les lèvres de l'absence ?Une étiquette collée par les doigts de la foi ?La frêle relique d'un saint ?Le cri égaré d'un courrier en instance ?Le calme d'un torrent au sortir des gorges de la montagne ?L'adolescent tenant contre son flanc le hérisson de son enfance ?Un couffin de fruits et de légumes dans l'arche de Noé ?Le regard mystique qui fait exister le je ne sais quoi ?L'incomplétude essentielle à toute perfection ?La lumière qui s'attarde entre deux paravents ?L'humble vêture de la grande vie dont nous ne savons pas grand chose ?Le départ. Le libre court enfin donné aux étoiles dans notre ciel intérieur ?( Peinture d'Elianthe Dautais ) 194