Baċil tal-ilmabejn il-bniedem u l-kruhajgħaddi l-fluss ta 'ħsibijiet mutesaqa kbira tiegħufuq il-memorjatespandi biex tkunbiex tmiss il-fjamma li tgħaqqad .Oqgħod attent mill-mostruiħeġġeġ u fantasiji assortitif’kull wieħed minnajoffru l-polpa morraGħall-aħjar offertaqawmien min jgħaddi .Ir-raġel fil-kappell u n-nuċċalijietHarold Lloyd reinkarnatdelight b'idejhom vojtail-fjura fuq l-ispallaonomatopeata’ marċ tat-tieġlejn ix-xatt l-ieħor deher . ( Œuvre de Sylvain Gérard . ) 264
Oriġinarjament ,Le contact avec les puissances de l'esprit ,Une porte béante ,Un bouche à bouche avec l'éternité .Jiena nħoloq bid-demm friskLe couteau dans le ventre de mon fils ,Pharaon des orages à venir .Nitlob għall-grazzjaEn repli de l'enfant éteint ,Que claque le briquetAu sursaut d'une dernière nuitSans bagageAvec l'infini pour ciel de traîne ,Ma vie au creux des vagues froides ,Le crêpe du deuil ,Sur la plaine des silencesQue parcourent à petits pasLes saintes femmes .263
Knocker tal-biebMa maison est en boisQue le gong allège .Għatx ngħid il-ħossDes oraisons en pâmoisonHors l'ordre vitupéré .Moħħ TomgħodSous le ciel d'un cœurImpact des balles fraîches .Kuritur EssenzjaliPour de plus amples promenadesSans rambarde pour devoir .Fil-hollow tal-censersFiltre le doux regardDe l'enfant en devenir .Għanbaqar imfarrak bejn żewġ swabaGant de crin mouilléOffrande aux mille bouddhas .262
Tu ouvres l'œiltu fermes l'œilet ton doigt sacrémontre le cheminsi loin, hekk qribobjet sans objetnudité absoluele coloriage qui t'animeest épaisseur impénétrable .Elève - toisois l'aigle glatissantcueille les grappes de la vigneéponge ton frontcaresse le chien qui passe .Ô homme,ô femmeirradiants ensemblela mandorle des saisons .Cloches, croches,au son du tambourinairesoyons le verbe des officiantscarène de la rumeur processionnaireclaquement de bannièresous le linteau des entréesprésence coutumièredu paladin sous la coupoleen quête de lumière .Il n'est d'Être réaliséque l'acrobateélevé par les hourrasau sommet de son artsourcilleux devant la demandeécartelé par les voix angéliquesprêt à tendre son miroir concaveà celui qui, au petit matineffectuera le retournement . ( Détail d'un tableau de Manon Vichy ) 261