Si menues les mains de Marieque l'orgue émet le chant des oiseauxgazouillis d'entre les voilesde la montée vers l'aube. Sur l'âne musicienj'ai mesuré du regardla distance du moi au soiune pichenette d'éternité. De crânes à même le sablepointl'obsidienne par contrese lamentant d'ordres laissés là. Noire de peau et blanc d'écumedans l'encadrement de la fenêtreune fumée s'élèvedouce et tracassière. Ils sont beaux et bonsles chants de l'Êtreoutres ouvertes des enfants d'Emmaüslibres d'angoisse et de néant. Caresse d'ombresur le gril du soleild'une quête danse l'amourà l'avenant. 389
Ces mains qui ne ressemblent à rienpas même à la plaie se refermant. Cette embrasure de porte franchiepour respiration se faire forte. Ce regard si lointainsans que lève le voilelà contre l'épaulecadrage des jours tristesà contempler les fusains de Sylvainrevenus à flotsnausée au court-bouillonles cafards de la mémoirecrachotant leurs déjectionsau rythme d'une cigarette. La fenêtre était ouverteles mouettes tournoyaientle vent suça la moelle des osune dernière foispuiser l'eau du puits de la Vieilleun bruit derrière la porteje savais qu'il ne viendrait pasmâchuré au vertige de l'oublidu vent dans les venellesà encorner le diableet s'y mirermousse douceau limon des jours fertilesune bougie sur le devantune lanterne à l'arrière. 388
Bâtir pour ne plus avoir à devenir. Ignorer les morsures quotidiennes pour plus de légèreté dans l'élévation. Savoir recueillir le reste des échecs en démarche de conscience.
Etre le loup en lisière et feindre d'ignorer le barbelé des grandes plaines. Écarquiller les yeux devant l'expansion du vent d'ouest.
A l'aube se séparer des preuves de lune pour marcher vers la lumière. Économiser la chandelle sans que brûle le bûcher des souvenirs.
Sacraliser la myopie intérieure au linge froissé des nuits de repli.
Savoir tourner la roue pour que s'épande le sable.
Se lever encore et encore malgré les plaies de l'enfance.
Devenir perle trouée avant que le sel ne te ronge.
Une nuit en tendressed'élans pulvériséeles feuilles d'automneorchestrent la retombée sur terre. Du bruit dans la lessiveuseune clé par inadvertancelaissée dans la pocheun oubli pour trop peu dire. A niveause mettre céanset puis rienun rayon de soleil par le volet à claire-voie. Partir tout doucementpapillonnant au gré du ventsans ressentimentjuste un œillet entre les dents. Asseoir son arrivéesur la pierre dure de l'entréesous les barreaux de la fenêtreÔ Mère Grand ! 387
することが, perdus Dans la frilosité des avancées technologiquesCoups de gueule contre le mur des incompréhensionsSe lient et se délientLes bonnes raisonsAu sens giratoire d'un consumérisme béat. ひづめの熱意で打つ Le condominium des afflictionsL'homme de bureEn ses vérités surannéesDevient Don QuichotteDerrière le miroir des lamentations. オーケストラピットを登る L'appel des repris de justice, Vêtus d'hardes spectrales, Corps éventrées, Rigueur ajoutée, Harnachés d'obsolescence programmée. 固定されていないセルロース En effraction d'un ordre disperséLe temps appelle le tempsAu creux d'un nid de coucouLa vase refluanteColmatant les brèches de l'oubliS'enquière d'une halte secourable. 誰がどこから来たのか Dans un faisceau de lumièreLes mains ouvragèresAux doigts grêlés de piqûresRonde enivranteLe regard baisséRassemblant les myriades d'âmes errantesAutour d'un chant psalmodiéQue le tissage expose. 385
すべてとても敏感 秋のカエデの葉 一目で赤 地面に落ちる fleurant bon la cigognequ'un air de fête accompagnâtその飛行中. 魂が現れる 絹のような努力の花束で au soleil naissant de tendres accolades.
Haut les cœurs愛撫する 星のシャワーで中断 坂を転がり落ちた 人生の輪 ストリームにダウン 散らばった思い出 ピンクの持ち上げられた唇 私たちの目の身廊に向かって de tant d'étoiles éclose.383
私は影の戦士です 苦い波は私に誓いを破らせません. クォンツ " Il " 来て後ろから殴った la voie lactée s'enroula d'une écharpe dernière.
私は覚醒します 再発性のど損傷 キャノピーを介した呼び出し 雨の夜の風に しゃがむ マスターツリーに対して. 口に入れて運ぶ 新鮮な樹皮水 緊張した耳 枯れ葉の地面 ざわめく色あせた思い出. 沼の匂いを吐き出す 赤い月が再生されます de ses pupilles aiguisées澄んだ空のギャップのダンス entre les draperies de la ramureとすすけた雲. 私は力のバッジを身に着けています 義務の盾に 核分裂性の言葉で自分を失う 凍ったオーブに des songes rouges sangs. 381