Mascotte des horizons courbes.
Du songe lumineux de la femmel'astre crible jusqu'à sa quintessencel'homme missionné.
Longue est la voiedes lutteurs de sablele devoir est gerçureaux chercheurs de liberténul échange de parolesjuste le reflet offert무엇에 .Jardin de ton visageélan de nos cœurs mêlésaccueil de la source de mielentre mon âme consuméeet l'ombre du dragon .Je fais et défais le dispersépour ce corps à découvertmesure du mystère surgi~ 동안émergence des brumeslaisser poindrela ruse des mots.
Je cligne d이자형 l'œilétreinte douce des voiles déchirésévocation de l'amour탑 하트des temps à venir.
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Au 42 y'a la porte de l'industrieux . Ici point de belles lettres , rien que de la parabole au sens du bon Samaritain .
Effondré , il gisait sur le pavé , passaient les passants de l'oubli , disparaissant même dans les contractions de nos cœurs sans âme 한 방울씩 des coups d’œil jetés en affliction convenue tel le temps sur une coque vide .
그 다음에 , retournement de situation , la porte s'ouvrit , avec insistance cette main tendue vers lui , l'unique .
Pauvre homme , roué de coups , il gisait , couvert de plaies , dévoré par les stigmates de son imperfection , faiblesse qu'il ne voulait ni voir ni nommer .
Transpercé , humilié , dépouillé , à fond de cale , il fût happé par la fraîcheur d'un baume .
Enfin il obéissait , il était libre , hors de sa personne , hors du tout autre mêlé .
Il revenait vers lui , il naissait , il accouchait , il connaissait .
Se redressant , il prit ses hardes , s'enquit de là où il devait se rendre , le visage en lumière , le regard généreux , le pas sûr , pour offrir aux gens de rencontre , le doux sourire , de ceux qui savent , que derrière le dépassement de soi-même , se cache le beau du beau , l'ambre des cachalots de l'esprit .
Vivre à l'ombre de ce qui est Vivre sans tête en abscisse douce contre l'ordonnée élégante de la courbe croissante l'espace d'un souffle .
Ouvrir le placard Entrer en déliement d'être les objets montant la garde hors de leur utilité méticuleuse sans que l'offre ne se fasse .
Ne mangeons pas notre pain blanc laissons les pigeons descendre dans l'arène entre les murs de béton à becqueter les miettes viennoises à croiser l'inquiétude le téléphone collé à l'oreille .
Enceinte sa main contre ses cheveux elle cause puis se rassoit de dos cachée par le montant métallique de la verrière .
Je me désaxe cette torsade assise la main contre la tempe le sac en bas de chaise 움직이지 않는 .
Elle rangera les fioles et les bocaux sans omettre les sachets de thé puis fermera la porte dans un silence d'après-midi de printemps .
Qu'une vapeur recouvre la vitre que surgisse le suint d'une vision que le maître éteigne la lumière nous pourrons alors vivre dans l'ombre la calme délectation d'un jour sans fin .
Étirer un quart d'heure d'attente du carrelage à la fresque bleutée lèvres chaudes refroidies à la craie De bain brosse à dents galipette des reflets au ressaut de l'Inconnaissable le bulbeux du faussaire hante de sa patte rêche les blessures du mur nonchalante banalité source bruissante du graphisme Afficionados des songes par un soleil printanier où le bus vieux-rouge me frôle d'ombre et de lumière entre le chien et le lapin du tableau de bord le feulement des autos immobilise le geste des parents traversant la rue leurs petits à la main une femme pousse le landau des soupçons de voix derrière les vitres fermées cette tendinite à la base du cou me contraint à ne pas reculer un scooter rugit un couple marche en se tenant le bras un garçon sur sa trottinette et puis le silence, quelques secondes sinon rien L'enseigne de la pharmacie clignote sa croix verte jadis la croix fût rouge un mur peint en trompe l’œil avec le clocher d'une église J'y vais
Les passants qui passentachètent l'objet ,
passent la portepuis disparaissentle temps d'un temps qui s'épaissit ;
~ tentation d'une clé à tourner .Gifle ,réponse inflexible ,la peau simplement désignée ,langue de velours ,
그것은이다pelle du char de carnaval les consonnes advenues .La plaque d'égout되려고 ,en son goudron ,décatie ,une échancrure de gaieté sur sa face de lune .Ne l'imitez pas ,Ne transformez pas son habit de cimenten identité céleste .Soyez le réceptacle de son chaos .Entrez en dissidence .Ayez la démarche courtoise d'un salut de hasard .Respectez son silence ,
de ce que raconte les contesne choisissez pas .Sachez être courtois .Ayez le mot de paix .Soyez le bon .Soyez le lumineux .Ayez le sourire croque-pupillesderrière la vénitienne .Et si le pas presse ,n'accordez d'importance qu'à votre corps qui pense .Soyez pied à pied le raccourci de l'âme .Grimpez la pente ,pour juste regard porté à l'encan ,exploser de beauté .Il se pourrait que vos jambes ,sans se couper de votre être ,sortent du piège d'un espace changeant .Divine rose descendue du plafond .Etre l'esprit de ce lai d'amour .Qu'un passant passe ,l'ombre se déplace ,le souffle rassemble les énergies ,une voix indique le chemin ." Marchez entre ciel et terre "226
Pour me dire que l'enfant a bien grandi Qu'il est éternel Comme l'éternelle jeunesse du monde .
D'une autre contrée Tu vins Et je m'enquis de te retenir Hors des chimères Hors des moments où la force ne s'imprime plus .
Tu me pris par la main Sans question Sans certitude Avec juste le besoin de vivre ton époque .
Tu n'avais pas besoin d'aide Pour affirmer ton identité Une dose d'absolu t'animait .
J'avais déjà accompagné tes hésitations Ton hétérodoxie me semblait inextinguible Sans domaine attribué Tu pouvais mettre à mal les institutions .
Tu pouvais te moquer de ma sénilité Des choses en place tu n'avais cure Tu élargissais le fossé existant Entre la société officielle De l'homme bardé de médailles De l'homme au secret des cachots de l'esprit Élaborant au risque d'être blessé L'avenant des fausses protections Le passe-murailles du chaos stellaire .
Ce n'était pas la première fois Qu'il y avait désaccord Tout était histoire de racines De celles que conforte l'ordre établi De celles qui passées au crible de la crise Méritent de resurgir .
Toi mon enfant-apprenti Des tessons de l'esprit Tu graves la symbolique de notre relation Sur la terre du Croissant Fertile Tu épelles à jeun Le texte des nourritures à venir Où se rencontrer .
Tu savais lire le chiffre ésotérique Du quotidien révolu Tu savais déchiffrer le cri des enfants D'entre les sonnailles de la rhétorique sociétale .
Tu étais arrogant Mais sans arrogance point d'accès au royaume .
Tu savais faire jaillir la gerbe d'étincelles Sur la pierre des sacrifices Et brandir l'épée de décision Individuelle et collective .
Tes mots étaient simples Ceints de cette capacité A faire sortir la littérature de ses ornières Pour épeler les données fondamentales .
Tu savais Et pourtant Humble Tu nous invitais à la retenue Sur cette terre d'entre les ruines Où recueillir l'humus immémorial des cryptes dévastées .
Tu relevais ce qui était couché Toi l'incarné Soucieux de découvrir l'alphabet Dans la palmeraie d'un oasis sans blessure .
Tu as été embarrassé Par le carcan des certitudes 너 Cette lumière de fin d'orage Portant loin le propos de ton voyage Marqueur initiatique Imprimant au fronton des temples la tolérance .
Mon avenir Mon fils Ma congruence Mon enfant éternel Tu vins Et te tins En rébellion A me dire La désinvolture De cette époque laminée Par de grandes douleurs .
Ma force ma ruse A même de rassembler L'épars de nos haillons Au coeur du discernement .
Tu renouvelles le secret des créateurs Tes pérégrinations sont l'injonction fracassante D'être l'entièreté de l'être .
Toi le pont Toi la porte Toi le passage Toi la nécessité Tu sus trouver la trace Pour débarquer par effraction Messager d'origine inouï Et vivre entre ces parents improbables Le reste de ton âge .
Remue Sors de ta grotte Et me viens tordre le bras Sur l'enclume des mondanités .
Sois l'inflexible transgression .
Des vagabondages libertaires .
Sois en célérité La comète émerveillée des nuits d'été .
Sois le bond hors de la tranchée Atteint d'une flèche acérée
Ivre d'une stupeur sépulcrale .
Et si parfois tu fus l'enfant-apprenti Ce n'était que pour rire Penché sur la margelle Ardente épiphanie Hors des eaux outrenoires de la fontaine .
Mon enfant des soirées passées à la bougie Tu es manifestation de l'invisible au sein du visible Occurrence d'entre les apparences Expression nourricières de l'ouverture .
Toi le fondateur des labyrinthes Des courants d'air L'horizontalité blanche de tes cris à fond de cale Évoque et contamine L'énigme flottante De la vie de l'instant Échappant aux flashes nucléaires de la désorganisation .
Tu n'as plus de limites Tu es sans prix Délié Immaturément replié en ton havre de souffrances Échancrure rougeoyante dans le rationalisme étriqué .
Tu es raison et émotion En lettres brûlantes Inscrites sur la porte des granges Entre la chauve-souris et la patte de lapin Ton feuilleté végétal enjambe les codicilles .
Tu es le ventre saillant De ces rituels Décors Agapes Où fondre l'airain de notre fulgurance .
Tu t'es mis en chemin Toi en aparté Cliquetant de ton corps défait Toi qui est parti D'ailleurs Un peu A qui perd gagne Tu es l'enjeu des possédés de la tradition Cherchant le germe originel Tu es hors tout .
Tu es mort et renaissance Spiralement destiné Au contournement de l'épreuve Offrande sur l'autel des destinées .
Je ferais bon usage de tes crises Je saurais m'abreuver aux sources murmurantes Comme aux premiers jours En mon errance camarade Indéfectible thuriféraire de notre quête Ma conque marine et mon point d'orgue .
Mon frère Mon dieu Ma disparition Ma blessure éternelle Ma mangue fraîche Sous le figuier de notre attente Je commencerai et recommencerai D'amour et de douleur A fourbir L'élan de fraternité joyeuse De toute existence Ô mes compagnons .
시는 말을 낳는다 엘르 여러 가지 빛깔의 타래 자신의 수수께끼로 찢어진 그녀는 꽃을 피우고 침묵한다 그녀는 파도 폼 롤 엘르 s'amuse의 계략 학대 그녀는 융합 그녀는 도탄 그녀는 비웃는다 그녀는 노란색으로 웃는다 자신을 부정하지 않고 그녀는 연다 그녀는 제안 그녀는 정해진 명령에 복종할 수 없다 그녀는 장난을 치고 있어 그녀는 그녀의 연약함으로 유혹한다 날카로운 눈빛의 키아로스쿠로 그의 조직은 무자비하다. 그녀는 자유 그녀는 반점 그녀는 구두점 그녀는 유아 앞에 쪼그리고 앉는다. 그녀는 예의를 넘어 공중에 떠있다. 시간의 굴곡에 만족할 수 없다 그녀는 사다리에서 떨어지고 있다 시작의 영원 그녀는 교황의 연귀로 거리의 아이에게 관을 씌운다 전속력으로 그녀는 뉘앙스를 비웃습니다 트롤과 레프리콘이 포함되어 있습니다. 그녀는 깃털을 쓰다듬어 갈보리를 세웁니다. 그녀는 반말을 구현합니다 매일의 엉망진창 그녀는 바스락거리는 크레이프에서 뿜어져 나오는 불꽃 그녀는 조용하다 그리고 되려고 백로그 그녀는 개미 현실을 비참하게 만들기 위해 그녀는 매미 놀라운 능력으로 내일의 걱정에서 강한 바람에 느슨한 머리 바닷가 모래길이다. Sur un vélo bringuebalant길을 따라 건설된다. 방황하다 엘르 L'herbe folle des no man's land봄에 새싹의 환호 그리고 경로에 서명 그것은 폐기물을 수집 플라스틱을 재활용합니다 그 파이프의 요란한 포효 Elle orgue le cervidé aux bois du Roy그녀는 음악 그리고 밤이 그녀를 놀라게 한다면 그녀는 달걀 껍질에서 반딧불이가됩니다. 수명 종료 정지 지점에서 절정 후회의 덩어리를 얇게 만들어 엘르 Qui de fleurs vêtue그의 감정으로 어수선한 다락방 미소가 되어라 궁극의 날에 비추어 그녀는 cracks 과 튕김 외모와 경험 모두 마스터 트리에 자리 잡고 삶의 흔적을 찾기 위해 이끼 아래 그녀는 다람쥐 살며 생각하라 마른 아몬드의 함정에 직면 그녀는 필수입니다 이전부터 이후로 안전한 그늘에서 벗어나 지독한 음주에 노출 환상적인 놀이기구에서 그녀는 태양에 눈 거대한 날개를 가진 갈색 날개 폭 그녀는 믿을 수 없는 외침으로 긁는다 르 크리스탈 인페르날 시대를 초월한 멜로디 그녀는 모델 그것의 관목이 애무의 조상의 얼굴 특징 그녀는 수액의 장막을 친다 아침 안개 너머로.회의다. 밀물이 가져온 다시마 아래 부패의 냄새가 만연한 곳 세균에서 재생으로 외로움을 향한 군중의 함성 그리고 미스터리의 마지막.그녀는 그랬고 앞으로도 그럴 것이다 내 인정 아내 증발된 밤의 나의 노래 엄마 거리 내 실패 신들의 삼각대 사이에서 불합리를 파헤치다 영혼에 음소거 그래서 접수 피 없는 태양의 그늘 아래서 자란 내 이마는 마지막 땀으로 띠를 띠고.Palme sera la poésie du retour à l'esprit내 마비된 손가락의 나는 지구를 퍼뜨릴 것이다 벌레가 못 위로 올라올 것이다 민첩하고 안절부절 못함 . 아침일거야 . 224
하얀 화면에서En sortie de scèneLe Barbare arrache la gaine dorée de l'idole .유독 한 음모 무시Il peint et dépeint le processus de créationÀ grandes lampées désirantes .그것은 장식의 이음새를 깨뜨립니다. ,Inconnaissables limitesDe la piété mise à nue .천천히 상승하는 물에서 반동Il intériorise le regardJusqu'à l'hallucination .길의 돌들이 그의 발 아래에서 삐걱거린다. ,L'herbe libérée rayonne de photons ,Les bourgeons pulvérisent leur pollen .거짓 평화 Arbore son ventre aux syntaxes suavesSur fond de perspective échappée.존재의 무리Fait tâche de sangSur la toile des commencements .신성한 흠집이 닫혀Sous le souffle du pinceauSans que l'encrier se renverse . 사다리의 가로대를 올려라Le Cadre noir des nuits traversières ,Ce chercheur d'équilibre .223