A la croisée des branches j'ai vu le chat noir et blanc noir de ses illusions animales féeriquement ancrées en son instinct blanc de sa légèreté acquise en ses joutes aériennes.
Fin de partie à ferrailler en blanc et noir le cœur et le poumon trouvent refuge sur la couronne rouge sang du combat avec l'ange.
Au matin tout semblait calme entre les doigts du soleil naissant j'aimai de narration en narration la transmission généalogique.
Racines à coudre contre la Terre Mère rayonnent les dimanches à se retourner les mains gantées de blanc en confirmation du chemin.
Enfants de bonhomie se relier et se dire au rire unique du temps qui passe à remonter le coucou je te salue à genoux, tête baissée, bras ouverts Та l'emporte-tout le dépositaire des rêves et des peines à ne plus faire vibrer le diapason de la tristesse à être uniquement Toi pour que je vive.
Porté par les eaux entre colombe et corbeau à la tombée d'un jour de mars l'homme d'airain obligea les forces recluses à se manifester d'une énergie renouvelée.
Que nous sommes des êtres de panique à danser avec insouciance dans les prés fleuris au son du tambourin à ramasser les petits cailloux pour un retour inopiné à la maison.
Que tous gravèrent sur le bois de la coque quelques signes propitiatoires interrogeant le Très Mystérieux de nous donner foi et courage devant l'épreuve.
Maître, ôtez de notre vie la déraison de nos propos l'aveuglement de nos pulsions le suivisme de notre couardise le sommeil de notre cœur.
Joignons la colombe et le corbeau pour davantage de connaissances dans le respect des autres en accomplissement de notre mission et que chaque jour soit le seul Jour.