Int hawn glissando mingħajr evażjoni biex iġorrni fuq il-mewġa ġentili intervista tal-qamar fil-parlour qoxra mqatta mill-ballut tas-sufra insiġ permezz tal-folla bil-mod passiġġier tgħammix irwejjaħ fragranti. Ir-ruħ tiegħi biss bl-addoċċ fuq ħarġa ra lilu nnifsu meħud fl-għargħar tal-migranti o ruħ tiegħi l-oterità hija identità oħra mill-ieħor għal lilu nnifsu is-sors stess tas-solidarjetà.
Taħt il-kanal tat-tempju y'a rumanz is-saga taż-żmien li jgħaddi il-purċissjoni tal-pettijiet tal-injam l-eċċitament tal-qasab iċ-ċappetta ta’ bieb li niftħu u creaks għada jew wara għada xejn armi mdendlin għajnejn 'il fuq orizzontalment festuni ta’ sħab lil hinn mis-sema f'sinkope ħafifa fuq il-bankina tat-tafal tobrox bl-imsiemer imlaqqax il-mogħdija tan-nemel fix-xmara li jkun lejn il-bla siġar ramel imkemmxa.
L-età tiegħi bilqiegħda kontra s-siġra ħares ballun tax-xaħam tad-dam mitfi fil-lejl poultice li jkisser is-silġ lura mill-missjoni ta’ missier u omm id-dixxendent bir-riskju li tkun taf fjamma terminali l-annali tiegħi mifruxa lejla bir-riħ karriera miftuħa et l-aħħar ġarr fil-qbil mar-raġunatur apokalittiku il-bennej tagħna il-qabar tagħna l-inventur tagħna.
Marea ta' skont marea retroċeduta countdown marea marea depożitata marea ta 'rkupru se nara l-aħħar tas-sulluzzu slide isfel l-inklinazzjoni gorse standby sphagnum għadira korrispondenza tiegħi f'ekwipaġġ tajjeb tħaffef flimkien bla ma nistennieni biex immut jonqos biki taħt il-baldakin merkantili rabtiet tal-familja.
Iswed tal-Iswed fl-iskrivanija ta’ taħt l-art minn korolla għal korolla issikka l-ħabel bejn kelb u lupu.
Aqbad il-prosodija ta 'l-screeching ta' avultuni dgħajjes tal-qlugħ sturduti kolletturi taż-żibel tal-fdalijiet mingħajr suspett mingħajr foloz kbira bid-dwejjaq. Tqum ta 'idejn stirati mmullata abjad tal-ħajt antraċite fir-riflessjonijiet tal-qamar bogħod mid-dwal tal-belt għall-ħoss tal-bbini sentinella miksija b’mantell tal-ġilda x’jilbes il-baqar frosta mqajma, vjatiku quddiem l-artal fejn sorpriża d-difett avowed. Il-Grand Bédé joqgħod il-kappell tal-clown invitat fuq forehead Frankenstein tiegħu, gorilla distaff tikkettjar fuq pillola tat-tafal il-feriti tal-ħsieb tiegħu, traċċi cuneiformi imnaqqax fuq l-għatba qatra qatra ta’ sema jibki biex jagħraf lilu nnifsu maħbub.
Suif dans la gorge le glissant d'une corde. L'aplomb du désir l'épuisette à la main. Tout passe tout reflète la présence. Devant le miroir le visage enjoué.
Passer de ce qui est dur à ce qui est tendre.
Etre en amour avec soi-même.
Pas de théorie juste une intensité venue de l'intérieur.
La grâce on la reçoit.
Maman arrête de me dire qu'il faut pas. La transmission une course de relais.
Chaque âme est riche de l'attention portée à l'autre.
Plein de papillons ces messagers sans poids.
Entre genêts et ajoncs les murs s'ouvrent.
File le vent évitant les impasses. D'avant le vrai silence gambade douce gambade. Ecoute l'air respirer.
Hekk sbieħ fid-dell u meħjuta fl-ispirtu hi strutted kappell tat-tiben skond il-matriċi ħares. qamet bejn qtates bejn klieb sorpriżi qosra mingħajr batting tebqet il-għajn is-sigarett fl-apostrofu. Grumbled hawn fuq fil-qorti tal-għajb l-affreski tal-grotta tal-ħwejjeġ mislufa tiegħu maqbuda fir-raġġi ta’ rota mingħajr crutch bi qanpiena tinkling u fenders tal-injam toqgħod dritt. Kienet zigzag minn siġra pjanura għal siġra pjaneta il-foss taż-żrinġ jinfaqa’ l-bżieżaq morri tiegħu kif tiġġerra. Mingħajr ċerimonja bizzilla fir-riħ hi Tore l-irxiex filgħodu idejn fuq it-tejp tal-manubriju ħjiel ta’ mimosa fuq l-imnieħer. Hekk sbieħ fid-dell u meħjuta fl-ispirtu hi strutted kappell tat-tiben skond il-matriċi ħares.
Pas à pas, de voyage en voyage, au cercle d'un cirque que le sable encense la rumeur soulève les rideaux du spectacle. Entrée colorée, barnum bruyant, poussière soulevée du cortège animal, des passions de l'âme élevées aux pinacles des temples à démanteler, à mettre à la raison et métamorphoser. De sang et de couleurs, les cris furieux des Érinyes ont détruit les paysages de l'enfance, les lèvres d'argile des sources ont fait place aux buses de ciment, la pierre des protections a été arrachée, les haies ont été abattues, fosos mimlija, le renard argenté ne retrouvera plus le centre, un vent mauvais rabat les grumeaux de terre vers les terrasses de pierres sèches, un vieux frêne murmure ses dernières dispositions. La nuit roucoule, pigeons de l'âme en surplomb des manquements à l'humaine condition, les mensonges populistes remplacent le chant des poètes, les chenilles des engins de guerre suivent les souliers ferrés des poilus, le ciel s'assombrit, même les arbres sculptés par le vent d'ouest se sont couchés sous la tempête. L'air est fétide, sur le mur des lamentations les papiers de l'en-vie froissés et forcés aux jointures des pierres couvertes de lichens deviennent chairs pantelantes d'un tsimtsoum aléatoire. Les mains décharnées, hors des poches à l'avenant écorchent l'oubli, les yeux révulsés clipsent les valeurs de l'esprit, une crème sulfureuse maquille d'un sourire de clown nos errances dernières. La fureur fait place à la nuit, au silence, enlaidie par les passes d'armes des combats et des haines, pommelée par la levée des moissons nouvelles, devenues complice consentante d'une renaissance de pacotille. Il n'est d'herbes officinales que celles du printemps, herbes collégiales du baiser des amants dispersés en quête du grand chambardement, un quignon de pain en fond de sac, l'eau dans le ciboire des altérités. Nous lèverons le Son des ricochets, cailloux jetés sur la rivière, à portée des demandeurs d'asile, en sortie de notre exil.
Pas à pas, de voyage en voyage, au cercle d'un cirqueque le sable isolela rumeur soulève les rideaux du spectacle. Entrée colorée, barnum bruyant, poussière soulevéedu cortège animal, des passions de l'âmeélevées aux pinacles des templesà démanteler, à mettre à la raisonet métamorphoser. De sang et de couleurs, les cris furieux des Érinyesont détruit les paysages de l'enfance, les lèvres d'argile des sourcesont fait placeaux buses de ciment, la pierre des protections a été arrachée, les haies ont été abattues, fosos mimlija, le renard argenténe retrouvera plus le centre, un vent mauvais rabat les grumeaux de terrevers les terrasses de pierres sèches, un vieux frêne murmure ses dernières dispositions. La nuit roucoule, pigeons de l'âmeen surplombdes manquements à l'humaine condition, les mensonges populistesremplacent le chant des poètes, les chenilles des engins de guerresuivent les souliers ferrés des poilus, le ciel s'assombrit, même les arbres sculptés par le vent d'ouestse sont couchés sous la tempête. L'air est fétide, sur le mur des lamentationsles papiers de l'en-viefroissés et forcésaux jointures des pierrescouvertes de lichensdeviennent chairs pantelantesd'un tsimtsoum aléatoire. Les mains décharnées, hors des poches à l'avenantécorchent l'oubli, les yeux révulsésclipsent les valeurs de l'esprit, une crème sulfureusemaquille d'un sourire de clownnos errances dernières. La fureur fait placeà la nuit, au silence, enlaidie par les passes d'armesdes combats et des haines, pommelée par la levéedes moissons nouvelles, devenues complice consentanted'une renaissance de pacotille. Il n'est d'herbes officinalesque celles du printemps, herbes collégialesdu baiser des amantsdispersésen quête du grand chambardement, un quignon de painen fond de sac, l'eau dans le ciboire des altérités. Nous lèverons le Son des ricochets, cailloux jetés sur la rivière, à portée des demandeurs d'asile, en sortie de notre exil. 332
La mémoire en apnée quatre fleurs en rebord de fenêtre petite fille à quatre pattes à flot d'un soleil émargé par mon frère, mon ami, mon fils, mon camarade associés à l'aube d'un amandier fleuri lorsque l'ongle raye d'un trait aigu le passage de l'été éveil des miradors sur la plaine disposés sage frontispice par dessus la forêt œil préposé sans qu'alunissent les pensées monte en retour cette flèche cathédrale crevant le panier d'osier du patrimoine étendue sur le drap des origines en balbutiement d'être les galoches pendantes au bout des jambes maigres à mesure poussières d'or des mains effaçant le sceptre des exigences paroles échappées d'une outre crevée soupçon des remembrances sans que famine vienne en cette obscure contrée où femmes, hommes et enfants après la mitraille encensent de leur clarté la brassée de fleurs fanées xagħar imqaxxar au sarcasme des casques à pointe brisant les tibias des corps blanchis au cirque d'une évacuation de circonstance charrettes et baluchons à l'avenant ma petite fille je vais faire du feu għal darba oħra te conter une histoire pour t'endormir feuille d'argent disposée en rebord de fenêtre à flotter sur la mer des souvenirs parade nuptiale ouverture blanche des portes d'amour à pousser d'un geste tendre loin très loin des berges l'ombre de l'orme colossal.