Écailles alentoursmarche après marchel'énigme du matinfroisse la tenturede la chambre secrèteérosion tendrede la terre abîméede nos courses au ralentipied à pied traverséela trace du rimmel sous l'œilde la nuit repliéecouteau suissede mes dix doigtspapillonnant sur la fermeturedes horizonsqu'un vent froidsoulevale long de la sente herbeusepour quelques hectomètres plus loinlaisser faribouler la roue de ferle long de la pentepar sauts successifsjusqu'au ruisseau de l'aspavoune. 589