Le baiser du silence

Sur l'œil cerclé de jaune    
je pose le baiser du silence.        
 
Sur la vastitude des offres d'amour    
je retiens le rot de l'ego.        
 
Sur ton front hors toute pensée    
je fais croître le rameau de paix.        
 
Sur le toit des villes grises    
les fumées sont des reflets d'espoir.        
 
A la porte des demeures    
j'éprouve le courant d'air des rires.        
 
De ceux qu'on a aimé    
j'accueille l'œillet du souvenir.        
 
Chaque seconde écoulée    
a son chien sage à sa longe attaché.        
 
Un soir d'hiver    
les yeux couleurs de fruits mûrs    
j'apparaîtrai    
sur le rebord de la fenêtre    
chouette effarouchée    
impudente dans son langage figé    
la plume vibrante    
à conter l'histoire 
d'une cabane aux planches de bois    
que l'hiver attendait    
de ses flocons de neige recouverte    
tel un grand cœur    
au matin du saut de l'ange.        
 
 
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Iho ni azure

Iho ni azure    
funfun ni nitobi    
ninu awọn alleys ti awọn kasulu    
ofurufu le stammer    
si igbe awọn ọmọde    
nigba ti o ba kọja awọn hitch    
crunching awọn okuta wẹwẹ.        
 
Eso okuta didan ati alabasteri   
aso lori awọn ejika 
ẹlẹsẹ Elephantine    
nipa ife    
pe foomu ti adagun naa yipada    
iranti igba atijọ     
ibi ti a wà niwaju.        
 
Fulcanelli ko da ero rẹ duro      
o si n run lainidi    
swoon    
lai aiye    
wọ ga ati kukuru    
egugun kekere ni voluptuousness    
ti yi fidani scaffolding.        
 
 
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