De sa mainhaute placéeà la croisée des arbresles fils de la viergemenaient grand trainet grand silenceede gouttelettes de roséeet de lumièreau chant du coqque le torrent accompagnaitde son charroid'eau et de galets mêlés. Ouvrir la fenêtrepour que matin surviennemon âmemessagère appeléeet maintenant si prochesous la parure des brumesmkpuchi na-egbuke egbuke où claquent les oriflammesnke nnukwu nnọkọ passage où tout passema karịa anyị ka chi na-abọ. 520