DitampaIki urip sing nggawe kita ora seneng, babras, nesuprekara-prekara sing wis ana lan ikulan durungApa wae kahanan kudu ditampaNalika dheweke rawuhapa waeMangkene caranedadi, SaikiIki kedadeyan .Sawise wektu sing tepat kanggo perasaan kasebutAja tetep ing wektu tundhaSawise ditampa, ana refleksi kasebut, mula tumindak kasebut. Ditampa yaiku ora ngungsi kahanan kasebutlagi nggoleki dheweke ing ngarepjeneng ikungerti dhewekengerteniduwe kawruh sing sampurnakanthi ngadhepi apa sing penting kanggo awake dhewe. KabungahanIki tenangNegara iki ing ngendi rasa sedhih lan musibah ora bisa nyerang kitaHadiah iki digawe lan nggawe liyanePresensi utama kanggo awake dheweKesepakatan musik sing sampurna saka organIng njero.125
Quoi que vous fassiezêtre làen attentede ce qui viendra pour fendre l'armureou ne viendra pasimporte peu puisqu'il est un signeque nul ne saurait distinguer d'entre les signes .Le souvenirde ce que l'on pourra penser de nousaprès notre départdevient insignifiantdès lors que le porte à porte des essais et erreursnous enseignent à simplement "weruh" .Nous irons où bon nous semblesans haine ni plaisirjuste avec la joie d'avoir étéet d'être jusqu'au point de non-retourun être parmi les êtresun petit d'êtreun créateur d'êtresen marche vers le rien de toute choseoù tout s'arrête et continueà mesure de l'expansion de l'universéchange de matière et d'énergiedont l'esprit ne saurait se départir .Nous colportonsune toute petite fraction de secondele message d'amourd'une vie tienne ou mienneora masalahpuisque l'entre-deuxde ce qui nous différencie et nous uniest porteur du "kita" suprême .124
Pasang keluhanEn volutes lentesSourde tornadeJusqu'au regard amèneFigé par la sidération .Gagang kranjang kudu dikepangD'entre les objets sacrésLa passiflore épanouieRagrée le sens de la vieLe maudit est passé .Mlaku-mlaku liwat dalan sing curamLe limon colle aux piedsS'entrouvre une lueur diaphaneD'entre les voix des suppliantsLâches dans leur penchant à la servitude .Ing kolomL'humanité investit les lacets de la montagneAscension régulièreAux rythmes des cymbalesEt des oriflammes claquant au ventVers le Très Haut .Pasuryan sing dipahat kebak kawicaksananSe mêlent aux lancinantes mélopéesConjugaison singulièreOffrant refugeÀ nos âmes éprouvées .123
De fraîches fraises pigmentées entre ses lèvres purpurines elle allait galamment escortée de fleurs d'orangers et de chants d'oiseaux charmer la compagnie de ses œillades et gestes gracieux .
D'un accord sonore plein de brisures de verre et du meuglement des caribous il organisait la salle des concerts à la va comme j'te pousse .
Aussi galbé qu'une outarde mâle le chantre s'avança en bord de fosse pour haut et fort dire son appétence à la sainte engeance .
S'entendit alors dans le tunnel menant à l'arène le cliquetis des sabots de la bête comme si nous devions rapidement cesser toute querelle et nous rencontrer autour de cette mise à mort .
Les fraîches fraises devinrent confiture avariée, l'éructation du chantre creva la paroi de papier de riz, le grave accord des caribous s'enrhuma jusqu'à terminer sous cloche de verre enrubanné et prêt pour le défilé .
... M'avaient mis la tête sous l'eau ! et comme ça suffisait pas je cassais la baignoire à grandes ruades de brodequins ferrés pour m'entendre dire que l'au-delà c'est comme ici ça pique et ça pue .
................. Lorsque la présence n'est pas au rendez-vous alors que la Victoire est à portée de main .
Il
est précieux d’apprendre à regarder et à écouter car il n’est pas question de
se soumettre passivement à ce qui paraît merveilleux. Mais
qu’appelle-t-on écouter ? Qu’appelle-t-on regarder ?
Quand l’être s’abandonne à sa propre disponibilité, qu’il
se situe en posture de contemplation décrispée, qu’il se vide des résidus du
passé, alors il entre dans le jeu des formes, des couleurs, des volumes et des
sons. Il devient imprégné par l’actuel.
Et sous les pavés, la plage ; sous nos pas de
condescendance à la normalité, la création. Celle qui dégage l’unité
sous-jacente aux sensations. L’être se trouve là, Ing kalungguhan iki,
dans cette non-dualité. Il est expérience effective de cette solitude
intérieure et il trace son sillon.
Chez celui qui est créatif, il y a ébranlement à propos de
tout, il y a renvoi à soi-même.
Cette nourriture d'un autre ordre alors délivrée .
Cette responsabilité d'aller le cœur ouvert quitte à se laisser bousculer par les énergies du lieu .
Chercher avec ardeur .
Approcher l'esprit .
La mort externe du sage est la naissance interne de celui qui cherche .
La neige et le froid contractent nos volontés autour de l'essentiel .
Nous ne percevrons pas la biche au cœur de cristal sans être aussi le chasseur et si nos doigts gourds appuient trop vite sur la gâchette ne maugréons pas contre cette maladresse il se pourrait qu'entre la mort et la vie il y ait bien autre chose tellefloraison toute de respect et enjointe à ce qui est .
Kabut frosts wit cemara dibarengi karo requiem dina liwati antifon sing medeni .
Boogeyman Joy beku pucuk driji sing kudu warmed munggah marang salamander saka pain tajem sing nyerang sampeyan sakdurunge kelas diterusake . Antena spike kanggo urip ombak ing savagery ndhuwur ombak putih krim frosted ing srengenge mangsa dening kadhemen tanpa mréntahaké .
Kadhemen gembok ditutup lan digantung ing jembatan kenangan dina sawise nyebrang Pont des Arts ngangkat ati tresno sing wis mati transfigurasi saka emosi mlaku menyang Tuileries saka tatanan adil paket leaflet ing tas kanggo tangan kanggo tangan mlaku-mlaku lan klambi marmer gundhul saka taman karo kertas ing abscissa lintasan iki saka moire kanggo kamenangan mlengkung pangarep-arep sesuk sing nyanyi .
Expurgé d'entre les mousses inoculé par ses dendrites mémorielles hors déni misteri nonton darde et reflète l'occupation du lieu de lampées gutturales et festives de ces rencontres la nuit tombée sur le pas des portes de ces romances trop tôt dites puis oubliées esuk esuk désœuvré au passage des poubelles sage remise en place après fête les formes et les élans au fourreau attendre des jours meilleurs que surgissent à nouveau les mains tendues les sourires discrets les invitations surprises et s'entendre dire que c'est beau la vie lorsque le linge est dépendu se méprendre de l'innocent clin d’œil échangé entre deux draps cascades de rires au milieu des voiles ensoleillées ailes d'anges frôlant la fraîcheur matinale juste un frisson à retenir juste l'oblation à recueillir la chaleur aux joues sans frein faire éclater le bourgeon d'un baiser doux et soyeux pour l'amour de Dieu pomme d'api d'api d'api grise pomme d'api d'api d'api rouge .
Vite fait bien fait la visite à ma vieille amie silencieuse affligée d'un dégel ses vitraux calmes papillons de couleurs paupières repliées sous leurs sourcils chafouins de blancheur maquillée .
Le vaisseau est à quai aucun mouvement ne trouble sa quiétude le monument aux morts monte la garde la fontaine roucoule perle rare et joyeuse pour jouer à cache cache enchâssée par les fientes de l'étrave à neige .
La voiture rouge se gare les essuie-glaces s'immobilisent les portières s'ouvrent et claquent des hommes en bottes de caoutchouc et casquettes sortent les mains dans les poches de leurs larges pantalons ils disparaissent .
Puis réapparaissent et entrent dans le café un déca-crème rallongé et un nature non un bock des bruits d'animaux en fureur exaltent le fulminant percolateur .
" L'ambiance commerciale est-elle de retour à Orcival ? " " A Besse y'avait le trophée Andros et la Saint Cochon " " Superbesse ne connaît pas la crise " .
La cuiller tapote la tasse ça cause d'un colibri qui ouvert puis fermé vient parfois faire un tour par ici .
Goudron et neige coexistants en dicotylédones semi-sphériques les naissances arrivèrent rapidement sous la lunaison propice .
Goudron et neige de salissures moirées la plaine s'encapuchonna sans que filtre le regard .
Goudron et neige ne dépendant ni d'Eve ni d'Adam les semelles laissèrent leurs empreintes sur la livrée sénescente des brumes .
Goudron et neige sevrés de soleil arrimèrent la grand'voile pour ceindre d'une étole le démarcheur du beau temps occupé à pelleter devant sa porte alors que la burle hurlante suppliciait arbres et poteaux .
Goudron et neige se mirent en pâmoison à mesure du dégel lâchant au passage les stalactites de glace venant exploser au pied des murs codicille m'enjoignant à poursuivre la quête .