Nora de Mur

L'éolyre de la mire   
s'est mise à chanter   
au clair obscur   
d'une passion fragile.      
 
Verbalement reconnus   
par plus grand que soi   
les anges persistaient à nourrir   
les feux de l'amour.      
 
A grandes lampées de sang et de vertige    
le matin a jailli   
pommade fraîche   
sur le nez de la petite.      
 
Sommes passés par là   
au caramel mou des attentes   
nous les croques-vie   
de la maison creuse.   
 
A se parer d'une lumière   
de fin d'été   
avons conçu le vide-poche   
en sortie de conversation.      
 
Régis par nos proches   
nous fîmes d'un tapis d'herbes   
l'accueil irradiant   
d'être vivant.      
 
Et furent   
au cours du cycle des saisons   
ce retour à la case départ   
par manque d'humilité.      
 
Os blanchis
sous les ors d'une causerie vaine   
la fin de siècle   
s'annonçait morne.      
 
L'enfant de grand-père cerise   
connaîtra le roman de son origine   
sans que soit nommé l'autre   
au rien du ciel.      
 
 
1197

לאָזן אַ ענטפער

דיין בליצפּאָסט אַדרעס וועט נישט זיין ארויס. פארלאנגט פעלדער זענען אנגעצייכנט *

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