Ostensiblement soiaux débours de quelque monnaie du papecette haine carnassière en cale sèchesecoue en ces temps de misèrela pensée à la plume légère. Poème de la merque ne suis-je un noyé paisibleà compter les perles de luneau marigot des incantations.
Je sais de la merce que l'homme a cru voird'émulsions vivesaux abysses profondes.
Il aurait vouluil aurait fallumais ne jamais croire.Cette écorchure aux genouxcette dictature de la hainedevant les galets de la grève. De presser le nezviolace la paroioùpendent les mucilages.Au saupoudrage de la poudre de rizSoir de Parisl'errance d'êtrefait de l'enfant sauvageune âme traversant l'ellipse du futurpour sans retardd'un rebond l'autreêtre les yeux gris de la poésie. Demeurer libreà minimadans la cage aux poulessouille les vitrines de noëld'une vapeur d'eau et de feuaux clapets de l'esprit. Enfant morttrop érudit enfantaux savates traînantesjamais ne serasous les roues caoutchoutées du fauteuilles heures évasives des nuits sans sommeil. Etre compris est indiciblement veulealors que prendre le tempsd'une poussette devant le videincite à la culbute. Etre le myste du sacrificedevant la carcasse d'un bœufoffert au sable des arènes. Palpation des grands espacesau lever d'un jour d'airainmain de mielsur ta joue. Enjamber le parapetau petit jour d'un journouveaufait la vague sujette. Soulever les pleurstel vortex sans pesanteurannihile le doute d'exister. Chapeau bas messieurs de la hautedescendre la rue pavéE
en faisant sonner ses souliersאָרעם אין אָרעם permet au pauvre chagrind'être le bonbon de l'imaginaire. Accessit au jeu des successionscette obligation de direl'outilbien avant la loiafin d'être le "je"en création de soifait la grenouille plus grosseet la cervelle plus étroite.
Soyons la joie du miroiren extraction du visagepour excavation disposéerenouer avec ses gestes. Grotesques riresquand la mer se retireamère succion des coquilles vides. Hors la fleur sensibleet le magot des émotionsêtre sans Dieu ni maîtrele clepsydre sabléque les mains écarquillenten pleine consciencedans la contemplationd'un univers résolu. Éraflures des mots pensésau stylet d'un scribe madrépermet à la vie de mûrir. Observer est donc mystèresage prescription que le désir adressedans l'innocence du cœurà la fraîcheur de la page blanche. 669