דחיפה אדומה des calames à l'abordage un crêpe au veston porté à la sortie de l'église. La crème chantilly de la nebbia écarte ses paupières devant le réveil de la rosée aux yeux de laitance douces amandes des œufs de grenouille en bord de mare. L'éveil en coordonnées orthogonales se prend les pieds dans le cordage à cheminer par précaution בתחתית העמק qu'il se complet le temps d'une pause à se pâmer d'eau pure l'espace du matin que le corps ablutionne. Immobile et serein malgré ses moustaches l'encadrement se mire en son reflet. התפשטות les silences sur le marchepied du train. 617
ארכיון קטגוריות: יולי 2020
עור גירית ביד
הגיח מבין הסבך המעיל האדום מאחור עור גירית בידו האיש נראה מפוחד. שְׁפִיפָה תוך כדי התקדמות בקפיצות קטנות עיניה הגדולות פנו לשמים הוא חי את הטבע. עברה עגלה גרגיר קצת חצץ שוט נסדק הסוס גדל. עמוק בשאבלי ההתרגשות הייתה גדולה בלי בכי העיט עף. ואז עבר את אדון הזיפים החניטה של תמיסות מעושה הקרפ-מזר של התכנסויות המופע של הקמפיינים שלנו. היה צריך להעביר, לברך לעמוד על קצות האצבעות דוחפים אחד את השני כדי להיות שם, על התמונה. האיש בעל עור הגירית התיישב מערבבים את האוויר מחוות מסתוריות כמו סמפור מתוך הענן. הוא היה חוזר הביתה לאחר היעדרות ארוכה בצד הדרך חיוך רחב חודר את זקנו. אח גראס גבוה להיות פרפר התגנבות הקיפוד היפה שמושך אותי צבאים וחזירים עמוק בנשמה בוא הרוך בין הפירות האדומים של הגדר לאסוף את בגדי יום ראשון שלנו לדרך למתוח חוטים ריקים קרפינט כזה על עבודת סוף השנה. 616
מתוך נאמנות למקור
מתוך נאמנות למקור aimer et mourir. Point de sceau en bas de page. Passer le gué pieds nus purifie le cœur. Revenir en arrière ne paie pas de mine. Effleurer le temps étanche les souvenirs. A croupetons en bord de falaise la terre tourne. Remonter la roue de fer aurait suffi. En sandales descendre à la fontaine réveiller la vouivre. D'exil en exil tisser la couverture de survie. Et rire rire par dessus les nuages. Sans accroc à la toile la route est longue. Se sentir accompagné dès la sortie du tunnel. Ma conscience devant l'univers devance les saisons. De l'hiver retenons les réserves de l'écureuil. Au printemps soyons l'ours au sortir de son hibernation. A l'été respirons le vol de l'aigle. En automne rentrons nos blancs moutons. 615
se masquent a demeure
Se masquent à demeure les roulements du tambour sans que nuit survienne Franchit les vallons le son ensoleillé des clarines Volte face des garants de l'oubli sueurs froides du fond du pré monte le chuintement brossé du mufle des vaches Encorné dépenaillé le prude agent des douanes rugit de plaisir Face de lune aux débours des ruines la forme blanche Effronté sans que le deuil paraisse un regard de molle passion La mailloche frappe la peau de bélier pour que les voix se lient Écume et fontaine se rencontrent narines bruyantes les araignées d'eau se carapatent Bisque risque d'une musique folklorique au bric-à-brac de l'authentique Ouvre tes yeux femme l'homme ferme les siens Aux cieux que des heureux la palme raie l'azur Glisser prestement la paresse de l'esprit contre ton sein Un manquement et pfuit la fumée blanche disparaît. 614