N'elu ala gouttelettes de rosée à contre-jourse proposersur les anneaux concentriquesde sortir de la grottede danserilluminé par la mer des originesalternance d'ombre et de lumièreaux limites incertainesengendrées par retour de traditionsans que cela soit imposéen bas de pageà pousser la pierre devant l'excavationcomme s'il était facile d'y arriver seulà cette chambreaux cages d'oiseaux accrochées aux paroisportes ouvertesà ne plus tenir deboutdescente rapidefranchir les crevassesvers le débrédinoirempli des ossements de nos ancêtresà se tortiller dans le boyau des arrivéespour finalement franchir le seuilet retrouver la Vue. 424
De voyager librementme fût permisd'entrer par le trou des originesvoir l'animal au pouvoir remarquablesans cavalier et indomptablesous les brumesrévélant à mesure de la montée du jourla respiration matriarche des grands hêtres. Deux fois je me retournaiet repérai le chemin du retourau passage de l'ondinepour ficher dans le sol la planche de cèdre. J'entonnai le chant des âmesles conques ouvertes aux paroles phylactèreset dansailes pieds en sensation de terreles oiseaux de leurs ailes tressant une couronnesur l'eau aux bulles ondoyantesque le pont des réalités encombraitavant que s'agite le mouchoir des au-revoirs. 422
Eclosion de bienveillance Que valent les écueils Devant la Beauté Sous la coupe des vents Passent Notes étrangères Le palanquin des jours sans fin. S'offrent Les souvenirs Le piétinement de la foule A l'entrée des lieux saints Que la gerbe rassemble Dans la danse des esprits Que notre main désigne. Dieu Que l'univers est grand Que nous baignons dans un monde primordial Hors dogme En cette activité qui nous dirige Retrouvant l'union avec le Tout Et sa caresse d'Etre. De jouer Avec notre code De favoriser le retour à la source En énergie de conscience A distance des temporalités. S'offrir A la pluie des particules Aux portes de la perception. Voyager Sans peur et sans tabou Aux marches des palais. S'autoriser à mettre le doigt Sur l'Invisible Sans renier la Vérité Cette présence cette transparence Où affleure l'Absolu. Demander De défragmenter nos pensées et nos manières d'être De participer au dialogue des Eaux Vives C'est ça le plus important. Sans brusquerie A mesure du doux et du cordial Etre à l'écoute Du fin et du superbe Faire le travail En plein emploi de soi Puis repartir.
J'ai tondu l'herbe aux pâquerettes invasives en évitant les campanules près de l'amandier puis il y eût le merisier les pommiers les lilas et la glycine, à éviter. éclosion printanière du principe d'amour fulgurant en son apparition cachottier en ses dispositions avec la pousse des feuilles parure encorbellant les mois à venir. J'ai marché dans l'herbe couverte de rosée esquissé quelques mouvements de qi qong inspecté les pots, vasques et bacs des fleurs et arbustes nos respirs. Mgbe ahụ, assis sur la chaise de bois j'ai plongé en errance dans l'immobilité vivante les mains applaudissant les souvenirs surgis de nos jardins croisés en cette vie mienne ịtụgharị uche le drapé des jours venants, décoction du cosmos, notre père.
Nul n'est hostile quand monte le cri de la nuit mouvance ajustée au crêpe des fascinations. Se parent de mille feux le cœur des Anges et son échanson, l'Inaugural au temps de la moisson. Épuisés et vindicatifs le Sacré par la cheminée le Secret par la parole humaine Tous montèrent dire adieu à notre mère. S'épuisèrent devant pillage à ravaler en commissions occultes les ambiguïtés du massacre des animaux en leurs entrailles. Serions-nous de trop devant l'éclaircie de l'Être à céder notre place à la clarté de l’éther ?
S'échappa par delà la collinedivine et médisante Mélusinecette rencontre nuptiale évoquéepar un matin de méditante pensée. S'attardant au déploiement des originesau sens du sens que le berger paginele bouc du Parnasse à demi-nuafficha l'éternel oubli de l'être. Silencieuse flamme en bord de l'Analogueéphémère parolepromesse fidèle à son appelde l'intérieur le chemin fût gravi. En l'azur du destinpar la clarté naissantel'âme en pèlerinagebattait la campagne. Patrie des ondées murmuranteshavre de nos cœurs vagabondsles sépias de l'enfancedéposèrent la trouvaille. Grenaille disposée en éventailvous fûtes si nombreux à demander le corpsque s'enfla la rumeurd'une reconstruction prétendue humble. 418
Des mots de cliques et de claques signent le ciel d'ordures clinquantes. Les errances sont légitimées par les propagandes baveuses. Les attaques aériennes abreuvent la nuit du sifflement des bombes. Des tombes retournées fleurissent les fêlures de l'esprit. Il n'y a d'espoir que la petite main poétique clouée sur la porte des granges. Les insectes même se suicident sur les plages abandonnées. Au matin le sol sera recouvert de fiel. Gesticulations entretenues d'êtres dénués d'amour. La mort est là, tenancière cuivrée des cymbales apocalyptiques. L'arbre dresse son squelette sur les plaines suffoquées.
Manon bụ nwa agbọghọ na-agba ọnwa Onye mkpụrụ obi ya na-aga na ọsọ nke ìhè Ọ na-enwe obi ụtọ na-egbochighị ya Enweghị uche Enweghị ikpe Mmekọrịta ya na ụwa bụ eziokwu nke okike Sa maturité artistique relève de la pure nécessitéOtú o si ele ihe ọ na-ebi N'oge a Ụkpụrụ ya dị iche n'ihe a na-eme Eziokwu ya bụ nke oge a Mmetụta dị na kọntaktị ozugbo na mmegharị ahụ Ọ na-enweghị uche na a na-aga n'ihu eruba Ọ bụ isi ụkpụrụ ziri ezi Nke mmadụ bụ ịwepụ onwe ya n'anụmanụ Ọ bụghị Manon na-eduzi eserese ahụ Ọ bụ ihe osise a na-eme site na ya.
( ọrụ nke Manon VICHY )
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Ọ na-ese ihe n'abalị na akwa akwa ọcha ewu ala-eze-Ya adịghị ahụ anya emetụaux vertèbres de son arbre. Jiri nwayọọ na mmiri mmiri ntapu nke uche nyere sugar ha na vertigo nke nrọ n'etiti ikuku na ụwa.Ifufe buliri anụ ọhịa ahụ bịara na sly n'okpuru oriọna nye paswọọdụ ite ala maka ala dị ọcha. Ihe mkpuchi silk nke charrette na-acha anụnụ anụnụ mere ka oge ahụ maa jijiji akara na ire ọkụ karịa anya agbụchie agba egwu n'okpuru kpakpando. 415
N'ebe dị elu nke ihe na-emebi emebi piano na-aghọ opi n'elu ntutu isi ya gafere anya ihu ya na ụzarị nku. Asụsụ nkwado dika nla igba ndetu gaa n'ọnụ ụlọ nke romances ka o wee cheta. Ogwe aka kpughere na uwe ojii a gabiga ndu na kwaaji nke fluttes agasses egwu na-apụta na mberede na tebụl nke mmekpa ahụ.
Ka anyị ghara ileda anya na ndò nke tamarisk ya mere, kpuo ìsì site n'ìhè, m merụrụ gị ahụ gbanarị akwa nke njikọ ịlọ ụwa. 414