De ses lèvres elle hantait la mastication des intentions, Un souffle vint, De superficielles, ses dents reflétèrent, à l'entrée du temple, le péristyle des âmes blanches. Filèrent les sans noms de la haine, recroquevillés sous les antennes du frère en terre. Puissions-nous, passagers de l'oubli, racler nos derniers os, au rythme des mirlitons de l'enfance.
Le Grand Jeu raffermît notre passé, rassemblant les fresques de nos errances, passage obligé, où planter l'organe éruptif, hors la périphérie de nos illusions.
En creux de nuit la lune ourla la montagne, face sombre sous le réceptacle de nos attentes, et tout fût retourné.
A l'ombre, en canicule s'ouvrir aux pensées remontantes s'ouvrir aux fièvres de la nouveauté s'ouvrir aux clarines du troupeau s'ouvrir au repas dominical s'ouvrir à la photo de famille s'ouvrir au portillon qui grince s'ouvrir aux miaulements du chat.
A l'ombre en canicule, savoir mûrir sans se flétrir savoir recevoir la parole qui vient savoir donner une parole à qui est là savoir remplir de lumière le regard savoir sourire à qui sourit savoir presque sourire à qui ne sourit pas savoir garder contre son cœur le précieux de la rencontre.
A l'ombre, en canicule, remplir de bienveillance le frôlement du vivant remplir d'une sieste la fatigue du moment remplir d'attention la venue de l'enfant remplir de miel l'orage du conflit remplir à dessein la porte qui s'ouvre remplir de douceur l'écarlate d'une prise de risque remplir la gêne d'une brise légère.
A l'ombreen canicule, remercier le verre d'eau de l'amitié remercier d'être entendu remercier la pomme qui craque sous la dent remercier d'avoir à gravir le quotidien remercier le petit matin qui nous sort du noir remercier le chant des insectes des champs remercier le temps qui passe.
A l'ombre en canicule, amener l'enfant à l'écriture de son avenir amener la mère à la vigilance des siens amener le père à la proue du navire amener le vieillard vers l'odeur des foins coupés amener le ciel à s'ouvrir entre mur et feuillage amener un air de fête sur la pierre dure amener la vie en communion fraternelle.
Stecca vituperante della tua voce la stella dei nostri amori piangere di gioia salita dolce pendio della nostra fuga.
Impaurito con tanta tenerezza il soldato girò la pistola sotto la betulla tremante d'autunno assunzione della palla senza che la luna si spenga. Camminare camminare sul bordo della scogliera accontentarsi di poco chiudi gli occhi lo spruzzo così basso all'orizzonte di un sentimento estremo.
Chiama il tallone digli che sto morendo tra campanule e mirtilli sotto il baldacchino stellato con una superba volta che la tempesta si sarebbe rinfrescata della sua carta sferragliante.
Pieds nussur la Landele bâton bien en mainla musette à l'épaulele bonnet recouvrant les oreillesderrière les vachesaller vers la cabanele chien aux troussesfaisant ce qu'il voulaitde taupinière en taupinièrepuis levant son museau terreuxles yeux demandeursvers l'attente infinie. A front renversése remettre du départ d'Orionaux délices du jourrespirer l'air du matinaller sentir l'herbe de rosée pigmentéeranger deux trois objetsse passer de l'eau sur le visageaccueillir la pensée. Et puis le sensau délire du sensen déliquescencedire quelque chosequi vaille la peinequi fasse connaissancedu sens dans la direction assuméedu sens hors sensationdu sens essentielde l'excuse et du désir. Pour bulle d'airéclatée à l'air libreclaquer l'arc-en-cielcontre l'écran blanc d'une salle sombrehors mystèresérier de près la justesse d'un sonsur l'autel sacrédes murmures sourdsentrer par la porte des cérémonies. De blanc vêtuau rai de lumière apparuêtre le passur la dalle de basaltele pas sans hâteque l'élévation d'un chanttransporte à la croisée des nuages. Joie, ressentie au cœur, contact du Réel. 354
Tu me viens tard le soir ô lune inassouvie femme de la contrée enfant des herbes folles vieillard familier dans le miroir sous la luciole des souvenirs. Lève les yeux proche de la torche au temple des attentes. Sois Sainte Femme arc-en-ciel des désirs.
Sois l'enfant assis sur la margelle du puits. Sois le vieillard oublieux aux futiles pensées.
Sois la mèche qui allume le feu d'être soi.
Sois l'oreiller aux mille grains de riz en l'accueil de ce qui vient en allégresse sage une pincée de sel sur les lèvres bras tendus vers l'étreinte lumière vacillante du jour à venir.
specie di lanterna dalle guance rosee Sourire étoilé éclaire les entrailles faccia di pizzo cosparso di latte tenerezza contro la spalla il gatto ti avvolge il collo. albero senza foglie le rouge ronge les lèvres piccolo nocciolo secco che lo sguardo cattura capelli sciolti con la pancia matura prurito ai capelli rossi da portare davanti all'altare la voce delle brave ragazze strapiombante vetri opachi con un abbraccio inginocchiati sulla sabbia faccia in giù piangere per essere di pietra palo stellato nei cieli d'une gymnopédie.
Mia ragazza il mio piccolo il mio eterno figlio Carminio indietro mio figlio mirtillo che ho strappato dal grembo di sua madre. Poi venne il fratello. E ho lasciato il castello al desiderio di un altro uomo mantenendo solo le membra sparse il cui corpo ho ricostituito Osiride caduto qualche fine settimana scusa per non saperlo mantenere il calore nel camino nelle mie mani inutili polveri sottili que le vent porteal lungo corridoio del rimorso. Poi si aprirono le porte di bronzo qualche segno sanguinante sulle fredde pareti Sono avanzato percepire le luci tremolanti dall'altra parte oltre le alte foreste de mes passions en déraison. Il treno è entrato nella zona franca i freni stridevano getti di vaporesfocato le finestre dell'otturatore. Venne un silenzio gracchiavano i corvi des voix hurlaient. La linea di demarcazione è passata Sapevo che niente sarebbe stato come prima. Alcune intenzioni storte non ha potuto rispondere alle tue richieste a casa grafia infantile su carta rosa fuori dal campo visivo lungo una strada di montagna condividendo le mie notti insonni stelle e luna in dotazione il cane incollato alle falde del cappotto senza mai voltarsi indietro j'allai. Il nastro tricolore incrociato corsa finita nel labirinto delle peregrinazioni Dovevo trovare la madre terra mescola atomi pronti per il riciclaggio. mi alzerò l'aria sarà fresca il cuore sanguinerà i passi saranno incalzanti per trovare il compagno emergente la chiamata commemorativa all'ordine il mio amico doppio porgendomi la corona di fiori mia figlia in mandorla il mio piccolo il mio eterno figlioma bleuetteche avevo raccolto dal grembo di sua madre un giorno di gioia. 351
Ai corni di chiamata sassi lanciati contro i cancelli di bronzo la montagna congela la parola.
Equidistante dalle feritoie misurare la spinta e misurare i colpi senza che l'ombra venga. C'è del sangue sui tuoi vestiti lacci stretti farà una marcia forzata. Alza la luna agli artigli ambra marina. I tuoi passi seguono il bordo del sentiero piccoli sassolini si svitano i pensieri sporgono dal tascapane.
Mordi i freni sii il brimborion delle trappole di riflusso essere alto sotto l'acquazzone. Abiura e vieni da me Callunum delle praterie crude Offrendosi di cogliere.