그 모든
누가 앞으로
숲에서 나오는
말의 가장자리에 .
그들에게
엇갈린 생각으로 괴로워하다
과거의 파편
우리가 잊을 수 없다는 것을 .
그들에게
소매 효과로
창가에 자신을 보여주다
무명의 군중을 웅성거린다 .
그것은 나에게 일어났다
내 짐을 모으다
떠나기 직전
시간을 고정시키다 .
그것은 나에게 일어났다
나무 그늘 아래
달이 던진
새로움의 추위를 두려워하다 .
소라 속으로 불어넣을 수 있어
그리고 더 이상 내 욕망을 억제하지 않습니다
발 뒤꿈치로 합류
꽃이 만발한 초원의 분위기 .
그럼 돌아와
그들을 향해
관습적인 모험
군중에 합류하다
탑 하트
바코드 생각
매일의 여행 .
208
카테고리 아카이브: 년도 2014
왜 노예로 남아 ?
왜 너무 많은 여성과 남성이 상황의 노예입니다, 힘의, 의 기타, 외모로 또는 스스로 ?
왜 그들은 확신의 광장 초원에 봉인되어 살고 있습니까?, 에서 “이것은 이와 같다, 그렇구나, 할 일이 없다 !”, 보지 않고 그들의 자유를 제한하는 그림자, 이 교활한 폐쇄, 더 많은 것에 대한 이 액세스 다른 곳으로 가서 신선한 공기를 마시게 하는 그들보다 ?
아주 간단하게 그들은 두려워하기 때문에 . 마치 그들을 묶고 정죄하는 사슬처럼 그들의 노예 상황에, 두려움에 대한 보호였다 . 처럼 이 보이지 않는 사슬이 고통과 죽음을 막아준다면 . 지속되지 않는 것에 대한 두려움 때문에 . 그들을 데려갈 수 있는 것 앞에서 첫 번째 안락함에서 벗어나 계속 붙어 있는 것을 선호합니다. .
그들의 집착 버릇, 그들의 환상, 그들의 이상, 그들의 거짓말과 믿음, 따라서 그들은 삶의 전망을 가차 없이 중단하기를 희망합니다. 모든 것의 끝으로 이끈다 . 마치 다른 무언가가 있는 것처럼 실생활, 죽음이 불가분의 일부인 이 삶 .
그러나 이러한 무거운 사슬은 그들을 가라앉히고 익사하게 만듭니다. 그들은 죽기 전에 죽고 싶어한다 살았다 .
그들은 지나간다 현재의, 과거의 기억과 유토피아에 그대로 묶여있다. 내일 . 그들은 아래에서 자라는 풀잎을 보지 않고 머물며 공상을 합니다. 그들의 발 . 그들은 미지의 것을 예측한다, 목은 적어도 베개 쪽으로 뻗어있다. 속담, 그들의 분노를 피할 수 있는 망각을 찾아 가능성 , 행복해 보이는 것을 향해 직진 .
그들은 아니다 자신에게 제시 . 그들은 거기에 무엇이 있는지 두려워합니다., 바로 지금 . 그만큼 현실과 만물의 무상함은 그들을 미치게 만들고 소외시킨다. 시간이지만 아직 엿볼 정도는 아니다. 그들의 삶의 해안 .
의 흐름 영원한 선물은 그들을 불안하게 만든다 . 그들은 마약을 복용하고 싶어합니다. 확실성의 더미 미끼, 가상, 그들을 할 클리셰 남들처럼 보인다, 그럼에도 불구하고 권리를 거부하는 다른 사람들 그들만큼 숨을 쉬다 . 군중과 섞이면서 굴욕감을 주기 위해 .
왜 망쳐 삶의 변덕에 맞서는 그의 존재, 짓다 시간의 흐름에 대한 이상한 요새 ?
남자들 너무 불안한 내일을 견디며 지치다, 너무 많이, 없이 그들이 같은 장소에 갇혀 있다는 것을 깨닫습니다. – 이상한 동상 소금, 그들을 기다리고 있는 생명의 흐름 앞에 똑바로 서서.
왜 이렇게 니 주위에 모든 것이 동요하는 동안 가만히 서있어, 난기류, 변환 ?
이것이 필요한 이유 부동의, 변화로부터 자신을 열렬히 보호 ?
왜냐하면 남자 일상적인 동물이다, 미지의 것을 두려워하는 사람, 이상한, 기이한 ; 그리고 모든 수단을 동원해 진실을 찾는 사람, 가치, 법률, 의 보험, 보증 . 그리고 그것이 그가 기꺼이 그의 영혼을 팔고자 하는 이유입니다 그를 녹일 수 있는 픽시 가루에 대해 그의 꿈에서, 스페인에 있는 그의 성에서 .
남자도 가지고 있다 그의 그림자에 대한 두려움, 방황함으로써 인간의 이 비인간적인 부분을 무시하다, 오해하다, 남용, 스풀, 익스플로잇, 이웃을 압제하고 억압한다 .
에 대한 두려움으로 죽음의 사람은 위대한 열망 속에서 영원히 살기를 추구합니다. 끊임없는 일상, 지속 가능성의 인장으로 표시된 행동, 의 지루함과 수면 “침착한” . 그동안 우리 사회 산업은 결코 생산되지 않는 재화의 생산에 기반을 두고 있습니다. 영원토록 바라는 세상에서 더 많은 것을 생산하기 위해 지속 가능한 성장 !
그리고 남자 발명한 우상, 신들, 불멸화하고 모든 것을 피하기 위해 그는 특정 기간 동안만 살 것이라는 확신에 근거한 추론, ㅏ 시간이 지남에 따라 .
그래서 남자 이 가혹한 운명에 맞서 . 그는 무엇을 좋아하기도 하고 싫어하기도 한다 초과하고 통제할 수 없음 . 그는 자신보다 강한 사람이 이끄는 것을 인정하지 않는다 . 그는 자신을 학대한다, 어머니 지구를 약탈하고 아버지 하나님을 세계에 강등시키다 접근할 수 없는 .
신들 만능이 비효율적으로 판명되다, 인간의 미약한 믿음이 그들을 만든다 로 각인된 사회적 신들의 경험적 이성으로 돌아가라. 언론에서 말하는 것에 의한 존경 . 그는 대중 속으로 녹아들어, 가다 경기장에서, 온천탕에서, 서커스에서 아고라에서 끝없이 대화 가상, 작은 화면에 한쪽 눈, 현실의 큰 화면의 반영 그가 직면할 수 없는 너무 큰 관련성 .
마갑 과학적 확실성, 남자는 맹목적으로 걷는다 … 부딪힐 때까지 무한히 복잡하고 실재가 예속될 수 없다는 확신, 에 의해서도 기술, 신들에 의해서도 .
그가 자살하지 않는다면 ~ 아니다, 그는 경계할 준비가 되어있다, 지능과 추론으로, 그만큼 큰 모든 것, 권력에 대한 의지와 자존심을 삼키고, 주소 해안겸손, 최고 해산 전 마지막 기회로, ~ 전에 광기 .
겸손으로, 편집증에 대한 궁극적인 치료법, 인간은 조화롭게 살아야 한다 모든 것을 추구함으로써 현실의 복잡성을 가정하기 위해 자연과 함께 환원주의, 지배를 포기하다, 무엇이든 빼앗아 노예로 삼다 . 남자는 수직에 있어야합니다 .
그는 그러면 부드러움을 기르다, 살인과 모든 폭력을 규탄함으로써, 안에 우상 숭배를 말살, 자신에게 생명을 주기 위해 .
그는 남아있을 것입니다 말하자면 “위” , 자유와 경이로움 속에서, 무엇에, ~을 위한 환상이 사라질 위험이, 부드러움을 자연과의 교감의 검소함을 바탕으로 한 관계 .
198
S’ouvrir à la synchronicité

La synchronicité est le phénomène par lequel deux événements se trouvent liés simultanément par le sens et non par la cause .
Autrement dit, la synchronicité se manifeste lorsqu’il y a une coïncidence significative entre un événement extérieur objectif et un phénomène ou un état psychique particulier sans qu’on puisse imaginer un mécanisme de causalité entre eux .
Le phénomène de synchronicité représente donc une rencontre aléatoire et simultanée de deux ou plusieurs chaînes d’événements indépendants mais ayant une forte signification pour le sujet alors sensible à la mise en résonance des deux phénomènes . C’est alors que tout prend sens .
Le sujet qui vit une synchronicité est témoin d’une irruption de sens qui apparaît comme une évidence entre des événements sans qu’il ait besoin de chercher quoi que ce soit .
Ces phénomènes ne sont pas l’aboutissement d’une réflexion intellectuelle mais d’une expérience qui provoque un grand trouble chez celui qui le vit car elle perturbe la représentation logique et rationnelle de la réalité du moment .
Carl Gustav Jung considère que notre attitude mentale d’Occidental rationaliste n’est pas la seule attitude possible qui permet de saisir une quelconque totalité ; et qu’au contraire elle est un parti pris partiel et limité qu’il conviendrait de corriger si nous voulons avancer dans notre connaissance
personnelle et la connaissance du monde .
Le lien qui relie deux événements qui à priori n’avaient que peu de chances de se rencontrer nous montre, par la mise en résonance de phénomènes concomitants, que la réalité n’est pas uniquement constituée de manifestations séparées les unes des autres .
Ce lien qui n’est pas explicable par le principe de causalité
suggère l’unicité des deux éléments en présence : l’élément physique et
l’élément psychique . Comme s’ils étaient “intriqués”, corrélés et
manifestant un ordre global .
Un vaste réseau relierait-il, non pas de façon linéaire mais sous la forme d’un
tissage invisible ces différents éléments à une totalité sous-jacente au monde
phénoménal ?
Le physicien David Bohm présuppose l’existence d’un “océan d’énergie” à
l’arrière-plan de l’univers, un arrière-plan ni matériel, ni psychique mais qui
serait transcendant . Il existerait un fond qui se trouverait bien en amont de
la matière d’une part tout autant que des profondeurs de la conscience d’autre
part ; et que cet arrière-plan serait d’une dimension infinie car ne pouvant
être embrassé ni par l’une ni par l’autre . D’où cette impression que peuvent
avoir les personnes qui vivent ces phénomènes “d’unicité de l’être” 또는 “d’être en sympathie” avec l’univers, de ressentir “l’unité avec le monde”, non pas avec le monde à la réalité multiple dans lequel nous nous mouvons consciemment mais avec un monde potentiel qui correspondrait au fondement éternel de notre existence .
Dans ce phénomène de synchronicité il n’y a pas d’avant ou d’après puisqu’il n’y a pas de relation causale entre les événements. Aussi cette relation a-causale ne peut que déstabiliser l’approche linéaire du temps qui structure notre vision du monde .
Pour bien comprendre ces phénomènes, il est intéressant de s’ouvrir à d’autres
façons de penser, d’être au monde dans ce qui se déploie hors toute attitude
préconçue , hors de nos atermoiements et de nos peurs .
La corrélation à distance entre l’état psychique d’une personne et un événement extérieur est un phénomène global qui nous ramène à l’intrication quantique .
Jung et Pauli convinrent que la relation causale était insuffisante pour
appréhender toute la réalité vécue . Ils en vinrent à considérer qu’existait un
lien, une correspondance, entre la psyché et la matière, et ceci à travers
“un sens préexistant”, qui dans notre espace-temps à relation a-causale permettrait de considérer la psyché et la matière comme deux facettes
complémentaires . Nous entrerions alors dans des paysages à la fois intérieurs et extérieurs où, au travers des échos lancés par la danse intemporelle de
l’univers, atteindre un monde unitaire que Jung appelle “l’Unus
Mundi”, une mystérieuse et vaste matrice d’informations où tout est en
potentiel .
Mais comment favoriser ces moments de synchronicité ?
Nous pouvons seulement y être un peu plus attentif en étant les artisans, les chercheurs, d’un autre regard sur le monde où tout semble relié, nous les “expérienceurs” d’une occasion d’ouverture au principe d’unité non-matérielle qui sous-tend notre monde phénoménologique .
197
( Oeuvre de Jean-Claude Guererro )
les deux mondes de David Bohm

Pour David Bohm, il existe deux ordres du monde : l’ordre explicite et l’ordre implicite .
L’ordre explicite est à portée de tout un chacun par des objets, des particules et des événements qui se situent dans notre espace-temps . Il caractérise des réalisations temporaires dans lesquelles les choses sont dépliées, dans le sens que chaque chose s’étend seulement dans sa propre région particulière d’espace et de temps, en dehors de zones appartenant aux autres choses . Mais ces éléments ne sont que des réalisations temporaires qui surviennent depuis un arrière-plan qui est d’ordre implicite .
L’ordre implicite, pour David Bohm, est un agencement où les formes-événements sont repliées en une plénitude totale dans une région à la fois vaste et unitaire qui sous-tend le monde explicite . Cet ordre n’est pas accessible à notre entendement commun, à nos organes sensoriels, tout en étant intuitionnellement proche de nous et surtout d’une profondeur infinie . Cet ordre implicite n’intéresse pas la plupart des scientifiques qui ne jurent que par le côté explicite de la réalité . Aussi l’ordre implicite plane-t-il comme une virtualité plausible qu’on ne saurait dévoiler qu’en présence de plus grand que soi, qu’en reconnaissance d’un monde subtil que nous avons la nécessité de chercher à investir .
Selon David Bohm, cet état d’ordre implicite existe dans tout l’univers . Quand un événement se produit et fait émerger une forme visible, cette forme ne fait que promouvoir, ne fait qu’expliciter, sous un aspect particulier et temporaire ce qu’il y a d’implicite à la source .
La nature de l’univers pourrait être alors un flux d’ondes porteuses d’informations qui se manifesteraient à certains moments, selon des conditions permettant un ajustement dans le monde explicite, et que nous considérerions comme étant la réalité . Nous retrouvons là, les mêmes caractéristiques du champ quantique, véritable matrice invisible de notre réalité qui échappe à nos notions ordinaires d’espace-temps.
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( 장 클로드 게레로의 그림 )
지식, paradigme et idéologie
지식 .
Connaître, c’est affirmer une traduction des réalités du monde extérieur. C’est co-produire un objet. C’est le tissage de sens effectué entre un élément du monde extérieur et nos facultés à assujettir cet “élément hors-nous” à notre être, sujet pensant, producteur de sens.
Nous sommes des passeurs d’objectivité en perpétuelle défragmentation de notre être à conquérir.
L’objectivité est un produit qui s’ajoute à la donnée qui ressort, 엘, de l’objectivité scientifique. On peut aussi à partir de l’objet circonvenir le sujet qui de participant et agissant de la création de l’objet devient, corrélativement, devant l’émergence de l’objet, sujet conscient.
Un dialogue s’établit entre le sujet et l’objet. Une logique récursive est là à l’oeuvre ; nous produisons de la connaissance et les objets que nous avons produits participent de notre production individuelle tout autant que les individus produisent la société qui produit les individus.
Ainsi, connaître, c’est rencontrer l’autre, c’est apparaître à l’autre et par l’autre en naissant avec lui, c’est ouvrir la porte vers l’extérieur, c’est s’exprimer. Connaître c’est donner une forme au paradoxe d’énonciation de la théorie objective qui se conjugue avec le caractère subjectif du sujet.
Le paradigme .
Le paradigme est une manière de lier des notions ou catégories fondamentales par inclusion, disjonction, conjonction, exclusion, pour aboutir à un type de relation logique. Le paradigme discerne certaines relations logiques plutôt que d’autres en toute subjectivité. En ce sens il ne peut relever de l’objectivité par le contrôle qu’il opère sur la parole mais crée néanmoins les conditions de la péroraison , ce singulier couplage du syllogisme et de la résonance aboutissant à une réalité de passage.
Le paradigme par ses contours péremptoires alimente la polémique dont il structure les enjeux et organise les modalités de confrontation. Par son entièreté exposée, il rassemble les avis et convoque leurs auteurs à la raison tout autant qu’à la résonance dans un double mouvement de joie conservatrice et de prise de risque dans l’invocation de l’imaginaire.
Le paradigme contrôle la logique du discours. Il est une opportunité de contrôler à la fois ce qu’il y a de logique et de sémantique dans un discours. Il permet, dans des conditions de liberté et de responsabilité assujettissant l’homme à son environnement, et par son écartèlement propitiatoire entre ce qui est et ce qui n’est pas, entre l’accompli et le non accompli, entre le fermé et l’ouvert, l’accès à un autre niveau de réalité.
Le paradigme couvre une large palette de la connaissance, de son aspect le plus simple à celui de la plus grande complexité. Le paradigme de la complexité a besoin du paradigme de la simplicité pour pouvoir asseoir son développement. Le paradigme de la simplicité est un paradigme qui met de l’odre dans l’univers en tentant de chasser la trop grande complication. La simplicité voit un élément et pas l’autre élément. Le principe de simplicité soit sépare ce qui est lié (disjonction), soit unifie ce qui est épars (réduction). Le paradigme de la complexité part, 그의, en vrille sèche devant la sidération causée par l’inconnu, l’inconcevable ou le tout autre ; il engendre la complétude espérée sur le mode de l’incomplétude concédée.
L’idéologie .
L’idéologie est une notion neutre ; c’est un système d’idées qui peut prendre l’aspect d’une doctrine, d’une philosophie, d’une théorie. Il existe une multitude d’idéologies qui appartiennent à des groupes humains, à des cultures, à des associations qui dureront un certain temps. L’idéologie structure, rassemble, cadre et limite le groupe dans sa double acceptation sécuritaire et liberticide. Ces idées sont ce qu’elles sont ; elles obligent le “chercheur de sens” à l’acceptation de ce qui est, à la perspicacité, à l’humilité, à une visée transdisciplinaire faite d’incomplétude, de non séparabilité des éléments entre eux et d’ouverture à ce qui advient, à ce qui est et sera..
L’idéologie n’a que faire de la morale au sens universel du terme ; elle est transmorale et engage l’être-conscient que nous tentons d’être à une disposition comportementale faite de fluidité d’esprit, de coeur et d’acceptation de toute forme de la vie dans ce qu’elle a de surprenant, de rationnel, d’irrationnel, de bouleversant, de tonitruant et de merveilleux sur notre terre.
Ces systèmes codés que sont les idéologies sont au dessus des lois. Elles nous engagent à être de ce monde tout en laissant une ouverture à l’hors-monde, à tout ce qui ne relève pas encore des domaines de la connaissance … mais dans les limites de l’idéologie du moment.
L’idéologie ; le chemin de l’affirmation de soi, le chemin de la soumission à plus fort que soi, le chemin des noirceurs consenties par notre peur de réellement penser, le chemin des formules sèches apposées au frontons des temples, le chemin de la survie pour qui ne sait vivre.
L’idéologie, nécessairement sujette à caution dès qu’on la saisit sous l’aspect de ses multiples avatars – doctrines, religions, habitudes, coutumes -, et qu’une analyse complexe de sa mise en place et de son évolution la confronte à ses sources, se trouve être l’arène où s’affrontent le sujet et l’objet, entre l’homme et son ombre, entre le bien et le mal, entre le tout et les parties, rencontre bouleversante à court terme et créatrice de lendemains qui chantent ou déchantent, rencontre à plus long terme, spontanée, pleine d’énergie et de nouveauté, de rebondissements, de beauté, de coeur, d’innocence et de dépassement de soi sur son chemin.
195
그는, et il sera

Je ne sais rien , 그리고 아직 . Serait-ce ? Un camp de nomades campant entre mes yeux ? Un panneau indicateur du sens à donner à la vie? La piste noire des atterrissages pour un dauphin céleste ? Le grand fleuve de l'air ? Le crâne des chants de l'essentiel ? Un rideau rouge qui s'ouvrirait dans le mauvais sens ? La levée d'une fleur au désert ? Le mirage doux amer d'un soir de solitude ? La charité engendrant le parfum métallique d'une rose des sables ? Un amour en infinie conversation ? Le cri suraiguë d'une larme de cristal ? Une anecdote colportée entre ciel et terre ? Une joie éternelle sans que l'architecte intervienne ? Un épervier à son zénith se mirant dans une naine blanche ? Un ange né dans la paume de la main ? Une très humble et douce pensée d'amour ? Les pétales de la dernière étoile ? Un caillou et puis son double en saccades réfléchi ? Le jet de tous nos soucis ? L'entre parenthèses du visage des nuées ? La trace des oiseaux de passage en route vers la pensée ? L'émerveillement ceint de deux festivités ? 그리고 "6 mars 2014" de garde ce jour ci ? Un caillou en son centre dissout par une comète ? Le ventre décharné de la patience à bout de souffle ? Le bruit d'un papier que l'on froisse ? L'anémone pulsatile d'un frais printemps ? Une chambre d'or en ses rideaux de tulle ? Une petite fille qui mange du chocolat ? Le maquillage enlevé au soir du grand savoir ? Le creuset où rejoindre sa famille d'origine ? Un pied dans l'au-delà et l'autre en terre ? Une goutte de présence entre les lèvres de l'absence ? Une étiquette collée par les doigts de la foi ? La frêle relique d'un saint ? Le cri égaré d'un courrier en instance ? Le calme d'un torrent au sortir des gorges de la montagne ? L'adolescent tenant contre son flanc le hérisson de son enfance ? Un couffin de fruits et de légumes dans l'arche de Noé ? Le regard mystique qui fait exister le je ne sais quoi ? L'incomplétude essentielle à toute perfection ? La lumière qui s'attarde entre deux paravents ? L'humble vêture de la grande vie dont nous ne savons pas grand chose ? Le départ. Le libre court enfin donné aux étoiles dans notre ciel intérieur ? ( Elianthe Dautais의 그림 ) 194
a petits pas avec le temps
A petits pas avec le temps
casquette vissée sur le devant
j’ai tendu la main aux lumières qui s’attardent
près de l’arbre-maître
à la remontée du chemin
j’ai caressé les ânes de la pâture
leur est donné le pain sec
j’ai conversation menée avec Evan et Louna
en l’éclaircie de l’encre sur le papier
à écouter le flocon de nos coeurs
Juliane ma fille
entre les sources, les fougères et le cri des mésanges
j’ai mis le coquillage à l’oreille
pour entendre mon infinie faiblesse
passante de la vie
l’orange de Noël
faite de mousses et de lichens
j’ai caressé le tronc du châtaignier
mordu la pomme
de cet hiver en passe de devenir printemps
à déchiffrer en innocence ,
l’inachevé et l’incomplétude
fleurs essentielles de la vie simple .
193
À trois renversé

A trois, renversé assez seul pour ne l'être jamais cette avancée de couleurs à contre courant de l'énergie muette . Le vrai guérisseur ne s'embarrasse jamais des sources de son don 그것은이다, il le sera il est de tout âge veilleur de l'autre adepte de la différence passeur de la clôture sa main magnétique se pose sur le cœur de celui qui demande et tout irradie de par la flèche si légère dans cette mainferme il est le calligraphe de la foi . 이시, j'acquiers, je deviens et à s'y prendre je me méprends pour être infiniment seul à se souvenir des origines trinitaires à détecter les nappes d'eaux vives à écrire l'inentamé sur les yeux clos de l'aimé au vent divin il demeure . 이시, personne n'est en haleine d'être rien que de la grenaille au fond du puits juste permettre hors apparence au souffle de devenir trace, trace vivante des ombres et des lumières pour qu'à l'aube lever le voile de l'épousée passer les portes de l'oubli et neige éclose l'espace de nos nuits oser le pas de trois un libre court un commencement. (peinture d'Elianthe Dautais) 192
Écrire comme si on disparaissait

Écrire comme si on disparaissait 이 옷에 돌 대 돌 où construire l'impact de la brûlure 죽은 단어를보고 . 누적된 말 만일의 사태에 충격을 주지 않고 . 매끄럽고 주름 없는 무관심 빛으로 범람 다른 사람이 제공하는 것 , 우리의 피부는 무엇입니까 우리의 어두운 피부에 음식을 제공합니다 . 위협 , 진흙과 술 취함 사이의 불꽃 ; 떨다 우정에 대한 완전한 충성, 풍부함이나 건망증 없이 , 반대편에 도달 기쁨과 슬픔이 뒤섞인 흑요석 관절에 남아있는 것 , 소중한 결과를 향해 화장대가 제외된 곳 글의 몸을 부수다 . 189
위대한 침묵의 수수께끼
위대한 침묵의 수수께끼
양자 랜덤 자세에서
단호하게 우리의 ,
이 호출 가능성에서
무한히 흐르는 ,
어디에서나 무한 ,
무한히 존재하지 않는 ,
이 자연으로 인한 존중을 지원하기 위해
네 무료 ,
예 깨지기 쉬운 ,
너무 무시무시한 위반 ,
성경의 뱀의 일에 의해
그의 사악한 역할에 적합
비대칭을 무너뜨리기 위해
파괴를 목적으로 .
밤이있다
만나는 나무의 불꽃으로 자신을 단장하는 곳
불일치의 구름을 부수다
완전한 이해의 검으로
그리고 수행
보편적 지능의 가장자리에서
경이의 풍부한 수확 .
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