Se ferme l'opercule du bulot sur le sable aux bulles savonneuses caresse du temps qui passe au creux des vagues lasses valse lente narines dilatées conques marines ahanantes la main effleure la levée des voiles sous la vergue tendue note métallique du piano silence racé sagace errance d'avant la venue de l'ange à la mine chafouine sous la pluie de pétales e faataapeapeina le matagi mille baisers à l'encan pour les pigeons de l'automne brasier rassemblant au sortir de l'octroi l'envol clair de ce qui fût. Mourir blanc vivre noir. 535