Éclats de lumière glissade de janvier que griffent les branches de l'étrange équipage la rousse lune fige œillade embrasée l’arrivée de nos rêves.
Double hérésie de la contemplation bras levés en limite du déclin s'effacent les marbrures du matin le malin aux sourcils enrhumés d'étoupe. Fors l'espoir les brasiers se repaissent des coulures de l'esprit aux rives surpeuplées. A grand train les cris montent des ravines sous la voûte piétinée aux semelles d'argent des journaliers d’antan. D'étranges fenêtres aux vitres éclatées élargissent le sourire de l'Ange mon frère. Couchés sous le dais en retrouvange nouvelle les hommes aux semblables étoiles rassemblent les nuages épanchant leurs liqueurs comme on panse de laine et d'aiguilles dents serrées les vagues dentelles des mers éternelles.
Le la u'u lelei i mauga so'o fa'ailoa mai lenei manulele matagofie i laugutu o le ua alofa. Matāua i luga o le tioata le puao o le vaituloto siitia le aso alofa misionare mo le litania o mea fiafia. Auai ma lulu ma le matagi uma taamilomilo o le malamalama uiga o le upumoni agai i luga o le soprano. o lou siufofoga e ufitia i le manino o le kiona sikuea sikuea i le faatausiusiuga o le vaomatua tatou o faatasi.
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( ata tusi ma lana solo na saunia e René Barbier )