Le muscarisqui rit de ses grainsen grappes phalliquesépoux de la main. L'œillet du poètedu grand-père aux dents acidesau silence vraià la tige enchâssée. La campanulepenchée vers la terredu clocher à étagesaux abat-sons de bois. La pâquerettefluette et en fouleclame le soleildans l'herbe rase. La scabieusehampée haute à petit duvetprête à s'orienterlà où la lumière opère. La centauréeciselée à souhaitbrassant l'air pour farine futuremûrir un soir d'été. ............................................................................................ Il ferma les yeuxaprès les avoir ouvertquelques années auparavant. Pour de ses doigts bleuisenserrer le précieux cailloude derrière la maison. L'esprit de la Mareuilleplane dans la courd'une présence douce. Riquette me regardaiten penchant sa têteprête à obéir. Des voix graves montaient de la landeune pluie finefaisait se courber les joncs. Aux vieux frênesadresser quelques motsenchâssés qu'ils étaient dans les pierres du talus. Les médailles commémoratives de Verdunsous le portrait à la fière moustacheJean-Baptiste Victor. ...................................................................................... A lire le dictionnaireTout En Unles pages roussis par le soleil. A chanter seulsous la nef de l'églisepar le jeu de l'écho être ardente prière. Figure pieusedans son cadre en verrerecroquevillée par la gravité. La main épaissedurcie par les travaux de la fermearrachait les orties sans douleur. Pleurs du matin d'un jouravec le faisan sur la barrièretête sèche posée sur la pierre unique faisant siège. A l'épitaphe terminalefaire une ronde des motsque le promeneur lira de l'autre côté. Agenda illustré de dessins d'enfantsune île de protectionavec tout ce qu'il faut pour subsister. Avant "il y avait" "j'ai été" et puis après "il y aura". Des pas sur le graviercraquent les chaussures à semelles de crêpepar les chemins poussiéreux. De génération en générationles trompettes renomment et résonnentpour que se succèdent les humains de cette Terre.
..........................................................................................................
Les murs de briquesau crépi disjointmatamata i le aluga o taimi. I le togavao mamao tane ma le fafine e eli se pu ma se suo mu. Tuu ni tupe i totonu i se solosolo e ufiufi i le eleele fai se faailoga o le satauro. Nofo i luga o le nofoa sasa i le pito o le auala taavale vae tautau. I le togavao i le ala alu i le ala atoa. Fa'asaga i le malamalama i le fa'amama o le afi lea i tua o tuaa sisiva le bourrée. E toe foʻi i tua o oe le tama e sefulu ona tausaga agai atu i le fanua laugatasi tele. Fa'asolo laau ma le pusi i ou lima ulu, vae tautau ma si'usi'u. Ua uma ona pupuni e le tamaloa le faamalama laupapa tapoleni tuitui ma le malosi. Ta'oto i le eleele gaogao e ala i le pogisa ua oo mai ola e oti. 769