Torrent et chants d'oiseaux l'œillet du poète est offert au vent des sommets point d'immortalité.
Les nuages font de l'ombre pleins et déliés vers cette montée de Lacombe où les pierres sont levées.
Le petit doigt sur la couture du pantalon pas de bandonéon à l'arrivée pour peu que le souvenir envenime d'un pas de deux le calme de ces lieux.
Un papillon sur le pouce pompe la crème solaire de Claudie à Pascale le fruit se déguste à midi.
L'arrêt se prolonge les chèvres à la longe une mouche sur la page blanche pas loin des Roranches le bâton pour la descente un quarteron d'aigles planants en beauté un jour de juillet.