Шикоятро гузоредEn volutes lentesSourde tornadeJusqu'au regard amèneFigé par la sidération .Дастаки сабадро бофтан лозим астD'entre les objets sacrésLa passiflore épanouieRagrée le sens de la vieLe maudit est passé .Аз пайрахахои нишеб гузаштанLe limon colle aux piedsS'entrouvre une lueur diaphaneD'entre les voix des suppliantsLâches dans leur penchant à la servitude .Дар сутунL'humanité investit les lacets de la montagneAscension régulièreAux rythmes des cymbalesEt des oriflammes claquant au ventVers le Très Haut .Чехрахои пур аз хирадSe mêlent aux lancinantes mélopéesConjugaison singulièreOffrant refugeÀ nos âmes éprouvées .123
La neige et le froid contractent nos volontés дар атрофи чизи зарурй .
Мо охуро бо дили булӯр бе шикорчӣ намебинем ва агар ангуштони карахтии мо триггерро хеле зуд кашанд биёед аз ин бесарусомонй шиква накунем он метавонад бошад, ки дар байни марг ва ҳаёт чизи дигаре вуҷуд дорад tellefloraison toute de respect et enjointe à ce qui est .
De la brume givre les sapins qu'accompagne le requiem des jours qui passent antienne redoutable .
Joie des croque-mitaines gelant le bout des doigts qu'il fallait réchauffer contre la salamandre de cette douleur pointue qui vous assaillait juste avant que la classe ne reprenne . Un pic d'antenne à la vie les ondes en sauvagerie par dessus les vagues blanches de la crème givrée sous un soleil d'hiver par un froid sans appel .
Un froid de cadenas fermé et accroché au pont des souvenirs le lendemain de cette traversée du pont des Arts haut le cœur des amours mortes transfiguration des émois en marche vers les Tuileries du juste ordonnancement le paquet de tracts dans le sac pour de main en main joindre le geste à la parole et habiller de papier les marbres nus du parc en abscisse de cette trajectoire de la moire à la victoire espoir courbe des lendemains qui chantent .
Expurgé d'entre les mousses inoculé par ses dendrites mémorielles hors déni le mystère veille darde et reflète l'occupation du lieu de lampées gutturales et festives de ces rencontres la nuit tombée sur le pas des portes de ces romances trop tôt dites puis oubliées au petit matin désœuvré au passage des poubelles sage remise en place après fête les formes et les élans au fourreau attendre des jours meilleurs que surgissent à nouveau les mains tendues les sourires discrets les invitations surprises et s'entendre dire que c'est beau la vie lorsque le linge est dépendu se méprendre de l'innocent clin d’œil échangé entre deux draps cascades de rires au milieu des voiles ensoleillées ailes d'anges frôlant la fraîcheur matinale juste un frisson à retenir juste l'oblation à recueillir la chaleur aux joues sans frein faire éclater le bourgeon d'un baiser doux et soyeux pour l'amour de Dieu pomme d'api d'api d'api grise pomme d'api d'api d'api rouge .
Vite fait bien fait la visite à ma vieille amie silencieuse affligée d'un dégel ses vitraux calmes papillons de couleurs paupières repliées sous leurs sourcils chafouins de blancheur maquillée .
Le vaisseau est à quai aucun mouvement ne trouble sa quiétude le monument aux morts monte la garde la fontaine roucoule perle rare et joyeuse pour jouer à cache cache enchâssée par les fientes de l'étrave à neige .
La voiture rouge se gare les essuie-glaces s'immobilisent les portières s'ouvrent et claquent des hommes en bottes de caoutchouc et casquettes sortent les mains dans les poches de leurs larges pantalons ils disparaissent .
Puis réapparaissent et entrent dans le café un déca-crème rallongé et un nature non un bock des bruits d'animaux en fureur exaltent le fulminant percolateur .
" L'ambiance commerciale est-elle de retour à Orcival ? " " A Besse y'avait le trophée Andros et la Saint Cochon " " Superbesse ne connaît pas la crise " .
La cuiller tapote la tasse ça cause d'un colibri qui ouvert puis fermé vient parfois faire un tour par ici .
Goudron et neige coexistants en dicotylédones semi-sphériques les naissances arrivèrent rapidement sous la lunaison propice .
Goudron et neige de salissures moirées la plaine s'encapuchonna sans que filtre le regard .
Goudron et neige ne dépendant ni d'Eve ni d'Adam les semelles laissèrent leurs empreintes sur la livrée sénescente des brumes .
Goudron et neige sevrés de soleil arrimèrent la grand'voile pour ceindre d'une étole le démarcheur du beau temps occupé à pelleter devant sa porte alors que la burle hurlante suppliciait arbres et poteaux .
Goudron et neige se mirent en pâmoison à mesure du dégel lâchant au passage les stalactites de glace venant exploser au pied des murs codicille m'enjoignant à poursuivre la quête .