Išskrido jaunuolis su cigarete šiame laiptų įdubime žingsniui nepasirodžius mainais į mažą kėdutę atsisėskite, ką žmonės pasakys savo ilgais pirštais mesti pajuoką taupiai Trojos arklys sulaužykite ir įeikite Vincento kambarys lūkesčių salėje katė užšoka ant stalo apkabinti vaiko kaklą nutraukdamas galiniu žvilgsniu tūkstančio ir vienos pagundos žaidimas laužanti naktis krosnis pakeltas drebulys atnaujinimų irklas vėsų rytą vis dėlto kauterizuotas šių minčių vėdrynai su persekiojančiu kvapu atsisakymų prie doko traukiniui neplėšiant oro savo bestuburių veržlumo degimo atliekų kaupimasis iš dalies atnaujinti karštą faunos lenkimą priešais giedančią mergelę.
Už lango žiemos medžiai apsispręsti vengė vietoje meilės žodžiai iš praeities.
Svajonės pakraštyje tėvas ištiesk ranką motina rankas už nugaros šuo uždaryti taką vaikas slepia. Tolumoje olandiškas malūnas Pirmas aukštas butai atviri kolonos palaiko arkas sienas dengia pieno balta spalva arklys paruoštas. Vienas ! monte ištrinkite skanėstus su gestu nesulaikyk mirties būk vėjas giedrą rytą būk savo erdvės spindesys žagsėti gyvenimą raudonis su spazmu būk dangus šlovėje Mano vaikas mano akimirkos deimantas lūpų kamputyje šypsenos taškas kaip tik kavalkados proga tik trintis su amžinuoju. žaibas tu žinai kelią lėtai tarppirščių šešėlių polinkiai. Būk sustingęs prie vedusiųjų kalvarijų tiesų taikinys šis aksomo gabalas kur padėti galvą akis į akį prieš ašarą.
pasivaikščiojo Sur le chemin entre les blésPiquetés de coquelicots, mėlynės ir ramunės Houppes céréalièresQue le vent peignait, D'amples ondulations, Vagues d'un océan bruissantExhaussant le vert tendre des épis. Buvo savęs dovana L'abandon à la natureLa vie dans son mystèreEn sa sainte coquilleAu gré du sourire d'un soleilClignant des nuagesÀ mesure de son avancée. Ten buvo inkaras De la maison de pierres noiresVaisseau familial arriméEn bout d'horizonDerrière la ruine des Matillou.buvo karštis Du grand'pèreDes parentsDes enfantsTissantLes paroles de siesteEntre journal et tricot. " Il faudrait planter un frêne pour avoir de l'ombre. " Tai buvo padaryta. 329
En descendant l'escalierbaltos dėmės ant stiklo kasnakt pozuodavo adresu. Išskirta iš begalybės prieš erdvę tuščios susitikimo formos aš šriftas ekstremalus šaltumas nuolankumo akmenukai saugomi paslapčių dėžutėje. apleistas ir pasirašykite maršrutą lietingu oru iššiurę plaukai me šriftas plumes d'ange per prieangį begalinis laukimas. Surinkite mano blizgučius dieviški drabužiai pour cacher ces blessuresEsu atmestas represuotas, pikseliais iš skaidraus vandens mano vienintelis veidrodis. Aš padariau gerai buvo žadamos gražios vestuvės mano tėvas grybaudavo mama apeidavo bažnyčią mano seserys korsetais apsirengusios būtų žavesys ir gydymas ant mūsų karnavalo plūdės. Tada atėjo nuosprendis sudužo į stiklą penkios angelo plunksnos atspindyje marquant l'absorption par le néantliko tik keptuvių dugnas žvalgytis laukiamo patiekalo d'une l'enfance retrouvée. ( Caroline Nivelon nuotrauka )327
Visage regard appel à celui qui viendra de la mer élever le chapiteau des connaissances ourdies, à celui qui brisant le miroir permettra de remettre à leurs places les musiques anciennes, les accords frileux de l'ombre et de la lumière, de l'aube au couchant, à pieds nus sur le sable mouillé, mon âme si tôt venue, déjà partie, arabesque dorée, je tends la main au vent des attentes, mon petit homme, douce fleur des prairies de l'enfance.
Escarde lâche fichée en la serrure au vestibule des attentes balayer les pensées sans permissivité. De longs filaments descendant de la ramure pendent ultime verbiage les falbalas de l'outrance en régurgitation des moments de l'enfance.
Sabir époumoné contre la paroi des châteaux de Thérèse les cris et bosses sont rassemblés au grand bûcher des vaines suppliques.
De mille manières l'habit cérémonial enfle devant la tempête bulles si tôt éclatées pour une protection désuète.
De givre point juste le roman des choses secrètes par devant les yeux brûlés au papier d'Arménie où ceindre de lumière la nudité tard venue cet effort à partager le nécessaire ce moment de doute en creux de déshérence ce voyage incarné de l'écriture dernière.
Vaguelettes proprettesmenuet sur le tapis des songesl'organiste plombe ses noteslevée de poussièreaccumulation dentellièreeffraction par le milieudu céans de ces lieuxoffre cliquetanted'un moment de douteassis sur le banc de pierreen retrait du bras de mer. J'hésite et je prieque d'hybride manièrenous conjuguionsl'emploi des motsavec le temps qui passeéraflure tendreofferte en dérisionà l'expérience bouleversantedu plein et du déliéentre chair et mousse. 325
Les ombres c'est nous les parents aux extrêmes les enfants au milieu.
Et puis des taupinières un ciel bleu blanc une main tendue l'index vif c'est par là qu'on va sans l'ombre d'un doute si ce n'est nous les faiseurs d'images aux marges d'un je ne sais quoi. Des lignes sages des couleurs atténuées une vigueur de gauche à droite un alléluia aux branches dénudées d'une tendre journée .
Par gradations mesurées se joignent la beauté et le zèle de ce qui croît en lisière de vérité de ce qui est là en l'instant méridien.
Écarter les fûts de la forêt dégager l'espace de lumière pour limite franchie laisser l'arbre effacer nos mémoires. Avancer à la tombée du jour proche d'une nuit d'audace en accoutumance trouver à tâtons la nef des oraisons s'élever en perfection. Chargé de souvenirs sur le rai de soleil par un matin vibrant compter les grains de poussière virevoltant dans l'entre-ouvert des persiennes.
Gambade piano didgeridoo mélodie miel rencontre sorcière danse du temps révolu farfadets et trolls se mêlant aux senteurs océanes file le vent par dessus l'horizon la pluie cloquette animal escarboucle baratte la nuit d'ordres en déroute souvent la rébellion des choses si longtemps contenues avance rampante entre ajoncs et genêts atsidaro sienos file le vent évidant l'espace file le vent poursuivant les bulles ensemencées file le vent en son élan royal file le vent bruissement terminal file le vent d'avant le grand silence.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Depuis, silence, commémoration en temps de crise petite ébréchure sur la tasse l'ampoule électrique clignote nous sommes en fin de ligne j'ai ouvert le tiroir à pain me suis coupé tranche de pain beurre et fromage façon de faire passer la pilule.
L'horloge sonne les cinq heures le jour ne paraîtra que dans trois heures prendre un livre jusqu'à ce que fatigue vienne.
La cuisinière encore chaude dans l'ombre sur laquelle mijote un reste de soupe un papillon de nuit se réveille pour se cogner à l'ampoule.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Sur la grande table ses collages sa vie de trentenaire ses souffrances amoncelées un regard de biche perdue un paysage en trompe l’œil je froisse le tout ça réveille le chat se dandinant vers ses croquettes.
Souvent paraît que l'aventure passe par la rupture que l'on franchit sans se retourner offert à la nuit frissonnante du frêne animé par un souffle.
Vite, refermer la porte la pièce se rafraîchit enfourner une bûche dans le foyer.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.