Išsekęs jaunuolio veidas iš jo išsilavinimo jau galintis suvokti užkrečiamasis imbrolis des amoncellements de la connaissance . Ir iš tikrųjų jis pažįsta pasaulį jaunuolis išsekusiu veidu be akių, be rankų, be kojų, bet atvira burna jis užfiksuoja anapus jis yra išorės globėjas ir giliai viduje tai sankaupų griuvėsiai jis yra keblumų ir privilegijų gavėjas po senolių nosimis ir barzda jis yra protingiausias iš vyrų kovoti su nuosprendžiu jis išradingas su zigzago likimu roko volas prie atraminių šaltinių jis kaltas dėl plėšimo jis siūlo savo gyvybę savo neapsakoma kančia kokie naudojami svajonių kūrėjai, poetai, mistikai, niekada nesuklysti su dangaus perkūnais kad praeitą naktį perpjautų jam pilvą être foudroyé par ce qu'il voit . Ramybė ir girtumas prieš mus guli kaukė gausu patikrintos mitologijos rekonstrukcijų sveikinimo kaukė où rassembler les fragments de ce corps épars . O nuotakos sesuo net jei pasiilgstu skeptro Aš paklausiau ir pradėjau tikrą gyvenimą kad burbulo dėsniai kuriuos pasiekia tik šamanai, poetai, pranašai, "raišteliai" et "garbanotas" - (superstygų teorijos ir kilpos kvantinės gravitacijos šalininkai) tous adeptes de l'espace lacunaire des eaux retirées. Didesnės tuštumos nėra nei šauktis šviesos atidaryti langus mes veiksmažodžio paukščiai nous les remueurs de la force de l'envol . 177
Kategorija Archyvai: gruodį 2013
Sylvain Gérard. dirbti 1 – Pabėgimas

Cette remontée du centre de la terre A belle allure vers le commencement du monde Cette perspective où s'essouffle le père invectivé La brûlure des anciennes alliances que l'on découvre à demi-mortes le matin La plainte des animaux égarés en d'étranges contrées enfin créées Cette fuite vers des aubes promises Cet élan brisé contre la vitre des immobilités Cet éclair rouge sang du couteau contre le ventre Ce suçon de paix donné à la va-vite le temps de l'éructation Ce court-circuit des émotions vraies qu'un sourire enserre entre quatre planches. Ils sont partis Ils ont fuit Le courage à deux mains repliées sous la chape des convenances Ne les arrêtent que la fatigue et le soir qui tombe Errant de ruine en ruine Dans un chariot de bric et de broc assumé Le rétameur s'est éloigné dans un nuage de poussière Et la route fût longue et par trop inhospitalière Père et mère confondus à la craie graphés sur la carriole Leurs noms écorchés à demi effacés En vaines contorsions l'outil de braise fume en se mêlant à l'eau Je bave et m'extrais hors de cette chape carencée Pour la parole habile M'élever à la croisée des salves de l'entendement et du vertige. La chaleur d'un désir tendu sous la toile Éclair blanc au zénith La coquille éclate Le jaune se fait soleil rayonnant De cet éclat consacré au profond des origines De cet imbroglio d'os et d'organes disjoints Je pus grandir entre fiente et humidité Poussé sur le devant de la scène A noyer par l'alcool Ces myriades d'étoiles alors entrevues Si puissantes si fascinantes si monstrueuses Dialoguant avec ce corps douloureux mon âme mon dieu . J'ai conduit l'attelage jusqu'à son terme Vers les plaines légères de pluie fine de vent soyeux de douce lumière Ce ne furent que grâce et beauté Entre les barreaux de ma cellule à ciel ouvert Entre les rayons de mes roues ces interstices à mon déplacement si particulier Mon chapeau de lutin vissé sur la tête A dire et à redire des "je t'aime" Aux pattes douces mes frères et sœurs en création Mon unique raison Ma déraison ultime.
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