Aux années veulesque le temps parsèmele long de l'allée des arbres premiers. A la pointe des romancesclichés paradisiaques élucubrésl'eau se fait de plomb blanc. Ma jupe est en dentellesla vie la soulèvede ses lèvres sensuelles. Un bonheur de commisérations feintesétale vertueusementle déroulé des rubans gris de l'esprit. Il y aura du pain dans l'écuelleles chiens pourront venircomme irruption sauvage sur le chemin en balcon. Nous, les compagnons du lever de lunearborant les colifichets du très-bassommes de glace à savoir trop savoir. Servir le monded'un jus de courge sucréeamène le désir en ses détours. Pommade rêcheà l'aube des portails hermétiquesmène aux pièces closes abandonnées. Au carrefourjuste un éclairage de circonstanceau cirque les lumignons du matin. Manger la crosse des fougèreserrance rare sans forfaiturepe a mavae atu seta. N'être pas seuledans ce tunnel sombre du retour à la mèremon amour vertigo désopile. S’asseoir paisibleaux scintillements vouéle regard équinoxe. Murmures disjointsentre les sept rayons que la Victoire infligeau Grand Être immobile. Il est une foi tenaceque les clichés découvrentaux cingles de l'oubli. Oh mes petites choses abandonnéesne retenez de moique la suite à vivre. J'ai été jeune parfois. 661