Kategória Archívum: február 2015

le papa de mon papa il s’appelait Henri

Il vint au monde à Reims le 11 október 1886.

Devenu très jeune orphelin de père et de mère, il fût recueilli par un oncle d’Epernay .

A treize ans il travailla comme souffleur de verre .

Avec sa femme Lucie, ma grand’mère, ils eurent cinq enfants, dont l’aîné prénommé Jean devait décéder durant sa première année .

Après la Grande Guerre il fût embauché au Métro, à la RATP, où il restât jusqu’à la retraite.

Lui l’enfant des Ardennes descendu en Champagne était devenu parisien.

Après avoir habité rue du Chemin Vert à Boulogne, durant les années trente le couple et ses quatre enfants déménagèrent boulevard Murat, dans un grand appartement qu’ils durent abandonner pour faits de guerre , après le bombardement des usines Renault toutes proches qui endommagea l’immeuble.

La famille fût relogée rue de la Corrèze près de l’emplacement des anciennes fortifications dans le XIX éme arrondissement .

C’est là, rue de la Corrèze, que je fus impressionné par un camion poubelle tombé dans une gigantesque excavation qui s’était ouverte en pleine chaussée .

J’avais peur de ce grand’père qui me faisait les gros yeux et me grondait .

Comme cette fois où j’avais déchiré le papier peint de la salle de séjour en petites lanières, cette pièce où maman devait accoucher de ma sœur le 13 février 1945 .

J’admirais le carillon Westminster qui sonnait toutes les demi-heures au dessus du fauteuil de grand’père .

Car il était souvent dans son fauteuil, pépé Danube, comme je l’appelais parce que la station de métro la plus proche était Danube, ce qui me permettait de le différencier de mon autre grand’père, pépé Frugères .

Et il était dans son fauteuil, pépé Danube, parce qu’il avait mal aux jambes le 18 mai 1955.

On devait d’ailleurs lui couper une jambe peu de temps avant qu’il ne meure .

J’étais allé à son enterrement avec mes parents. Au retour du cimetière dans le bus qui nous ramenait porte de Pantin, Éreztem nagypapa jelenlétét Duna. Mintha fontos dolgokat mondott volna el, amit én nem. akkor nem értette ; kirázott belőlem a hideg, és ennek nyoma is volt az esemény ma is bennem marad. Kilenc éves voltam akkor , és nekem nincs soha többé nem feledkezett meg a jelenlétéről, mint egy zord emberről, akivel nem tudtam cserélni .

A fényképeken jól néz ki egy puha vonású arc, ő a néma, aki ennek ellenére dührohamokba lendülhet, amitől megrémisztettem.

Ici, Ez fényképezte Jouy in the Eure , gyapjúmellényével és örök bereccsével aki titkolja kopaszságát, barátságos hozzáállást mutat Louise háza előtt , felesége nővére , Lucia a nagymamám , és Léon az egykori vadőr, Louise férje .

Majd valamikor korábban, az eltöltött hosszú nyaralásról visszatérve, mint minden évben frugeres, vonattal jöttünk vissza, mama, a nővérem és én, au 75 utca Szent Károly Grenelle-ben.

És ott, meglepetés ! Konyhai tapétánk, amely egyben nappali és fürdőszoba, át volt készítve. És ezt apám tette, és ő csinálta az apjával, pépé Danube.

A szobában sugárzott a napsütés ezen a késő nyári napon ….. és még ma is kitart a fény szívünk szerint.

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