almond almondsai pavanaitkamar yadda numfashi ya kumburada muka fahimtaa ƙarƙashin bene mai ɓarnana haduwar zuciyoyin mu.Ta nuna ƙarfin hali sosaiet mettait du cœur à l'ouvragekura a kan gardamaJirgin dajisumbatar sukarikarkashin eiderdown na swigs na hazoyayin da muke ci gabasama da fadamafadace-fadacedon goge jikar yatsansaa gashin gemukusa da kusurwar lebena faduwar ranamaganar jana'izapour un hiverwanda aka azabtarmaballin yanayim frock gashi . 112
Kar a buga tebur, shafa rigar Jawo dumi hagu akan radiator . Sanya ruwa a cikin ruwan inabin ku ba tare da kirim mai tsami ba a wuyan shekaru masu yawa kuna kwance naku daga nawa, jinkirta da strangulation na remonstrances . M kafa da seracs na sagittal juyin halitta bugun bugu da kari aikata akan sirdi na kyau ga hickey na zaman lafiya sanya a kafada ji an ce, AF, Kamar babu abin da ya taɓa faruwa, cewa gobe, yana iya yin latti . 111
zai tashi kamar tururuwa a cikin ceans na waɗanda ba a so duk a fuska kuma duk da haka Don haka aka tunãtar da su yin saƙa da dare sabunta ranar da ke fitowa .
Da ba su ci farin gurasa ba tun yana matashi sun sanar da babban kasuwancin rayuwarsu ?
Na farko " Bude mafarkinsu " a kan gangara na dacewa sannu a hankali don ƙarin ɗauka a wannan ƙasa .
Sannan " Son sani ", gina kai ta hanyar bude kofa ba tare da hango makomar gaba ba in Nègrepelisse mulkin kanana masu hikima a cikin gashin baki necrophiliac sauri fita daga fashion a yi abin da za a yi .
Sai me "Ku je ku ga abin da ke bayansa" domin ciyarwa yaran Romania masu fama da yunwa yammacin alatu ya fi dacewa ya zauna cikin mamaki a gaban furen poplar me zai yi mai gadi a kusurwar ginin .
Zuba " Dubi darussan da ke kewaye da mu " domin su kara ilimi tarihin kasancewa a shirye don musayar tare da makwabta mahaukata masu neman wanda ba a iya magana na fitowar rana duk cikin hankali kan le6enta na wani murmushin tashi .
Kuma a samu " Hankali mai fadi yayin da yake tona sana'arsa " domin duk bincike yana bukatar shuka kashe hanya sabon firikwensin antennas madawwamiyar aure a cikin nema na aure kawai a kowane zamani muna alfahari da kanmu kamar da nadama d' asali kafin kowane girma na rai .
Daga karshe " Aiki cikin kungiyoyi " saboda yana cikin juzu'in halittu fiye da makamashin burbushin da rauni ya haifar batattu rayuka yarda tsarawa hikima menu mai sauƙi da ake buƙata ga bacewar miyagu .
Bari burbushin kerkeci a cikin daji hayar haske yanayin rayuwa zuwa ga kyakkyawan bazara na tarurrukanmu masu zuwa da soyayya .
L’Etre humain est une structureenglobant un corps, un
psychisme et un esprit . C’est aussiun processus existentiel et
spirituelpar son engagement, dans le temps qui passe, et dans
l’espace cosmique qui dépasse et interroge notre entendement .
Notre corpsest périssable. Le
corps-organisme est structure de perceptions au travers de ses organes . Il est
corps-organe et pas seulement corps-matériel .
Il est le premier objet de communication et
de relation à l’autre . Il porte l’inscription de tout ce que nous avons vécu
au cours de notre histoire dans sa globalité. La physiologie émet des signes et
des messages issus des mécanismes existentiels programmés en lui comme dans un
ordinateur.
Le psychisme, ou psychologique, caractérise le mouvement des pensées, les
idées stéréotypées, un monde intermédiaire dans lequel on ne peut rien bâtir
tant le trouble est grand. La confusion psychologique est la base de l’être .
Le tri qui est fait dans le compliqué du mental,
ouvert à toutes les influences, est effectué par la conscience . De cettelamiridécoule plusieurs notions
agissantes dans le travail psychologique : l’écoute fine et sensible à ce qui
est là, la conception unitaire et globale de l’organisme – on ne peut pas
dissocier le corps, de l’affectif et du mental -, la notion du lien entre
l’organisme et l’environnement – la conscience est conscience de quelque chose
-, la dimension temporelle dans le devenir de l’être humain, l’idée d’un
potentiel à découvrir grâce à l’élargissement du champ de conscience .
Le travail psychologique peut ouvrir à la
réalisation spirituelle, et s’il ne mène pas au spirituel, il peut néanmoins
débloquer, voire écarter, des situations et des comportements qui piègent le
psychisme, afin de rendre l’être humain disponible à autre chose par
l’élargissement de son espace d’intervention. Le travail psychologique permet
l’ajustement créateur à l’environnement .
L’espritest la fine pointe de l’âme, le sommet de la pyramide qui
communique avec le monde supérieur .
Il est repérable au travers de la quête du bonheur
qui nous caractérise. Nous allons vers quelque chose, et cet élan, cette
énergie que nous avons en nous, nous pousse à la réalisation de nous-même dans
l’ouverture à ce qui est changeant, différent, indicible, dans la relation à ce
qui nous entoure et principalement à autrui. Nous sommes comme poussés par une
faim de complétude qui se révèle être la propension à se découvrir, soi, au
plus profond de son être .
C’est alors que nous entrons en résonance, avec un
lointain écho qui se rapproche jusqu’à devenir mythe ou mémoire secrète .
La révélation qui en résulte nous convoque à un
changement de regard sur ce qui est proche, et c’est en
dépassant l’illusion de nos désirs et notre lâcheté à éviter les surprises,
que nous nous situons alors dans l’obligation de
“contacter” cette part imprenable de nous-même .
L’esprit nous incite à passer de l’
“avoir” à l’ “être”. Il est ouverture à l’Autre qui vient
vers nous, au jamais vu, jamais expérimenté, à la nouveauté créatrice en
écartant nos conceptions habituelles qui habitent notre vieille conscience .
L’esprit se reconnaît à ce qu’il est
indestructible, simple, inattaquable . Il est le fil rouge, de l’être au milieu
des tribulations de la vie, que rien n’efface car tout concourt à ce qui est.
L’Etre humain a besoin de ces trois composantes
dans l’expérience du vécu pour être convoqué à l’expérience d’une vie de
conscience, de liberté et de responsabilité. Il se doit d’être l’accompagnant
du profond de lui-même et d’autrui, par la pratique, dans ses actions menées à
l’extérieur, de la transparence, de l’équité, du beau, du bon et de son
exemplarité.
Il a besoin ducorps, de l’incarnation de l’Etre,
du tangible, de ce qui promeut la concrétisation du chemin existentiel et
permet la visibilité d’un but vers lequel tout semble converger. La conscience
du corps est le garde-fou, qui au travers de certaines expériences
spirituelles, permet de retomber les pieds sur terre. Il est aussi le lieu des
sensations et visions inouïes .
Le corps résiste à sa disparition programmée –
l’instinct de survie -, et par cela cherche à se reproduire et à perpétuer
l’espèce .
C’est la référence à notre propre corps qui crée
autrui et lui donne sens. C’est au travers de notre vulnérabilité que nous
pouvons “tabawa” l’autre, le rendre à lui-même, et par là, nous
fonder nous-même .
Le psychismeest essentiellement le
monde des émotions. Il est aussi le champ de la cognition dont l’extension
stimule les recherches en neurosciences. Il nourrit cette volonté de l’Etre à
l’autoconservation, à l’individuation et au plein emploi de ses capacités
intellectuelles, affectives et intuitives .
La parole est libératrice quand elle s’origine du
corps et de l’émotion, quand elle est incarnée. Trouver les mots : un passage
obligé, da “parlêtre”, l’échelle de Jacob en association
lumineuse à ce qui est et à ce qui nous dépasse .
L’esprit, nasa, peut s’enflammer au feu
supérieur divin. Pour cela il ne plie pas devant les épreuves mais semble
plutôt les rechercher pour les transformer en richesses sur un chemin d’espoir.
Il nous lie, en ressemblance, au plus grand que nous sommes. Il est l’étoupe
dont on fait le brûlot qui enflammera l’ordre établi lorsque celui-ci, affadi
par la complaisance et le manque d’apports extérieurs ne survit que par la
“chosification” des fruits de notre monde. Il est le lien
inattaquable et immensément clair et lumineux. Il domine toutes les souffrances
de l’Etre pour nous inscrire, par un voyage initiatique, vers le grandir de
soi, vers davantage d’ouverture à ce qui nous dépasse. Par cette attitude,
la perspective ontologique nous entraîne, par le processus de quête intérieure
du mystère fondamental, vers plus grand que nous, vers ce qui semble éloigné
mais qui paradoxalement est si proche, au plus profond de nous, au coeur de
notre être, au cœur de l’Etre .
Dans son implication sociale, l’être humain doit
avoir un comportementéthiqueafin d’orienter sa vie selon
des principes humanistes – à retravailler sans cesse par l’affirmation d’une
posture de connaissance, de sagesse, de lâcher prise, de réflexion tout autant
que de méditation -, afin de lui permettre de garder le cap . Ainsi seront
dégagées les traces pouvant servir de repères aux génération futures .
Par la conjonction complexe du corps, du psychologique et de l’esprit, nous nous orienterons alors dans la direction du grandir de l’Etre . Alors nous feronsle saut de la vie. Nous élèverons notre être . Nous serons debout avecnotre parole da nos signes ,ce qui nous amènera parnotre verticalitéàlibérer ce que nous sommes .
L’idéal
platonicien d’ordre et d’intelligibilité domine toute la science grecque puis
la science classique jusqu’à Einstein, chantre passionné d’une religiosité
cosmique.
Dans l’optique
traditionnelle, le désordre est ce qui perturbe un ordre établi. La notion
d’ordre est donc première. Elle est d’origine religieuse. L’ordre dans le monde
est le reflet de la raison divine ; Dieu est le grand ordonnateur.
L’étude
scientifique des états désordonnés nous oblige à reconsidérer la dialectique
ordre-désordre et soulève le problème de la complexité qui déborde le cadre
proprement scientifique.
La découverte
moderne d’un désordre omniprésent oblige à s’interroger sur les bases scientifiques
de cette idéologie proprement mythique. Le désordre est d’abord perçu comme une
offense à l’ordre naturel.
Cette connotation
négative reproduit celle qui entoure l’idée de désordre moral ou de désordre
social.
Le désordre
n’est-il pas une menace contre la science elle-même qui, depuis qu’elle
existe, s’est acharnée à révéler l’ordre caché des choses ?
La révélation du
désordre a quelque chose d’angoissant, car le désordre est incontrôlable. Il
convient donc de le refouler et de se rassurer. Pour cela, on affirme que le
désordre n’est qu’une apparence et que derrière ce désordre apparent se cache
un ordre, un arrière-monde parfaitement ordonné.
Cette conjonction de l’ordre et du désordre crée la complexité.
L’histoire de
l’univers de la vie présente une montée de la complexité, comme Teilhard de
Chardin en avait eu l’intuition. On parle maintenant de pyramide de la
complexité, de seuils de complexité. Ainsi l’ordre et le désordre, le régulier
et l’irrégulier, le prévisible et le non-prévisible, se conjuguent pour créer
la complexité.
Dans une structure
complexe, l’ordre est dû à l’existence d’interactions entre les éléments alors
que le désordre permet de mieux spécifier les constituants du système pour, les
ayant nommés, pouvoir ensuite les mettre en interaction. Du coup, dans les
systèmes, se fait jour une dialectique entre le tout – l’ensemble du système –
et les parties ; ainsi la cellule est plus qu’un agrégat de molécules. Dans le
tout émergent des propriétés nouvelles dont sont dépourvues les constituants,
les parties.
Le tout est doté
d’un dynamisme organisationnel. La vie peut se définir comme un faisceau de
qualités émergentes – l’auto-reproduction par exemple -. Elle contient
simultanément un élément d’ordre et un élément de désordre dégénératif. En ce
sensla mort est inséparable de la vie, dal’organisation du vivant est en
fait une réorganisation permanente.
Cet office d'après vigiles dans l'église des catacombes le prêtre en habits rouges penchant sa loupe lumineuse sur les textes sacrés.
La clarté de l'expression orale le dépouillement du rituel l'essentialité de la gestuelle avaient le goût de la fine lame tranchante épée de justice séparant le vrai du faux en ascension lente du mythe antique exalté par le rituel.
Au vif du propos les catéchumènes contre les murs nus du chœur alignés à psalmodier debout puis assis les arcanes du culte qui se déroulait là comme à la sauvette entre vigiles et laudes l'eucharistie en sa levée marquant la transfiguration du divin sans émotion feinte telle la présence obligée de l'œuvre de chair et du mystère liés en leur incomplétude.
Les cloches font du saute-moutonsur les crédences de la sacristie .
Le faisan longe le murrencontre sa faisaneet lui montrece qu'il faut faire .
Les rires anglais se succèdenten cascadesfeux d'artifices de bonne humeurque ne manqueraient pour rienles moustiquesâpres au gain du sang .Le vent caresse la prairie aux hautes herbes,ventriloque immobileles fruits du platanebattent la mesure .Les pissenlits à maturités'essaient au Sème à tout ventdu Tout en Unvaste programme tun yarinta
d'après la vaisselleoù les parentsavec tricots et journauxcherchaient l'ombre conjointe du frêne et du tilleulalors que nous poussions la porte du grenierpour frotter la capsule métalliqueentre pouce et indexentre pouce et majeursur le plancher disjointaux grains de blé encalminésdans le renfermé de la soupenteaux discrets trapillousfaisant monter l'odeur poussiéreuse du bois vieillique nous accompagnionsde génuflexions cadencéesl'attention portéesur les petites roues denteléesaptes à sautillerbrinquebalantessur le tour de Francede nos chemins de craie .106
Dans l'encoignure d'un puissant mur de pierres murmurent les esprits .
Etre immobile dans le silence de l'attente sans attente du simple mouvement de vie .
Moment de fermer les yeux d'être attentif à l'instant présent d'être avec ce qui est zama dans une posture souple et détendue avec notre souffle avec ce corps qui respire tranquillement avec ces pensées qui vont et viennent observer juste voir contempler cette poitrine qui monte et se creuse avec nos sensations avec notre conscience qui s'élargit tout voir sans que rien ne s'accroche être dans un esprit d'ouverture et d'accueil à ce qui est dans l'ici et maintenant de notre souffle et des bruits alentours accepter la simple présence de ce qui s'advient dans l'absence de ce qui précède tout autour et embarquer par le déplié de nos pensées aussi légères que leur repliement voiles offertes au vent vers là où tout commence et fini sans nécessité de la réponse .
Tunawa da wannan wasan yarinya origami gishiri gishiri na takarda . Tsakanin fihirisa da babban yatsan kowane hannu " Zaɓi lamba " ! sai yatsu suka bude suka rufe gishiri gishiri sau da yawa kamar yadda ake bukata " Zaɓi launi : rouge, bulu, karkata ko baki " ! kuma an buɗe gishiri a wurin wannan damar da aka sanya " Kuna da kirki ... Kai ne mafi kyau ... " Don zama, cikin wannan hoton duwatsun nan guda hudu koma baya, wasan ya daskare, crystallized, Yana da "dutsen dutse" , yana rufe kuma har tsawon haka, cewa gansakuka ya rufe shi . Wannan abu "wasan kumfa-dutse-takarda" ZAMA wurin farawa don bullowar a abin tunawa, na nostalgia, na sigar tunani , na wani ji . Kamar millefeuille bude ga duk iskõki, wani lokaci na rayuwa ya bayyana. Uku qananan juyi da sannan suka fice ... akwai motsin rai ... Amma me yasa, a cikin abin da kuma yadda wannan motsin zuciyar ya zama ji ? Da jin, yana da yawa fiye da amsawar physiological da aka yayyafa shi da zest na al'adun haddace . Babban aiki ne mai rikitarwa na farko a kan ji to jin da ke fitowa daga zurfin ciki, matsayi, hanyar gane kai halin da aka bayar . Amma a nan, game da wannan wasan, a kan haka " wasan-image-memory-takarda-yara-mossy dutse ", Menene game da shi ? Ta hanyar alaka tsakanin dan Adam da muke da muhalli, ba jin haka bane yana haɗa mu da abin da ba mu ba, da wani abu a wajenmu. Zai fi kyau zama Hankali, abin mamaki, tunanin cewa zai kasance a wurin aiki . Ji shine nasarar nasarar wani ɗan lokaci na gaskiyar al'ada cewa mun yi namu fiye ko žasa da hankali kuma wanda abin da ke haifar da shi ba zai iya zama kawai dalili ba. . Abun shine kawai lokacin bayyana . Mun haɗa, mafi yawan lokuta, tunaninmu ga duniyar muhalli, al'amuran zamantakewa, kan tunanin cewa abubuwan da ke faruwa a can - misali amfanin wasanmu anan - suna a asalin jihohin sani cewa giciye. Ina kafa bege na yaudara cewa ya ishe ni in mallaki muhallina, abin da sha'awata, ya zama shugaban jahohina na lamiri. Ina so in kasance a cikin halin da ake ciki, mai iko a duniya, ya zama allahn motsin raina. Amma kawai ruɗi ne ! Nufinmu ƙaramin abu ne kawai na tushen ji wanda ya ratsa mu da wanda muke kai ba su da tasiri fiye da yanayin. Neman sarrafa tunanin mutum zuwa ga kaucewa rashin, rashin tabbas, tsoro, kuma ya zama jahohinsa, shi ne ƙin bullowar rayuwa ta hanyar kai tsaye. Yana da babban tushen wahala ! Paradox na abin da aka makala shine zalunci. Jikan mu, mu ne, zurfafa cikin kusancinmu amma duk da haka muna rayuwa da su kamar sun fitar da mu daga kanmu ta hanyar mai da hankali ga irin wannan abu a duniya. . Don haka " ba mu kuma ji ", ba mu kuma san kanmu ba . Misali, muna tunanin muna son wannan matar , - " soyayyar da nake yiwa matar nan ta fada min , ya sa na fahimta, ya bayyana mani kasancewar ita ce" - , hangen nesa na soyayya na abin da ke kawar da mu daga dalilin jin da yawancin tsinkayenmu suka kafa . Wata hanya ta ware zai kasance mu koyi raba ra'ayoyinmu daga abinsu kuma mu rayu da kansu . Zai kasance " don dawo da kansa " . Rayuwa da gudanar da tunanin mutum da gaske shine share fage na sanin kai. . Kuma idan a cikin akwatunan sirri na wasan gishiri shaker " takarda-lambobi-launi-damar-mossy dutse - zan gaya muku wanene ku " akwai ƙarƙashin launuka huɗu, Guda huɗu masu daraja don tarawa zuwa ga m tsarin kula da kai wanda zai zama Hankali, ji, motsin rai da jin dadi, matakan da suka wajaba zuwa ilmin kuma a san abin da za ku yi da wannan ilimin . ... Domin kada a nutse cikin abin da aka makala ! Kafafu da dunƙulewa sun ɗaure da imaninmu na karewa, ga tsoron mu . ... Domin rayuwa cikin 'yanci a cikin misalin Kasancewa , duniyar mu ta hakika .
(Basarab Nicolescu ya yi wahayi zuwa rubutu kyauta)104
La lumière est un grandthème scientifiquemais aussi occasiond’éveil, d’esthétique et métaphore du divin. C’est une Réalité multidimensionnelle .
La lumière est le
moyen qui permet à l’astrophysicien de dialoguer avec le cosmos .
La lumière est
l’élément le plus noble de la nature, et l’oeil est l’organe le plus noble du
corps humain .
Dans les sciences,
la lumière fait intervenir non seulement deséléments physiques (comment l’image vient
dans l’oeil), mais aussiphysiologiques (comment l’oeil
fonctionne) dapsychologiques (comment le cerveau interprète l’image) .
Comprendre la lumière, c’est aussi déchiffrer les mystères de l’oeil et du
cerveau . La lumière, la vision et l’activité neuronale sont inextricablement
mêlées .
La lumière joue
aussi un grand rôle dans lesdomaines de l’art et de la
spiritualité. Car la lumière est davantage que matière, elle est aussi d’ordre
spirituel . C’est en explorant les reflets, les éclats, les ouvertures,
fenêtres et vitraux et les formes lumineuses de l’environnement et des
monuments que l’homme a érigés, Rembrandt, Turner, Boudin, Monet, Cézanne, Le
Corbusier et Soulage donnent une âme à la nature. En s’affranchissant des
formes pour laisser place à la couleur, Kandinsky invoque l’impérieuse nécessité
intérieure de l’artiste à utiliser l’art pour faire la synthèse des mondes
intérieur et extérieur et aboutir ainsi à la grande loi cosmique .
Les traditions
religieuses du monde entier ont porté la lumière au plus haut point . L’art
gothique est l’art de la lumière par excellence . Le christianisme parle d’un Dieu de lumière. Le bouddhisme associe la
dissipation de l’ignorance, source de souffrance àla ” luminosité de
l’esprit ” .
L’homme se définit par la représentation qu’il se fait de la lumière . Qu’elle soit scientifique, technique, artistique ou spirituelle, la lumière nous permet d’être des humains .