Approche-toi à pas de satin au cou mis à nu sois la veine jugulaire du pouls de la terre de la tête et ses cheveux sois le vestibule au son d'un violon passe le bras de l'archet allongeant sa caresse vers le bas du pré romance filaire de bulles de rosée ointes tels grains de beauté sur la peau de l'aimée message élancé vers la houppe des frênes faisant claquer le suaire des chansons douces qu'épile de cris le clapotis des mains frappant en mesure le cœur l'époumoné de cette algarade montée au Fangeas vers l'accueil d'un ciel doux très doux a cikin murguɗin kafadar ku à te dire les petits mots d'amour.