
Sa sola ese o ia mai le faamoega o le tafa o ata o le ala, le masina i lona vevesi. Fetu fetu i luga o le tulaga laupapa sa ia faailoa mai le ala. Aua le tagi aua e te alu ua lava le vaai e tasi. E amata le aso ma ona laugutu tutu le lagi i le afi. Les mains se tendent le harnais blesse le dos les pieds s'enfoncent dans la glaise. Par la porte étroite accédez aux blessures puis remontez la pente. Au sortir plus de bruit rien que la caresse de l'herbe. Pointe une flamme entre les copeaux du feu de Dieu. S'échappent de la caverne paroles et romances. Se penchent i le pito o le tofē les êtres du couchant. Une à une incisez la planche au passage des sacs. Ne montez plus au grenier passez par la coursive, le blé est arrivé. Les orifices sont empoisonnés, à croupetons maraudons la raison. Fini, nous n'irons plus au bois couper le genévrier. Les pignons de paille s'envoleront passé le temps des éraflures sous le vent de planèze. Déposez le linge dans la panière d'osier. Un bouquet de marguerites, de bleuets et de coquelicots sur la margelle, le temps est à l'orage. 380








