
菜单爆音 说我们还活着 他自己的生命有什么意义 如果 entrechat 存在 在水仙床上跳舞 在春天与美丽的小吃 心灵的分离 与会议渗透 有什么 自我提升. 为了真实 不用担心展示它 平缓上升 这种好奇的生活 无头 如果没有反映的义务 缺乏与追求 没有出现 对岸 在无悔的沉默中. 660
菜单爆音 说我们还活着 他自己的生命有什么意义 如果 entrechat 存在 在水仙床上跳舞 在春天与美丽的小吃 心灵的分离 与会议渗透 有什么 自我提升. 为了真实 不用担心展示它 平缓上升 这种好奇的生活 无头 如果没有反映的义务 缺乏与追求 没有出现 对岸 在无悔的沉默中. 660
Je n'étais pas disposé à laisser ces traces dans le sable les aiguilles de genévrier piquaient la paume l'enfance dardait ses yeux vers le Plomb du Cantal tant que la main tendre se posait sur son épaule. On avait arraché la tête des chardons le petit berger courait derrière le troupeau qui avait pris la mouche les gerbes portaient lourdes sur le grand pailler l'arc - 在 - ciel levait un sourire discret derrière le talus. Je tenais le bâton fermement pour remonter les vaches de l'abreuvoir écrire des signes sur la terre nue et le faire siffler dans l'air. Grand'mère fuyait son cancer en sortant dans la froidure gourmander son homme de faire trop travailler le petit. Le coq avant d'être saigné comme il fallait avait battu des ailes avec vigueur et quelques gouttes de sang hors le bol embrasaient les galets de l'écurie. Crier n'était pas mon for les gamineries n'avaient pas lieu d'être fouetté par la consigne était mon dû au gré de l'averse froide de cette fin d'été. Les petits bateaux d'écorce de pin voguaient sur la flaque d'eau de la route le vent tapait les volets contre la pierre noire il y avait foule d'esprits en ce lieu. Le plat de lentilles se déchargeait de ses cailloux auprès du feu de cheminée où séchaient les linges de cuisine. Mettre ses sabots et quatre à quatre monter l'escalier sonore vers la chambre aux rats pleine de l'odeur du porc salé. Le vent agonisait 在 s'engouffrant par les trapilloux du grenier Pierrot allait partir pour l'Indochine vers cette jungle mille fois évoquée sur le lino de notre chambre parisienne ma sœur et moi. 659
Clepsydre à l'harmonica au condominium des actions de demain passation de pouvoir en sous-main il n'est de tentation d'esprit que la prise de risque du sens à venir. Sur la terrasse au vent qui va aux pensées qui réverbèrent dansent les lucioles passantes sans reflet. Sur le devant cadenassé de lumière sur le derrière effrayé par la messe champêtre il n'est de douce trêve tournant les pages d'un livre d'images que la moquerie des mots qui rient. Saoulé de remontrances à la merci de ce qu'on dit plume d'aigle planté en pleine face la rougeur carnassière de nos joues d'albâtre se joue du conglomérat des traces de vie. Entrer au grand saloir des choses que l'on garde prendre soin du son de l'écho voler au chevet des bricoles d'espérance tout est benoîtement soi. Le gémissant appel des chorégies l'agonisant essor des requiems la frappe scandée du clocher de notre enfance au déversoir nénuphar d'un silence la muse est là sifflotant sa limonade. Passeront les étourneaux par troupes effarouchées monteront aux pinacles la proie et l'ombre des yeux mystérieux de la sphinge éternelle dardant à compte d'auteur les menus débris de nos sollicitudes. Ne nous marions pas soyons le senestre et le dextre de l'épée de louanges for des impasses et des colifichets soyons l'enchantement simple. 658
岩石农舍的 Téké sur la garrigue sèche la caresse oscillante des lavandes accompagne le jour qui tombe. Sur les genoux de la patronne le chien Obiwane se la fait belle gueule ouverte et langue pendante. En passant par là les cheveux rebelles et l'œil farouche augurent d'un bel automne. Chute des marrons 在玄武岩板上 bogues éclatées et poussière levée les enfants s'encanaillent. Au creux du canapé sourd aux cris outragés tu compulses et accrédites la complicité d'échanges francs. L'accordéon gouailleur soulève la joie et la romance près du tam-tam de l'entrée que garde Joé. Et l'acier au plat du pied la sciure ronge les poches de sueur craquelée chapeau ferré à large bord. De nos mains mouchoir agité de par le monde accueillir le soleil couchant. Il n'est d'argent que le menton de mère grand de poussière d'or étoilée parsème sur la murette. Croquez la saucisse dans sa moutarde brune papotez en cadence chemise ouverte et chique au coin des lèvres. Permets lui de revenir sois le fanal des travaux et des jours sur le front du bonheur à l'heure dites. Balance balance la chaise des quatre saisons sur la terrasse de bois peint au son des pics épeiches. Riez messeigneurs de la plaine du crépu de leurs rires s'exhale l'odeur des noix pilées sur un air de bastringue. Téké se plaît à la bricole vraie en cette lumineuse aventure aux rhizomes des choses simples. 657
整个脸 和雪蚤 在修道院遇见 它在地球上 当绝对单子 时光倒流. 在午夜的兴奋中 发生了切换 深深的伤口 在这些年的时间线上 在哪里安装小麦袋 践踏者刮破破旧的木板. 不要笑 这个可怜的木偶师 拉动记忆的线 人际关系的天空下 她的歌是蜂蜜 在春天的吕贝隆下. 这样的童谣 折断他的四肢 打开橡树之路 通过思想和sainfoin 朝着芬芳的干草 脆叶. 656
Ce m'échappe et me fuit cette ombre dernière effondrement des preuves à tout sujet choisi. Il me sied d'être las au couchant de l'esprit aux criques sifflantes d'un vieil océan. Et je n'ai rien rien que le pleur de ma mie sous la tonnelle pour respirer la nuit. Fusion du temps aux arbres courbés ceints de brumes au creux des vagues grises. Aimer d'un suçon éternel la mèche de vie que chantent les cigales d'une stridence inouïe. S'il me faut retenir ne serait-ce que linceul 在寺庙门口 emmène-moi Seigneur. Vide de sourires aux vents offert le silence de l'allée des hêtres reflète le poème dernier. De par l'infini d'un ciel de traîne devenir la fuite vernaculaire filant à perdre haleine sur le dévers des métaphores. Des voix dans le lointain en cette tourmente où meurt le cheval efflanqué revenant de mission. Retour sans louange à la Source première sonnent les cloches galoches à la main. Retournement des officiants vers leurs caches mystérieuses en la montagne aqueuse des souvenirs céans. 655
Père et mère de concert marchaient en abondance de mémoires quand surpris en leurs ébats de tendresse épelée ils m'enjoignirent de relever le gant auprès des amis de la Rencontre. Retenez cet élan soyez la mèche sans barguigner pour plus de gratitude encore en cette vie mineure des carreaux de vichy se découpant au ciseau de l'œuvre contenue. Qu'un frisson libre époumone ce travail sur soi que l'ancienne forme accompagne au soir d'été la retenue à la source sujette de notre contrat d'amour. N'émargez pas au contentieux des choses vaines soyez le solidaire des vies majeures apte à enjamber la faille de l'évolution apte à densifier le règne du beau au sémaphore des sagesses principielles. 655
L'hirondelle s'est posée et le fil a déroulé sa munificence au fond des chablis. L'hirondelle elle-même ronde et belle toutes ailes déployées a franchi la limite. L'hirondelle s'est blottie sous l'auvent havresac posé là tempête aboutie. Vivement encline à scintiller l'hirondelle s'est permis le vol asymptomatique au passage de l'Unique. Épuisant sa ration de viande épaisse le dogue s'est tourné vers l'incendie du temps et de l'esprit contigus. Sous la sécheresse du propos nous aurions dû corréler le message de l'hirondelle qui signe son vol d'outrances verbales avec le haut cèdre célébrissime interprétant avec désinvolture le cri de la marmotte sur un air de valse musette. 654
Vie filasse
des moments accoquinés
au temps qui passe.
Carder la laine
recentre en la fibre
l'eau et la lumière.
Fluescence des souvenirs
au gré des algues mouvantes
parvient le souffle froissé de la plage.
Pelage gras
des poneys de la mer
leurs sabots cliquettent.
Se répandent
les serpentifères coulures
d'arborescents grimoires.
Au tissage tout recommence
les fils se chevauchent
le point de croix clignote.
Dégager la plante
de sa gangue terreuse
exalte l'offrande à la vie.
D'entre les dendrites
le fonds de l'univers se creuse
vers de troublants trous noirs.
Auprès du pommier
les abeilles bousillent
le tendre amour des choses simples.
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Main dans la main sous le visage du jour qui point les petits riens le sourire parapluie de la joie. Paraphrase des mots de mise en scène enceinte de pierres sèches à demeure collerettes de saxifrages et chants du printemps. Cueillir le romarin pour tes genoux de reine à rire sans détours bonde ouverte sous le déversoir de nos amours. Issue de pleine lune l'agitation dans la prairie laissa place au frisson prurit des sensations. Focus immédiat au carré d'as du triage la défausse fût grave quand le petit s'en mêla. Main dans la main sans se dire à demain nous partîmes à mi-pente chacun de son côté. Finissons-en de ce cadavre chimérique sanglons le cheval du néant pour de plus amples emplettes à quémander sur le chemin du silence. Puisons l'eau de la combe à déraison sous le cresson Mam' le disait déjà qu'il fera beau demain. 652