Cedhak bayangan saka perkara pisanan goleki jaket sing bakal nglindhungi kita saka gandum, nerusake dalan sing ora ana alangan kranjang anyaman buruh.
Wit-witan sedulurku, dadi angin tujuan rahasia ing immobility saka kejut, dadi mbukak.
Ojo nyerah, siji langkah aside lan iku bakal pungkasan.
Basa sing jujur lan meneng, angkat manah kita marang misbyah pasrawungan, penerimaan karya kita, persetujuan karo nyawa donya.
Gosok watu marang watu liyane tanpa kasusahan tetep kita adoh, kita, ora digandhengake karo comfort, kita, ing papan, sekilas, reed ngayun, liwat periskop katresnan kita.
Iki idu kanggo goyangake geranium bisa nggawa liyane kanggo dereliction. ngliwati gunung nyabrang lembah purr saka mesin pembakaran njebul irung lan mati. Kanthi nyengkuyung jiwa samodra ahead saka tumindak Pemikiran sistematis tiba lali lan kesalahane. liwat semedi kanthi nyusul mbukak lambene swinging antarane misteri lan ngarsane.
Teka cara sing dipilih srengenge ing acme persetujuan jero iki karo donya franchise immemorial kita.
sumber etika, winih emas, aksara abjad dening perakitan mbentuk tembung lan ukara. Piksel saka roh, misteri otak, sesanti dadi kasunyatan fleur, lintang, papillon, tanpa gambar katon ing layar.
Au creux de l'âme dans l'ombre du vertige se glisse le paradoxe, oiseau cambré devant l'appel. Franchir nos limites, rassembler les bleds, graines en instance d'émergence, offrandes d'Apollon. D'un côté l'autre de l'espace les étoiles se rassemblent et s'opposent si vivement que les pensées prolongent nos rêves. De gré à gré au firmament passent les nuages, alternance syncopée en fond d'univers, effraction dans la teneur du chant. Sur l'acrotère du temple les anges acrobates orientent leur miroir vers la Source originelle. Ensemble, geignent les monstres de nos entrailles écornant les ficelles sociétales de l'entendement. Marche lente, au fronton de nos approches demeure la mandorle invariante éloignant l'air vicié des attachements. Se lovent au sérail de notre imaginaire les ordres de la commanderie, effort consenti à défaire les liens de la discorde. Lumière infrangible de février, la besace pleine de renoncules déverse ses mémoires d'au-delà sans explication ressentie.
Un œil derrière l'arbre à crocs et museau frémissants, le loup s'épanouit en rase campagne. Évaluant l'espace il fend la prairie vers le replat d'avant talus, le pourvoyeur des songes. A mi-carême repu il dort, fricassée de poissons en mémoire des jours passés. Bas sur l'horizon fenêtres ouvertes le soleil flamboie, traces des gens de bien. La ruine attenante en son écrin de framboisiers tresse l'aventure adresse des petites mains volantes. Filage du temps en remontant le cercle des saisons les pleurs se font rares quand vient l'absence. Tout lui ressemble dans cette grande chambre qu'honore l'armoire grinçante aux vieilles fripes odorantes. Passe et nous reviens au village des sabots ferrés place de l'église la tourte de pain brûlante. Voyageur en chemin été venu croque les baies arbustives en souvenir de cette vie.
La myriade de moucherons s'est disperséeles fleurs gouttent la dernière roséetout est silence. Au filtre matutinalles pensées de rêvefloconnent leurs houppes fraîches. Secrètes et persistanteselles lapent et perlaborentles gourmandises de la nuit. Façonnées dans la traditionelles déversent sans pudeurle grain et la balle. Marché conclunous irons boire un jusau tourniquet des tartines. Filant grand trainles plus aptes à la raisonseront éloignées du couvert. Les petites touches d'aquarellerecevront grande attentionau lever du soleil. Le tout venantbrisant la glace des convenancespermettra l'information impermanente. Possédées de mystèresglissando des neiges éternelleselles seront rangées sur l'étagère. Pelletées à la porte de la gargotela risée de la fouleles refoulera en cuisine. Monteront alors à fleur de selles rondes de l'enfancele sourire de l'innocence. 407
Fille de l'esprit par dessus les églantiers la vallée s'éveille du monastère s'élève la grâce. Passant par là j'ai franchi le pont de planches aux touffes de cresson entretenues les âmes murmurent. A quelques coudées du lieu sous le peuplier frissonnant le babil des oiseaux remontait le temps. Les feuilles agitées au soleil fricassant s'élevait de gente manière au cristal de l'aube. Bruissant d'abeilles le talus de derrière la maison faisait rempart sans que le soir ne tombe. Finement ciselé dans l'ombre d'un fourré posé sur la mousse l'offre d'or et de pierreries parée. De ses yeux baissés vers le silence du vrai la douce vierge aux fines mains tenait salon des jours heureux. Nez droit bouche fine en son foulard de lin blanc elle était de toute éternité. Ombre ondoyante des grands arbres le long du ruisseau douces herbes se penchèrent sous le chant d'Icelle.
Ing balatum ing sendi sobek, tutuk kanthi lambe tanpa getih, pos galena scrapes sawetara hisses. Hutan pipis ing esuke abu-abu, trek rutted saka Savannakhet kanggo Saigon nyebarake konvoi hiccups lace kuwi. Pikiran abot dibayangke nggawe memedi cemlorot ing galoshes wesi ngumpul ing ngarep candhi karo macan belching. Kapal sing rata ing fumaroles kali mbentuk sfumato konco lanterns alon-alon ngayun ing sangisore klambi lemut. Karo nangis setengah mati awakening iku langsung ing ngisor godhong-godhongan urip dumadakan nalika panah kedher tekan tombol emas.
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On allait en Auvergnecueillir les bleuets. On allait en Auvergneaider les grands parents à la ferme.
On allait en Auvergne
retrouver les cousins. On allait en Auvergne
faire du vélo.Notre victoirele train passé Neussarguesarrivait en planèzeau vent d'ouest exposé. Nous dansionsau sortir des nuits bruissantes de bouleauxà la table frissonnionsde fraîcheur les yeux mi-clos. Passe la voix venteuse du grenierpar le fenestron de grossière toile colmatéfranchir les ansdans les yeux de Riquette. De mauvais coupsnous furent portésorganistes de l'ombremaugréant de tant de pluie contre la vitre. D'or en épisde coquelicots en margueritescourse entre les présvers la grand'route de La Roussière. Se relever de la chuteun sourire sur les lèvresfrappe frappeà la porte au barou. Lourdes larmesles poules caquettentdevant le siège de pierrela clide est bien fermée. Rangeons les cartons de Cocosoyons droit au bord du rêvenous du frêne et du tilleul frèresles amants de l'oubli. 404
Une solution à la vie le picota du pic épeiche alors tu verras cette attention livrée au frais matin. A l'aune des autres s'origine mon âme effluve des brumes au creux du vallon. S'éloigne l'échéance des mortelles errances au sein des plis s'enfle la rumeur. S'illustre sous la pluie les graminées forestières chansons de crêpe en sourdine des mots de braise. S'afflige d'une auréole les plaies pansées que le vent embrase sous les murailles de l'esprit. Soulevant de ses bras les entrailles terrestres elle hochait du chef le frisé des chevelures. A l'évidence des couleurs entrait rassuré le beau de la poésie entre midi et quatorze heures. Passe la gamme notes posées douces sur la parure du sol dur. Fil à fil ing saint chrême sur les lèvres s'avance en solidarité la fleur de l'humanité.