Ce m'échappe et me fuitcette ombre dernièreeffondrement des preuvesà tout sujet choisi. Il me sied d'être lasau couchant de l'espritaux criques sifflantesd'un vieil océan. Et je n'ai rienrien que le pleur de ma mieआर्बर अन्तर्गत pour respirer la nuit. Fusion du tempsaux arbres courbésceints de brumesau creux des vagues grises. Aimer d'un suçon éternella mèche de vieque chantent les cigalesd'une stridence inouïe. S'il me faut retenirne serait-ce que linceulमन्दिरको ढोकामा emmène-moi Seigneur. Vide de souriresaux vents offertle silence de l'allée des hêtresreflète le poème dernier. De par l'infini d'un ciel de traînedevenir la fuite vernaculairefilant à perdre haleinesur le dévers des métaphores. Des voix dans le lointainen cette tourmenteoù meurt le cheval efflanquérevenant de mission. Retour sans louangeà la Source premièresonnent les clochesgaloches à la main. Retournement des officiantsvers leurs caches mystérieusesen la montagne aqueusedes souvenirs céans. 655