Causerie du bord de mer que le ciel altère par ses humeurs changeantes nez contre nez entreprendre d'agir d'aider la vie sans envahir l'autre utilisant le sable du clepsydre sans nier les épreuves pas à pas entre personnes consentantes sans fadeur ni rajout au gré du zéphyr .
Une fois, une seule fois en fin d'errance absolue vasque des illusions consenties où l'intime devient élégant je rêvais en remisant mon regard à la pointe d'un parasol pour plonger dans le gouffre impensé de la quête solitaire .
Pris de nausées je fus mis en présence de ce qui était Là et sans me réjouir je convoquais le réel dans les échardes de bois arrachées aux marées . J'avouais mon inquiétude d'avoir glisser la poésie entre langage et plénitude .
J'offrais ma blessure au sel de la mémoire sans vêture de sens imprégné par la violence et la cruauté de notre temps.
Fin de l'épisode, je déposais les armes les serviettes essuyèrent les lèvres grasses j'admirais les vierges romanes rompis le discours et proposais le vertige des écarts où tendre la pensée .