Бути, perdusDans la frilosité des avancées technologiquesCoups de gueule contre le mur des incompréhensionsSe lient et se délientLes bonnes raisonsAu sens giratoire d'un consumérisme béat. Frappant d'un zeste du sabotLe condominium des afflictionsL'homme de bureEn ses vérités surannéesDevient Don QuichotteDerrière le miroir des lamentations. Monte des fosses d'orchestreL'appel des repris de justice, Vêtus d'hardes spectrales, Corps éventrées, Rigueur ajoutée, Harnachés d'obsolescence programmée. Cellulose dégoupilléeEn effraction d'un ordre disperséLe temps appelle le tempsAu creux d'un nid de coucouLa vase refluanteColmatant les brèches de l'oubliS'enquière d'une halte secourable. Proviennent d'on ne sait oùDans un faisceau de lumièreLes mains ouvragèresAux doigts grêlés de piqûresRonde enivranteLe regard baisséRassemblant les myriades d'âmes errantesAutour d'un chant psalmodiéQue le tissage expose. 385
dans la frilosité des avancéestechnologiques coups de gueule contre le murdes incompréhensions
se lient et se délient les bonnes raisons au sens giratoire d’un consumérisme béat
frappant d’un zeste dusabot
le condominium desafflictions l’homme de bureen ses vérités surannées
devient Don Quichotte derrière le miroir deslamentations.
Monte des fossesd’orchestre l’appel des repris deсправедливість, vêtus d’hardesspectrales, corps éventrées,
rigueur ajoutée,
harnachés d’obsolescenceprogrammée.
Cellulose dégoupillée en effraction d’un ordredispersé le temps appelle letemps au creux d’un nid decoucou la vase refluantecolmatant les brèches del’oubli s’enquière d’une haltesecourable.
Proviennent d’on ne saitd’où dans un faisceau deсвітло les mains ouvragères aux doigts grêlés depiqûres ronde enivranteleregard baissé
Tout si sensiblela feuille d'érable de l'automnerouge d'un premier regardchue sur le solfleurant bon la cigognequ'un air de fête accompagnâten son envol. Une âme paraîtdans un bouquet d'efforts soyeuxau soleil naissant de tendres accolades.
Haut les cœursen caresse d'êtreponctué d'une pluie d'étoilesfût roulée le long de la pentela roue de la viejusqu'au ruisseaudes souvenances éparseslèvres levées rosesvers la nef de nos yeuxde tant d'étoiles éclose.383
Naviguer en eaux vivespulvériser de raisonles terres en déshérence. камінь на камінь monter les mursde la maison. Suivre la rase irriguantecontre le jardin des culturescet havre paginé. Creuser le bas du champet remonter la terrepour davantage d'humus. Dénerver les sentes sauvagespour passage libérése mouvoir entre taillis et buissons. Recourir au babil des enfantsrevenir en arrièreau pays des merveilles. S'asseoir au plus près du solgonfler ses poumons de bonne odeuret lever les yeux vers un ciel de traîne. Là-bas sur le cheminle grand'père revient de promenademains croisées dans le dos. L'alouette lulufixera un matin de fêteles lampées de brume. Se retourne en passantбіла форма d'un proche ami de connivence. Se comptent sur les doigtsles jours d'après la peinede salissures énuméres. Ensemencé de rêvesl'homme de poésiesigne sa présence d'un silence. Effleurer la joue d'un bébé luneau repos yeux grands ouvertslèvres suçotantes. Branche d'hiverpar ses bourgeons lustrésprovoque le printemps. Et si paresse obligela rosée billeveséereflète celui qui la regarde. Venezle grand-frère est arrivéoù déposer sa tête. 382
Я тіньовий воїн і гірка хвиля не змусить мене зламати присягу. Кількість " Іл " підійшов і вдарив мене ззаду la voie lactée s'enroula d'une écharpe dernière.
Я збуджу повторні травми горла дзвінок над навісом на вітрі дощових ночей присідання проти головного дерева. Ношу в роті води свіжої кори напружене вухо земля мертвого листя шелестять збляклі спогади. Вдихніть запахи болота червоний місяць грає de ses pupilles aiguiséesтанець ясного неба розрив entre les draperies de la ramureі чадні хмари. Я ношу знак влади на щиті зобов'язаних губитися в розщеплюваних словах на замороженій кулі des songes rouges sangs. 381
Elle s'est enfuie du nidl'aurore des éveils, la lune en ses émois. Calque étoilésur le bois de l'estradeil montrait le chemin. Ne pleurez pasne partez pasun regard suffit. Le jour se lèveet ses lèvresincendient le ciel. Les mains se tendentle harnais blesse le dosles pieds s'enfoncent dans la glaise. Par la porte étroiteaccédez aux blessurespuis remontez la pente. Au sortirplus de bruitrien que la caresse de l'herbe.Pointe une flammeentre les copeauxdu feu de Dieu. S'échappentde la caverneparoles et romances. Se penchenten bord de falaiseles êtres du couchant. Une à uneincisez la plancheau passage des sacs. Ne montez plus au grenierpassez par la coursive, le blé est arrivé. Les orifices sont empoisonnés, à croupetonsmaraudons la raison. Fini, nous n'irons plus au boiscouper le genévrier. Les pignons de paille s'envolerontpassé le temps des érafluressous le vent de planèze. Déposezle lingedans la panière d'osier. Un bouquet de marguerites, de bleuets et de coquelicotssur la margelle, le temps est à l'orage. 380
Клей ніс об скло перекидаючись з однієї ноги на іншу дитина спостерігає за туманом dont les fines gouttelettes captent la lumière живі повітряні кулі devenant coulures vibrantes для прискореного кидати. зима плаче dehors un froid sec saisissant les jambes незважаючи на вовняні шкарпетки і вельветові трусики. Пройде останній кінь на безлюдній вулиці ahanant димчасті ніздрі грюкаючи вологим тротуаром його підкованих копит. У повітрі витає сміливість вершина будівель пестить туман d'au dessus la rue principale où ronfle quelques moteurs toussoteux. Виникнення спогадів вписані під шкіру дитина-семафор побачити вогні крізь пухирі моря. є пісок в суглобах du passage à niveau obligeant au ralentissement la bête humaine au loin lâchant ses panaches de fumée.
Я почую важкий конвой темп на коротких рейках un rythme glacé grimant le tireté des nuages à la queue leu-leu parsemée des souriantes branches de lilas. Маман, йде дощ сніг падає це град. Що ми дуже близько до печі. Миші гризуть підлогу sous la plaque de tôle de la Shell краплі води кульку на стелі на трубі це конденсат Мама передасть рушник прибитий до мітли.
Христос дізнається la couronne d'épines et le vinaigre de ses yeux d'Aubrac à faire tourner la bille bruyante в перевернутій залізній кришці.