Les ombres c'est nous les parents aux extrêmes les enfants au milieu.
Et puis des taupinières un ciel bleu blanc une main tendue l'index vif c'est par là qu'on va sans l'ombre d'un doute si ce n'est nous les faiseurs d'images aux marges d'un je ne sais quoi. Des lignes sages des couleurs atténuées une vigueur de gauche à droite un alléluia aux branches dénudées d'une tendre journée .
Par gradations mesurées se joignent la beauté et le zèle de ce qui croît en lisière de vérité de ce qui est là en l'instant méridien.
Écarter les fûts de la forêt dégager l'espace de lumière pour limite franchie laisser l'arbre effacer nos mémoires. Avancer à la tombée du jour proche d'une nuit d'audace en accoutumance trouver à tâtons la nef des oraisons s'élever en perfection. Chargé de souvenirs sur le rai de soleil par un matin vibrant compter les grains de poussière virevoltant dans l'entre-ouvert des persiennes.
Gambade piano didgeridoo mélodie miel rencontre sorcière danse du temps révolu farfadets et trolls se mêlant aux senteurs océanes file le vent par dessus l'horizon la pluie cloquette animal escarboucle baratte la nuit d'ordres en déroute souvent la rébellion des choses si longtemps contenues avance rampante entre ajoncs et genêts стіни відкриваються file le vent évidant l'espace file le vent poursuivant les bulles ensemencées file le vent en son élan royal file le vent bruissement terminal file le vent d'avant le grand silence.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Depuis, silence, commémoration en temps de crise petite ébréchure sur la tasse l'ampoule électrique clignote nous sommes en fin de ligne j'ai ouvert le tiroir à pain me suis coupé tranche de pain beurre et fromage façon de faire passer la pilule.
L'horloge sonne les cinq heures le jour ne paraîtra que dans trois heures prendre un livre jusqu'à ce que fatigue vienne.
La cuisinière encore chaude dans l'ombre sur laquelle mijote un reste de soupe un papillon de nuit se réveille pour se cogner à l'ampoule.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Sur la grande table ses collages sa vie de trentenaire ses souffrances amoncelées un regard de biche perdue un paysage en trompe l’œil je froisse le tout ça réveille le chat se dandinant vers ses croquettes.
Souvent paraît que l'aventure passe par la rupture que l'on franchit sans se retourner offert à la nuit frissonnante du frêne animé par un souffle.
Vite, refermer la porte la pièce se rafraîchit enfourner une bûche dans le foyer.
Elle avait mis sa capeline sèchement et pris la porte.
Seul au pas de porte se trouver entre vivants et morts à la proue du navire couvrant un avenir incertain sous les patères du vestibule vêtements dépareillés par l'errance obligée .
Claque l'oriflamme le temps qui cogne offre ses parenthèses au crépon de nos plaies sans qu'apparaissent les coquelicots de l'enfance mariage éternel d'avant le grand chambardement .
Dans l'auguste fissure en attente du jour d'une marche lourde s'en va le vieil homme sur le chemin poussiéreux des souvenirs à venir accueil radieux se détachant du trop connu . Alors offerte cet embrasement des couleurs à pleines brassées aspiration enchantée de nos pas comptés sur le gravier crissant de la douce venue de ton sourire .
Червоний бруд під снігом для чорної нескінченності vers le blanc des évènements. Сліди летких речовин під кристалом руху мороз тріскається. Великий шифр rencontrée parfoisвсередині гір. Загублений на краю дитина проти його серця стиснути віатикум прекрасних думок. Споживати, не споживаючи висота була б вірити і зробити це добре. У темряві чорнила є порожнеча простору cette page de silence pure. Для молі точка перешкоди просто активна застібка Revolt. Звучить бруківка забуття трот-меню генія проходження sur le lin blanc du poème. Ça crisse sous les pasвени ілюзії зменшуються при стрибку повітряної порожнечі. перемішайте карти faire un grand feuлюбов - це чечетка. ( Photo de Caroline Nivelon )321
Au caravansérail de nos amoursonde tournoyante en carême d'êtreà cruà flancau ricochetfleure bonl'épice secrètedes lèvres offertesau vent premierd'un camaïeu lointainsemence élaboréeau genévrier de nos doigts jointsqu'une danse à mille fleursengage en sous-boissur les pas des âmes égarées. 318
" Sandales de vent " qu'on l'appelait cet être d'ombres habité ce cri hors des rencontres accoutumées cette solitude à la trace écornée origine des passions courbée sur le pavement des circonstances cette frilosité d'avoir à faire cette fuite ensemencée de poussières d'or ces soleils des jours recueillis dans une coquille d’œuf la déliaison des accords majeurs la musique souterraine крилатий вітер після безперервного лиття моя душа моя здатність обіймати проміжний від видимого до невидимого Нічого з нашої взаємної угоди .
Пекучий вітер дме вітер вітер, що сміється вітер, що сіє стрімкий вітер перевернутий і рити річку тіньового вихору моя душа - камінь, що котився під леміш плуга обернений каменем розкриваючи мед землі натирання каменю до якого треться шкіра голодний живіт майбутньої дитини під крик доставлений в кінці циклу нарешті троянди покусав мороз з пігментними прикрасами ряди вакханок на злітній дошці мого лігва мого між нами відкриті двері що одним пальцем широко відкриваю до вітру, що надходить до вітру, що дме .
ти пам'ятаєш платани вздовж каналу ворони в сутінках з фестонами світла читається звуком води приклеєні до крон дерев величні розгорнулися хмари розкриті губи замах руками до колон храму метрономна аускультація діри, які заливають світло закінчення літньої ночі спітнілим бунтарям що вітер обіймає frisson палкий проста відповідь що сліди звиваються під приємною росою рум’яні щоки показують свічки у вражаючій тіні легка тканина на плечі брижі у вашому голосі відступ пам'яті пройти стіну швидкоплинного часу .