Éclats de lumière glissade de janvier que griffent les branches de l'étrange équipage la rousse lune fige œillade embrasée l’arrivée de nos rêves.
Double hérésie de la contemplation bras levés en limite du déclin s'effacent les marbrures du matin le malin aux sourcils enrhumés d'étoupe. Fors l'espoir les brasiers se repaissent des coulures de l'esprit aux rives surpeuplées. A grand train les cris montent des ravines sous la voûte piétinée aux semelles d'argent des journaliers d’antan. D'étranges fenêtres aux vitres éclatées élargissent le sourire de l'Ange mon frère. Couchés sous le dais en retrouvange nouvelle les hommes aux semblables étoiles rassemblent les nuages épanchant leurs liqueurs comme on panse de laine et d'aiguilles dents serrées les vagues dentelles des mers éternelles.
Sólin fínt faldað til sameinaðra fjalla bjóða upp á þennan fallega fugl að vörum elskhugans. Dropar settir á glerið þokur vatnsins hækka daginn trúboðselskhugi fyrir litaníu ánægjunnar. Vertu með og sá með öllum vindi þyrlur ljóss spor sannleikans í átt að sópranupphlaupinu. af rödd þinni faldur með skýrum snjó cairns square í skógarjaðrinum við skulum fara hönd í hönd.