Asides

si në lajme

   Është bota në teprimet e saj   
dhe më pas çafkën e bardhë
në qetësinë e saj.

Ne perendim
aty është njeriu i ndjeshëm
ngatërrestari i kënetave të kripura
buzë e shkumëzuar.

Në baticë të ulët
gjurmë në rërë
e mjellmës në fluturim
një emocion për t'u mbajtur mend.

Nata organizon ëndrrat
plesht i pikave të shiut
për një valle të shenjtë
shenjë e bredhjes sonë.

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Sylvain Gérard. puna 1 – arratisja

 Cette remontée du centre de la terre
 A belle allure vers le commencement 
du monde
 Cette perspective où s'essouffle 
le père invectivé 
 La brûlure des anciennes alliances 
que l'on découvre à demi-mortes le matin
 La plainte des animaux égarés en 
d'étranges contrées enfin créées
 Cette fuite vers des aubes promises
 Cet élan brisé contre la vitre des immobilités
 Cet éclair rouge sang du couteau 
contre le ventre
 Ce suçon de paix donné à la va-vite 
le temps de l'éructation
 Ce court-circuit des émotions vraies 
që një buzëqeshje mbyllet mes katër dërrasave.
 Ils sont partis
 Ils ont fuit
 Le courage à deux mains repliées sous 
la chape des convenances
 Ne les arrêtent que la fatigue et 
le soir qui tombe
 Errant de ruine en ruine
 Dans un chariot de bric et 
de broc assumé
 Le rétameur s'est éloigné dans 
un nuage de poussière
 Et la route fût longue et par trop inhospitalière
 Père et mère confondus à la craie 
graphés sur la carriole
 Leurs noms écorchés à demi effacés
 En vaines contorsions l'outil de 
braise fume en se mêlant à l'eau
 Je bave et m'extrais hors de cette 
chape carencée
 Pour la parole habile
Ngrihuni në udhëkryqin e salvos
 të të kuptuarit dhe vertigos.

 Vapa e një dëshire të tensionuar 
sous la toile
 Éclair blanc au zénith
 La coquille éclate
 Le jaune se fait soleil rayonnant
 De cet éclat consacré au profond 
des origines
 De cet imbroglio d'os et 
d'organes disjoints
 Je pus grandir entre fiente et 
humidité
 Poussé sur le devant de la scène
 A noyer par l'alcool
 Ces myriades d'étoiles alors 
entrevues
 Si puissantes si fascinantes 
si monstrueuses
 Dialoguant avec ce corps douloureux
 shpirti im zoti im .
 Unë e drejtova autostopin 
jusqu'à son terme
 Vers les plaines légères de pluie 
fine de vent soyeux de douce lumière 
 Ce ne furent que grâce et beauté
 Entre les barreaux de ma cellule 
à ciel ouvert
 Entre les rayons de mes roues 
ces interstices à mon déplacement si particulier
 Mon chapeau de lutin vissé sur la tête
 A dire et à redire des "Unë të dua"
 Këmbë të buta vëllezërit e mi dhe 
sœurs en création 
 Mon unique raison
 Ma déraison ultime.

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