Le Solitaire

Petits points blancs
Elle attend
Rue du Chemin Vert
Dans la Ford Vedette
La voiture du père.

Trainant sa tranche de vie
Cette voix de bois noué
Fait poussière sèche
Au sens commun
D’un murmure de misère.

La pourpre humide de l’alexandrin
À la fin du marché plie un dernier tréteau
Aux images fusant inexorablement
Des phrases courtes comme jolies fraises des bois.

Ombre et lumière
Cherchent la petite heure
Où manuscrit bouclé
Jeter la vie brève et folle
Par-dessus la rigole.

Un sanglier se déploie
Sanglé d’hier et d’aujourd’hui
Fourchette restée suspendue
Au dessus de l’abîme
Sur son péristyle le Solitaire.


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