Elle s'est enfuie du nidl'aurore des éveils, la lune en ses émois. Calque étoilésur le bois de l'estradeil montrait le chemin. Ne pleurez pasne partez pasun regard suffit. Le jour se lèveet ses lèvresincendient le ciel. Les mains se tendentle harnais blesse le dosles pieds s'enfoncent dans la glaise. Par la porte étroiteaccédez aux blessurespuis remontez la pente. Au sortirplus de bruitrien que la caresse de l'herbe.Pointe une flammeentre les copeauxdu feu de Dieu. S'échappentde la caverneparoles et romances. Se penchenten bord de falaiseles êtres du couchant. Une à uneincisez la plancheau passage des sacs. Ne montez plus au grenierpassez par la coursive, le blé est arrivé. Les orifices sont empoisonnés, à croupetonsmaraudons la raison. Fini, nous n'irons plus au boiscouper le genévrier. Les pignons de paille s'envolerontpassé le temps des érafluressous le vent de planèze. Déposezle lingedans la panière d'osier. Un bouquet de marguerites, de bleuets et de coquelicotssur la margelle, le temps est à l'orage. 380
Collé le nez contre la vitre se dandinant d'une jambe l'autre l'enfant observe la buée dont les fines gouttelettes captent la lumière ballonnets vivants devenant coulures vibrantes pour en accéléré se projeter vers le bas. L'hiver pleure dehors un froid sec saisissant les jambes malgré les chaussettes de laine et la culotte de velours côtelé. Un dernier cheval passera dans la rue déserte ahanant naseaux fumants faisant claquer le pavé humide de ses sabots ferrés. Il y a du courage dans l'air le haut des immeubles caresse la brume d'au dessus la rue principale où ronfle quelques moteurs toussoteux. Émergence des souvenirs inscrits dessous la peau l'enfant sémaphore voit passer les lumières au travers des boursouflures de la mer. Il y a du sable dans les jointures du passage à niveau obligeant au ralentissement la bête humaine au loin lâchant ses panaches de fumée.
J'entendrai le lourd convoi cadencer sur les courtes rails un rythme glacé grimant le tireté des nuages à la queue leu-leu parsemée des souriantes branches de lilas. Maman, il pleut la neige tombe il grêle. Qu'on est bien près de la cuisinière. Les souris grignotent le plancher sous la plaque de tôle de la Shell des gouttes d'eau perlent au plafond sur le tuyau c'est la condensation Maman passera l'éponge clouée sur le manche à balai.
Le Christ connaîtra la couronne d'épines et le vinaigre de ses yeux d'Aubrac à faire tourner la bille bruyante dans le couvercle de fer retourné.
Ďakujem Rene za to, že som mohol byť priateľmi s tebou veľký brat za to, že som mohol pochopiť toho druhého priateľ milenca. Podľa vášho hlasu Vzal som za svoje slovo teraz donekonečna dych na básnikovom karafiáte hovor tak blízko citlivé výmeny minulosť a budúcnosť. 375
Som po tvojom boku môj priateľ Rene v tomto návrate na zem opásaný plameňmi očisty. Choďte po svojej ceste nezdržuj čas byť jemný prach na priečelí domu. Cesta do prázdnoty Buďte splachovacími stopami tvoje slová, tvoje myšlienky, ton ohľadom s bičom večného furmana ste odoslaní a sú to tí, ktorí ťa nasledujú vers le Grand Œuvre à permettre. Štipka soli nič spoločnosť vekový bod len ruky sa hľadajú z očí do očí nech prší že predáva nech vyjde slnko Vstávam pred tebou malý rebrík dobra élevé dans la bibliothèquezdieľané slová. 376
Žltá zelená kríža medzi bukmi k pomalému odvíjaniu svetla na kmeňoch medzi zrúcaninami hradu jazdiť na voze mŕtvych . Hlasy staré lietadlo drnčí vrtuľami štekot psa ďaleko veľmi ďaleko. Stromové závoje sa odhaľujú neprestajne čierna muška na bielom papieri prsty pliesť písanie.