Miss Deux mailles approche Qu'imaginer est un soucis Pour loin de loin N'avoir rien à prouver Et progresser Pour que la bise soit familière La bise du soir La bise du matin Rose au lever du jour qui point À la merci d'un merci.
Qu'avancer c'est être Propre sur soi Dans l'ivresse de la présence Sans que cela soit terne Lunettes bien en place L'humanité sans trompette Où tout est permis Les papiers pliés en quatre Remémorant le Saint Esprit Pris au piège de la beauté Sur un banc de bois usé Comme Lahurlette Et sa miss Tigrise Sans se faire prier Plein de fleurs des champs dans la main À découvrir le visible Sur la pente ami-ami À faire des projets d'adulte Sur la tubulure de l'ouverture Mon sourire Mon vertébré amour À te parler vrai Tel franchouillard de rencontre À ouvrir l'horizon Une huître vous dis-je Au futur du mascaret Ce matin Où tout est solide mon petit Et ne puis rien te dire Au vert de gris de la balustrade Que le parti prit pour romance Au bric-à-brac de notre enfance Alors que nous partagions l'animal humain À coups de langue de bois Parmi les biches de bon aloi À vu Pétales tombées Sur la pierre des oublis À refermer le tabernacle Derniers regards troublés Sur la passerelle Épée à la pommelle dorée Saillant d'un vertige En souvenance De ce rouge-gorge Perché sur la plus haute branche Signifiant par cela La pertinence des choses partagées Ouvrant grand les bras Devant l'enfant lové en son ventre Le bel œuf Aux phrases courtes disposées.