De plumes vertueusesle colibri s'est épris. Les yeux se plissentdevant la solitude de l'enfance. Les poings se serrents'il n'y a rien à faire de mieux. À demeure l'au-delà se recueillequand le temps casse sa pipe. À genoux devant la fontainechaque araignée d'eau purifie. En rangée de perlesle sang de l'œil conte fleurette. Le souvenir toujours le souvenirà ne plus avoir de pleurs.Connaître le don des larmesmatrice des connaissances.Au gré des anspasse l'excès d'amour de soipasse la danse des sottisespasse l'histoire fondatricepassent les grandes doctrinespassent les blessurespasse la nostalgie de l'ailleurs.Au gré des portes qui se ferments'ouvre un mutisme tempétueuxs'ouvrent nos vies minusculess'ouvre la nuée des tendressess'ouvre la nécessité de prendre soins'ouvre la parfaite adhésion à ce qui ests'ouvre un sens à sa vie. À la cloche de l'étudej'ai mis mon tablier griset sa ceinture bien serréeavecau coula médaille miraculeuseet ces petits papiers secretsattachés aux bretellesde la culotte en velours côtelé. 443