Le vigilant

 Le chaperon rouge de l’auguste prairie a froissé ses couettes pour, corolles ouvertes aux caresses du vent, attendre patiemment, puis atteindre en la cible l’insoupçonné souffle de vie que les insectes pollinisateurs, par leur ivresse prophétique et poétique, offrent à la démesure d’une nature où l’émerveillement silencieux le dispute à l’exubérance de la joie .

028

Ostavite odgovor

Vaša email adresa neće biti objavljena. obavezna polja su označena *

Ova stranica koristi Akismet za smanjenje neželjene pošte. Saznajte kako se obrađuju podaci o vašim komentarima.