La gerbe des joncs

Parfum d’Ardèche
Empreintes du passé
Un festival de nouveautés
Nous attend
Au cœur de l’été.

Pavement exposé
Aux quatre coins de la maison
S’enflamment les pensées
En une danse sacrée
Autour du suc.

Paisible est l’élaboré
Comme un rêve
Aux rives invisibles
Cailloux roulés à vif
Sous le sans-forme d’un délire.

Goutte d’eau dans de l’eau
Par à-coups se rassemblent
Les pigments de l’éveil
En conséquence
À la gerbe des joncs.

Tape tape du pied
Le frère des Entommeures
À l’œuvre indéfectible
De cette vie minuscule
Au sol cendré.

Occasion manquée
De caresser la gouliche
Pardessus ajusté
Au sortir des redondances
Du chemin parcouru.


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