Kerge mõte Uskumata Et hääled on lahti ühendamata Peale lindude linnud.
Endale lubama Huumoriliini kinnitamiseks Kiviterrassil Välja arvatud kõnepruugi ulatus. Reageerimise punkt pakkuda Rõõm on paradoksaalne Lquand päikese käes See on päeva hea huumor.
Oodake, kuni see läbistab Riidepuud tõstetud palve Hinge luuletused Käsi reetis muret.
See vapustav lugu on ilus jalgade all Tavaline hääl Elu mõte Kuni muru lainetab.
Ei midagi kummalisemat Et Issanda laevahukk Sealhulgas lihtne žest Läheneda prahile, millele.
Kahe jaoks jagatakse absoluutset Igatahes me ei kasutanud seda Sellest elavast nurga all olevatest plaatidest Kus iga kooli väljapääsu ajal uuesti sündida.
Naeratus, et ennast kuulda Et homme on parem Et kogu delikatess on lõpmatuse võtmekivi Kui Hount purskkaev püsib.
Päevad loetakse Halastamatu areng BALAY KINDLAATI KINNITUS Palavikuga märja saabas.
Läbi akna naer Sekund, mis see kestab Kõigi ükskõiksuse osas Turu tagastamise kohta.
Pilgu ja kirjutamise mesalliance Kus isegi mõtlema on pühadus Varblaste jaoks Et ülesanne süütab.
Klaveri mängiks suurepärane muusik Fuuga selguses saapad Jalutades läbi vahekäigu Kerge ohk.
Homme noir Au nez épaté À la chemise blanche Sur cette scène Assis dans un fauteuil de rotin Très loin devant Jusqu’à disparaître dans le décor.
Il parle et je n’entends rien Rien qu’une rumeur Jusqu’à ce que l’œillet mauve Remplace l’intervenant Forêt primaire d’où s’exhale un souffle chaud Pluie de risques à demeure Ne pouvant répondre à la question.
Navré d’écrire par distraction Comme le dit la chanson Vernaculaire par l’envers À ceindre de mots d’esprit L’Archiboldo des convenances Prompt par la pratique des cuisines D’embûcher de douces effluves.
Encore aujourd’hui J’enquille la poésie La main dans le gant de soie À chercher le fils de la ressemblance À marier avec la fille du consentement Et enjoindre l’ordre métonymique De danser dans le vent.
Tout bouge Hormis le temps qu’il faut À seconder par le détail La coulure des pleurs En place publique Du signor de Laroussière Quémandant un petit sou Pour parfaire son apparence Alors que teintent les cloches Par la plaine brumeuse Au vent dévolues En retour de guerre À colmater Chaussons d’argile Les brisures de l’âme Dès l’aube venue Au chant du coq Que la pluie enroue Tel coq de bruit d’hier.
La bougie s’est éteinte La serviette à carreaux est là Fripée En bord de table Rassemblant quelques miettes Restes d’un dernier repas Pris dans le repliement de nos ailes Nous les enfants de la parentèle Qu’un suçon sur le bras Fait frémir comme Pignat Frappant à la porte En demande du gîte Contre réglage de l’horloge Dont les poids de fonte N’arrêtent pas de gargouiller Effraction tendre et tenace D’un Silence Où tout change.
Musculeux échos De l’âme de l’arbre Au firmament sec et altier De l’accouplement du ciel et de la terre Progresse la part de poésie de la vie.
Guipure de blanc-gris Soulignant le point ultime Des tensions de la matière Vers le franchissement sourcilleux De l’ordre établi.
Main de fer posée sur le cœur Augure des suppliantes prières Commises par l’homme du seuil Cendres rendues libres Par les touffeurs de la naissance.
Lettres enterrées au pied de l’arbre Surgissement des blindés en sortie de forêt Un trait de vapeur narguât du bout du doigt Le dedans le dehors du réel Prompt à débarquer d’un vaporetto de circonstance.
Draps tordus à la main au sortir de la lessiveuse Allant courber les herbes de la cour Manquement au nourrissage Sans louange et sans conscience Passe l'insécurité de la plénitude feinte.
Pour que soit dite la parole Et c’est ainsi que peut le saint d’esprit En prolongement des pointillés Dans la marge des hostilités « Crème des anges à la petite cuiller ».
Palimpseste À portée du chant des oiseaux Vous me fûtes interrogation superbe Quand je m’enhardis à passer outre Le tas de gravats barrant la chatière de l'esprit.
Dire non à la tristesse Dire oui à la joie Dire non à la vanité Dire oui à l’appétit de vivre Dire oui à la santé du cœur.
À la pliure de la commissure des lèvres Il y avait le chuintement à rendre grâce De ce qui est À faire fructifier le simple Et le respect de l’autre.
Au centre des tempêtes La cible des attentes narrait par le menu Ce qu’il nous reste à emporter L’inconnu et l’insaisissable Comme fétu de paille soumis à la tornade.
Au passage des ans À l’heure où s’ouvre le ciel Guignant le vivre encore Nous avons dit oui à la lumière Dans un climat d’étreintes et de noces.
Embrassons la parole de l’être aimé Soyons la vérité au travers des rêves et raisons Adhérons au chemin que nul n’a encore foulé Soyons le grattage du murmure des peintures Dévolu à l’homme spirituel.